A la fin, c'est toujours le silence qui triomphe, mais il nous reste à tous un ou deux airs en mémoire, qui perdurent, de génération en génération. Presser ces fichues touches blanches et noires, c'est le meilleur moyen que j'aie trouvé pour ne pas m'effondrer. Il n'y a que la musique pour faire face à la mort.