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3.9/5 (sur 1201 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Grenoble , le 19/05/1976
Biographie :

Lionel Papagalli, dit Alfred, est un auteur de bande dessinée français.

Après un bac littéraire obtenu avec brio, il met à profit une année de fac pour se consacrer pleinement au dessin et plus particulièrement à la bande dessinée. Puis cet autodidacte du neuvième art fonde sa propre maison d’édition, "Ciel Ether", qui lui permet de publier quelques ouvrages et d’entamer une fructueuse collaboration avec Corbeyran. Cette rencontre donne naissance à "La Digue" (1998), puis à "Abraxas" (deux tomes aux éditions Delcourt, 2000, 2001).

Il rencontre le scénariste David Chauvel en 2000, avec qui il réalise la série "Octave" (entre 2003 et 2006). Alfred multiplie les projets, lance les gags de "Monsieur Rouge" avec Olivier Ka (ed. Petit à Petit, 2002-2004) et signe seul une remarquable adaptation du "Café Panique" de Roland Topor (ed. Charrette, 2004).

Après avoir lancé la série "Le désespoir du singe" (2006-2007) avec Jean-Philippe Peyraud au scénario, il publie un album remarquable, classé à juste titre dans les 5 indispensables d'Angoulême 2007 et dans les 5 indispensables de l'association des critiques de bande dessinée. Il s'agit du bouleversant et subtil "Pourquoi j'ai tué Pierre" (2006), avec Olivier Ka au scénario.

Il y a une quinzaine d’années, Lionel Papagalli, dit Alfred, a fait un burn-out.
En 2007, il obtient le "prix du pignon" à Bruxelles. En 2009, Delcourt publie son adaptation du roman choc de Guillaume Guéraud, "Je mourrai pas gibier".

En 2014, son album "Come Prima" obtient le Fauve d'or: prix du meilleur album au Festival d'Angoulême.

Toujours avec Olivier Ka, en 2017, il publie "Capitaine Fripouille".

En 2023, avec « Maltempo », le dessinateur met un point final à sa trilogie italienne commencée avec « Come prima » et « Senso ».
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Source : bd.amiens.com
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Maltempo : Alfred clôt sa trilogie italienne en musique


Citations et extraits (82) Voir plus Ajouter une citation
On joue au patron et à l'ouvrier, tu veux venir ?
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- ... va-t'en s'il te plaît... Pars avant que ta fille ne te voit et ne demande qui est ce monsieur.... Je ne veux pas que tu m'entendes lui répondre que je n'en sais rien...
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Ce que j'admire le plus chez toi, Mortadelle, c'est ta constance dans la connerie !
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X : C'est toi qu'as volé l'argent, j'suis sûr !
Lupo : C'est pas vrai, c'est pas moi que j'ai volé !
X: Si, c'est toi ! T'es un sale pauvre !
Lupo : C'est toi, le pauvre ! T'as vu comment t'es moche ?
X : Toi, t'es moche ! Même que ta mère, elle a dû te pondre par le cul, tellement t'es moche !
Lupo : Tu traites pas le cul de ma mère !
X : Alors, tu me rends l'argent, sinon j'te casse la gueule...
Lupo : T'as pas le droit ! Si tu me touches, j'le dis à la police !
X : Oh ? La police... Tu crois que j'ai la trouille ?
Lupo : J'vais l'faire !
X : Vraiment ?
Lupo : Ouais !
X : Ah ouais ?
Lupo : Ouais !
X : ET ÇA ? C'EST PAS MOI QUE J'TE CASSE LA GUEULE, ÇA ?
Lupo : AA... AAA SALAUD !
Mimmo : OH ! ÇA VA PAS OU QUOI ! Qu'est-ce que vous foutez ?
X : Ben, on joue, pourquoi ?
Lupo : Hé, salut Mimmo ! On joue au patron et à l'ouvrier, tu veux venir ?
Mimmo : ...
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J'étais trop pressé. Il y avait sûrement autre chose à inventer mais j'ai pas su. J'étais trop pressé. Je voulais commencer une vie et ne jamais revenir sur mes pas... C'est pour ça que je suis parti sans rien dire. Sans un mot pour personne... J'ai voulu qu'ils me détestent, qu'ils me haïssent, qu'il m'oublient... pour me donner de bonnes raisons de ne jamais pouvoir revenir... de vraies raisons... Je suis un fugueur... Mais je suis fatigué et je veux rentrer à la maison.
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Je m’appelle Fabio Foscarini, et je n’ai pas revu mon pays depuis tellement longtemps que je ne sais même plus si c’est moi qui l’ai quitté ou si on m’en a chassé
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- Il est incroyable, ce parc... Je ne sais plus où on est.
- Personne ne s'en occupe jamais. Il est complètement... autonome.
- On dirait qu'il avance à mesure qu'on s'y promène. En même temps que nous...
- Il n'avance pas, non... Il danse.
(p. 95)
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Mimmo, il est comme tout le monde, il a besoin de rêver... même si c'est à des trucs impossibles...
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[1974, dessinateur argentin]
On pouvait vivre sans papiers en Espagne. Avant l'Europe moderne, l'Espagne n'était pas dans le marché commun, alors on rentrait, on sortait. On était angoissés, mais pas pressés, parce qu'on pouvait s'arranger.
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A Mortagne, on n'a pas vraiment les moyens de réfléchir, en fait. On a bien un cerveau, mais rien d'autre à mettre dedans que du raisin, des planches, de la sueur et du plomb. C'est comme ça. Pour le reste, on n’a pas les armes qu’il faut pour changer les choses.
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