Citations de Alfreda Enwy (865)
Tu sais, l'amour, c'est étrange, surprenant et masochiste. Et ça ne s'explique pas. L'amour, la haine, c'est la même chose. Ces sensations se vivent à l'identique : passionnément.
J’avance lentement, regardant amoureusement chaque peinture.
Elles sont toutes signer de sa main.
Alors qu’on se détestait, puis qu’on apprenais à nous supporter, puis à nous aimer, il me paignais.
Dés moment de nous, de moi. Je me découvre à travers son art et je suis magnifique.
On a le droit d'être naturelle autant que maquillée, quand on le désire, on est belles en toutes circonstances, et je l'emmerde si cela ne lui convient pas.
Elle n'a besoin de rien pour être canon, si ce n'est de respirer.
Ce soir ce sont les montres qui vont souffrir
Mes imperfections sont une partie intégrante de ce qui me rend belle.
N’oubliez pas, un sourire fait toujours du bien. Un sourire peut changer le monde.
Je n’aurais aucun remords ni scrupule à mettre le monde à feu et à sang pour te retrouver et te libérer.
-fous moi la paix Clark
- jamais de la vie, tu t’ennuierai si je ne venais pas te voir. Même le nom de ton podcast était un signe qu’on allait se rencontrer. C’est pour ça que tu m’en veux ? Parce que tu m’attend depuis trop longtemps et que j’ai tardé à venir ?
Ce sont les hommes qui doivent changer leur façon de penser, et certainement pas nous qui devons changer nos fringues.
Il existe une énorme différence entre savoir que l'on a blessé une personne et le voir de ses propres yeux.
- Tu mérites autre choses que moi. Tu mérites un amour vertigineux, un homme moins égoïste et qui ne t'a pas fait souffrir comme je l'ai fait... Pourtant, je lui dévisserais la tête s'il existait, ce connard.
— Je n’ai pas envie de devenir insensible.
— Vous ne l’êtes pas puisque ça vous perturbe actuellement. Mais vous êtes en vie et c’est normal d’avancer.
— Je le sais.
Parce que tu m'as soigné alors que je n'avais rien demandé, parce que ton foutu regard m'a forcé à ressentir de l'empathie alors que j'en ai rien à foutre des gens, parce que tu m'agaces autant que tu m'amuses, parce que je te désire autant que j'ai envie de te repousser.
Parce que je ne veux pas changer, mais il est évident que j'ai changé avec toi.
Parce que je ne pensais être doué que pour tuer, pour être égoïste, et tu me prouves avec tes putains de sourires que je peux être attentionné avec toi.
Parce que j'aime être seul, mais que j'aime bien quand tu es là.
Parce que tu devrais avoir peur de moi et visiblement, ça ne fonctionne pas.
Si le sentiment qui s'imprime dans l'intégralité de mon corps est le bonheur, alors je veux le ressentir chaque jour.
Je l’aime.
Je l’aime quand il sourit. Je l’aime quand il asuure qu’il me veut. Je l’aime quand il me parle d’art. Je l’aime quand ses yeux scintillent dès que je l’appelle Jude.
Je l’aime même s’il est brisé.
Je l’aime même s’il m’a brisée.
C’est réel. Irrévocablement réel.
“ Il ne comprend pas, il ne comprendra jamais pourquoi je refuse toujours de demander de l’aide. J’ai vu ma mère emprunter de l’argent à des hommes ou à des femmes, et j’ai vu ces mêmes personnes venir réclamer la somme prêtée. Parfois, elle se faisait tabasser et malmener, parce qu’elle ne pouvait pas, parfois elle se prostituait pour rembourser. Je ne veux jamais en arriver là, ni me prostituer ni même demander quoi que ce soit à quelqu’un. Car quand on a une dette, on devient prisonnier des gens. Ils ont un pouvoir sur nous, un moyen de pression qu’ils peuvent utiliser quand ils le veulent et de la manière dont ils le veulent. Ça, je refuse que ça m’arrive”.
La meilleure chose que j'ai faite dans ma vie, après ma fille, c'est récupérer le cœur de la femme qui avait chamboulé le mien en débarquant chez moi de façon complètement chaotique et surréaliste.
J'ai l'estomac dans les talons et le cœur qui déraille. J'ai peur, aussi. Peur de me perdre et de ne jamais vouloir retrouver le chemin...
- L'amour n'a ni âge ni frontière, mon fils.