Quand Gertrude Stein a commencé en 1916 à conduire Tante Pauline pour le Fonds américain de secours aux blessés français, elle était un chauffeur sinon expérimenté, du moins responsable. Elle savait tout faire, sauf la marche arrière. Elle disait qu'elle serait comme l'Armée française et n'aurait jamais à faire une chose pareille.