Lorsqu’est arrivée la journée porte ouverte de l’automne, fin septembre, j’avais la sensation d’avoir un véritable virus. La moindre zone érogène de mon corps ont était enflammée et douloureuse. Entre les cours, j’allais souvent dans les toilettes des profs, debout, un genou sur la cuvette, je frottais d’un geste morne la chaleur déjà pénible de mon entrejambe.
Roméo et Juliette donnait un prétexte pour parler de sexe en classe, et souvent, assise derrière mon bureau, je placer le nid gonflé de mes organes génitaux contre la chaise dans une friction qui me faisait presque gémir.