Alix Girod de l`Ain

Lucie, jolie blonde, regrette de n'avoir pas acheté le " Guide de survie au Cap Ferret. Ed Vents salés", pour comprendre le snobisme de sa belle famille.





Son Pierre est beau et riche, mais il veut la présenter à toute la "Gentry des 44", où le ciel, la mer et le sable se teintent d'un rose nacré sublime, au coucher de soleil!

On y croise Albert de Monaco, Adjani, Philippe Stark... Et Guillaume Canet qui y a réalisé son film" " Les petits mouchoirs."...





Une famille Bordelaise, régentée par la vieille Mamé, qui n'aime pas les étrangers. Alors, voir débarquer une Tropézienne qui feint d'être de Saint Jean de Luz (Ça, c'est une idée stupide de Pierre!) au bras de son petit fils...





Car, ça tiraille déjà, dans la grande demeure entre Mamé et Nathalie, la bru (une pièce rapportée qui n'est pas du coin... Il faudrait presque se marier entre cousins, alors?)





Des sous-entendus en méchancetés gratuites,

- " Mes parents vendaient des pans bagnats,sur la plage", confie Nathalie, en sanglotant presque...





La lâcheté des hommes de la famille et les regards réprobateurs...

"Dans son combi short ( trop court) D & G jaune d'or, on ne voyait que Lucie."





Le pastis Tropézien est-il soluble dans le vieux Bordeaux? Une "cagole" comme Lucie peut-elle se fondre dans la dune du Pyla? Une B.B de Saint Tropez peut-elle tenir tête à une "Alain Juppé", droit dans ses bottes?





"Lucie, debout sur les rames " venait de dire que " Pierre, c'était son Toy Boy, en quelle sorte."

C'est drôle, surtout le rôle du Jack Russell, ( " ex Jack Russel, désormais pauvre petit rat mouillé" ) nommé "Ségolène ". Car, dans la région, on n'aime pas les gens de gauche, ni les autres d'ailleurs!

Ce livre était dans ma pile à lire depuis un certain temps, j'ai eu envie de le lire car j'aime lire des romans plus légers que des thrillers et variés de genre littéraire.



L'abandon de cette lecture a failli être quasiment immédiat, dès la seconde page un ouvrier portugais travaille chez Hugo et Alice il parle bien sûr avec un fort accent et avec du fado en musique de fond. Oui dès la seconde page, ce livre est rempli de cliché raciste, sexiste et machiste.



L'idée de départ est pourtant plutôt intéressante Alice s'ennuie dans sa vie avec son travail à mi-temps, ses enfants qu'elle doit gérer quasiment seule et les travaux qui se mettent en place chez elle. Elle envie la place de son mari Hugo chez Jeloutou ou celui-ci est patron et rentre uniquement le soir.





Mais malheureusement l'auteur résume elle-même son idée à deux mots les hommes sont nonchalants et les femmes frivoles, donc cela donne dans le récits qu'Hugo va créer dans la société d'Alice des bijoux en pierres précieuses pour les louer aux femmes et Ariane à Jeloutou va louer des hommes pour aller avec les machines….





Ajoutées à cela qu'Alice et Hugo en changeant de place ne garde pas leurs caractéristiques et caractères mais deviennent carrément des hommes ou femmes, on dit à Hugo mais il ne te manque plus que tes menstruations ou mais montre à ta femme que c'est toi qui as un pénis….





Cette lecture de 250 pages censée être drôle et rapidement m'a donc pris 3 jours et collé un de ces mal au crâne.



Je vous met deux citations pour que vous puissiez comprendre :



La mère d'Alice qui dit au "coach" d'Alice et Hugo :



"Vous vous souvenez du jour ou je vous ai dit que vous aviez perdu votre maghrébinité? Je m'étais trompé. En fait elle est revenue comme un boomerang dans vos séances de coaching. Toute votre enfance, on a dû vous présenter un modèle entre les sexes un peu… comment dire? intégriste. Du coup, vous avez tenté de faire de mon gendre plus qu'une femme, une musulmane à l'ancienne cantonnée à la cuisine et à l'élevage des marmots. Et ma fille est devenue un chef de famille autoritaire, du genre marchand de chameaux pas commode. Ce n'est pas techniquement c'est culturellement , que ça a coincé" p 195



Et page 198 le retour de l'ouvrier portugais, je cite :



"Gonçalvo baissa Afflicao y consternaçao, le tube d'Amalia Rodrigues, et "carta les bras en signe d'ignorance.



"Moi, ché sé pas pourquoi elles sont pas arribées les plaques, monsieur Marsiac. Dilabault devait les commander lé 7 sebtembre, ché comprends pasmais Dilabault il est parti sour un tchantier en probincejusqu'à Dieu sait quand, son portable répond plou et moi ché souis bloquéch dans mon trabail, complatement bloquéch…." p 198





Si ces citations vous plaisent vous pouvez foncez lire ce livre sinon je vous conseille de faire demi-tour rapidement.





Et dire qu'il me reste un livre de cet auteur à lire, j'en jubile d'avance….

J'avais un petit peu envie de légèreté dans ma lecture, en fouillant dans ma bibliothèque j'ai retrouvé ce livre, ayant déjà adorée le précédent récit de l'auteur j'avais hâte comme on a envie d'aller au dentiste c'est dire.



Je fais abstraction de mon précédent avis et je me lance et la très vite je déchante, j'avais envie de légèreté mais pas de vide absolu ce qui fut le cas ici.



Pauline Ormin-Perrin dite POP travaille dans un magasine féminin, suite à un accident elle va se retrouver dans le coma et voir Dieu lui apparaître sous les traits de Karl Lagerfeld. En arrivant au paradis POP ne demande pas comment vont ses enfants ou son mari non elle parle à Dieu de la nouvelle tendance de mode à savoir les jupes culottes.



Suite à sa rencontre avec Karl la haut elle va avoir une mission à son retour à la vie avec l'aide d'une jeune femme qui est une assistante dans un service de soins palliatifs.



POP va devenir selon elle une bonne personne en tout cas elle va faire le nécessaire à ces yeux essayant de se débarrasser des choses futiles dont la mode, en faisant le tri chez elle de ces vêtement, en accueillant une famille de réfugiés colombiens (qui bien évidemment selon les clichés de l'auteur se révèlent être des trafiquants).



Ce bouquin est également rempli de cliché à foison comme par exemple à la page 74 :



"Aflicao, l'étudiante lisboète, poussa un hurlement de bête à l'agonie :



-Ah non, Pauline, tou peu pas faire ça ! C'est oune crime! Pas la mini-joupe rouch, elle est trop bellch"



Chaque intervention de ce personnage est sur ce modèle autant dire que l'abandon de lecture est passé très très près et étant donné la proximité entre POP et l'auteur sur beaucoup de chose comme leur métier cela m'a beaucoup gêné lors de ma lecture.



Le seul point positif est qu'il y a un livre de moins dans ma bibliothèque....

Comédie sympathique et pure roman de chick-lit où il ne manque aucun ingrédient; cependant je suis déçue du résultat et me suis moins amusée que prévu avec ce texte qui sonne trop «franchouillard» à mon goût. De plus on évite difficilement les clichés sur le sujet «égalité des sexes» et ce n'est pas le style poussif qui aide à oublier ces stéréotypes.

Seul intérêt après cette lecture: pouvoir la comparer au film qui en a été inspiré, avec entre autre Sophie Marceau et Antoine Duléry, acteurs que j'apprécie.



Challenge en choeur

"A quel moment bascule-t-on dans l'autre temps?" s'interroge Alice Mignan-Bertin, une quadra "bobo" plutôt marrante et même à la dent carrément dure dans les chroniques radio grinçantes qu'elle rédige pour le cynique humoriste Guillaume Ballin, mais dont la "belle vitalité" flanche soudain face à une photo d'anniversaire où son mari et elle sont visiblement en train de passer du côté "vieux con" enveloppé et "retraitée multipare" aux pattes d'oie+++!

Et vlan, le ton est donné! Alix Girod de l'Ain ne fait pas dans la dentelle ni dans la confiture mais dans un combat de guerrière déconfite des temps modernes à savoir "blanquette de tofu", botox et pose d'implants mammaires puis dans une parade perfide où toutes les armes sont permises .Son mari de 49 ans (aïe!!) publicitaire va prendre lui aussi Un bon coup de jeune entre blanchiment dentaire, tablettes de chocolat abdominales et.... démon de midi....une jeune (!!) directrice de marketing démoniaque Nine Delgado.

Qu'en est-il des femmes vues ici carriéristes à l'âme de midinette? Qu'en est-il des hommes performants professionnellement parlant mais castrés par ailleurs? Cruelle vision du couple actuel!!!

Eloignement, jalousie, soupçons d'Alice....un plan d'attaque grand B sera de mise face aux déhanchements sensuels et aux décolletés plongeants d'une allumeuse prête à tout pour arriver à ses fins. Quelles sont les fins d'ailleurs des divers protagonistes....suspense!

Les fins justifient-elles les moyens? se dit-on après avoir bien ri puis moins ri car c'est un tour d'horizon impitoyable des couples (de quadras) que nous offre Alix Girod de l'Ain (journaliste chez Elle et auteur notamment de De l'autre côté du lit adapté à l'écran en 2010).

A l'heure où l'on se parle (comme ici) par SMS, où l'on pianote sur son i Phone, où l'on flirte par mails,se fréquente entre amis sur facebook, s'en va "googler" pour faire plus ample connaissance qu'en est-il de l'amour?

Claire, la meilleure amie d'Alice, divorcée, un enfant,experte en conseils psychologiques, ne tombe que sur "des nazes" et son dernier en date va lui réserver une grosse surprise.

Le chirurgien esthétique gay vient de se faire larguer.

Guillaume, l'humoriste et "vedette parisienne"est "un handicapé du coeur", un séducteur sans âme vite déquillé qui blogue seul derrière son écran.

Reste-ton ensemble par dépit? Faute de mieux? Doit-on s'accepter? Peut-on reconstruire ce que l'âge, les habitudes et l'évolution dans des sphères différentes détruit?

Oui nous diront les Bertin car la famille c'est sacré! Ouf! La morale est sauve!

Un bon coup de jeune, même s'il rajeunit les corps en ceux de pseudo-adolescents donne un bon coup de vieux, par contre l'humour et la créativité d'Alix Girod de l'Ain, aux formules imparables, est à souligner (Maxiton le fils "casse-bonbons", Cloé la fille "épaisse comme un fil de haricot vert", Jules le cadet "le tardillon", Guillaume à "la bistouquette en berne"...) ainsi que des scènes absolument cocasses (du style Nicolas qui rentre après un week end de travail avec une figure à la Alain Juppé....

Je n'en dirai pas plus).

Un bon coup de jeune, qui m'a évoqué du Nicole de Buron lifté, serait adapté en téléfilm je n'en serais pas étonnée car l'écriture imagée de son auteur est déjà un spectacle!

Plusieurs fois déjà, j'ai essayé de lire ce type de bande dessinée. Le style sans prétention, de l'humour sur des sujets féminins... Et cela ne trouve pas d'écho en moi.

Je trouve ce type d'ouvrage vide et creux. Les sujets traités me font rire mollement...



Je pense sincèrement que les fans du docteur Aga trouveront leur compte, les afficionadas des magazines féminins aussi. Pour le reste, prévoyez une autre lecture à côté (au cas où).

Comme vous pouvez l’imaginer, le roman commence de façon plutôt originale et surtout, le ton est donné très vite : humour et second degrés seront forcément de la partie !



Après quelques pages vraiment très futiles, on entre dans le vif du sujet : comment devenir excessivement pieuse lorsqu'on a passé les 30 premières années de sa vie dans l’excès de superficialité ? Car ce roman hyper chick litt est un condensé d’excessivité ! Une fois que POP a rencontré « Dieu », elle se lance dans une croisade forcenée pour « devenir meilleure », même si ses proches en font souvent les frais. Cela donne évidemment lieu à des situations abracadabrantesques plutôt amusantes.



Malheureusement, l’auteur aussi part dans tous les excès : excès de caricature, de redondances, de fausses surprises, de références de moins en moins subtiles et de plus en plus inutiles au fil des pages… Et un achèvement mené un peu trop - excessivement ? - hâtivement...Dommage que ce roman soit un peu trop long : on finit par s’ennuyer un peu et se détacher des personnages trop caricaturaux pour rester crédibles. Une nouvelle chick litt aurait largement suffit et serait restée très drôle...

Si j'ai un peu adhéré à l'histoire au début c'est que je me suis pas mal identifiée à l'héroïne au début de l'histoire. Travailler à plein de temps, partir le matin sans me soucier de ce que et où mangent les enfants le midi, de qui fera les trajets à la piscine le soir, sans avoir à gérer le remplissage du frigo, la gestion du linge propre, des chaussures, manteaux, pantalons, culottes en quantité suffisante et à la bonne taille, des factures d'edf à payer dans les délais, des contrats d'assurance, des chéquiers, du renouvellement de la CB, des RDV parents-profs, des révisions de contrôles ... ouais ... ça me fait envie.



Certains passages du début sont vraiment bien vus.



"De sa nouvelle féminité, il découvrait l'implacable corollaire : la culpabilité. la plupart des femmes se sentent partout, tout le temps, toujours coupables. De n'être pas assez jolies, pas assez blondes, pas assez à la mode. Ou trop. Ou de ne pas assez travailler. Ou trop. De ne pas passer assez de temps auprès des enfants. Ou de trop les couver."



Mais l'auteur est très vite tombée dans le cliché absurde et ridicule. C'est bourré de lieux communs et d'idées toutes faites. Non, madame, toutes les femmes ne sont pas frivoles, abonnées à Marie-Claire, obsédées par la marque de leur sac à main et accros aux Louboutins ! Heureusement, sinon, où irais-je chercher des copines? Non, tous les hommes ne trompent pas leur femme sans vergogne (enfin je crois o_O)



Les deux ou trois bonnes idées sont rabâchées jusqu'à l'écoeurement.



Je l'ai lu jusqu'au bout "pour pas gâcher" mais vite, vite, quelque chose de bon pour ôter cet affreux goût de la bouche.

Porté à l'écran avec Dany Boon et Sophie Marceau dans les rôles principaux, "De l'autre côté du lit" est le premier livre dont je préfère l'adaptation cinématographique à sa version romanesque. Est-ce parce que j'avais vu le film 2 ou 3 fois avant de lire le livre?

J'aime beaucup l'histoire, que je pense être proche de la réalité pour beaucoup d'hommes et de femmes, malgré son côté caricatural.

Très sympa. On sourit souvent dans cette histoire qui reste une comédie intéressante.

Ariane s'occupe toute la journée de la maison et des enfants. Hugo rentre chaque soir épuisé de sa journée au bureau. Après une énième dispute sur les tâches de chacun, ils décident d'échanger leurs vies. Hugo devient père au foyer et tente de gagner en "futilité". Ariane prend la tête de l'entreprise de son époux et essaie d'être plus nonchalante. Coachés par Maurice, l'huissier qui a pris note de ce changement de situation et qui drague la mère d'Ariane, Hugo et Ariane tentent de comprendre ce qu'est la vie de l'autre. Avec plus ou moins de succès.



J'ai lu ce livre il y a plus d'un an. La sortie de son adaptation au cinéma m'a poussée à ressortir la critique que j'avais écrite à son sujet. Le sujet est habilement traité, avec plus ou moins de légèreté et d'humour. Ce qui pourrait être un énième livre de fille sur les problèmes de couple offre en réalité une bonne réflexion sur la vie à deux et ses déboires, sans tomber dans la psychologie de magazine. J'ai apprécié le livre, mais je n'irai pas voir le film. Je me méfie des adapations trop libres.

j'ai vraiment beaucoup ri, c'est tellement la vraie vie !

Perso j'ai vu le film mais j'ai préféré largement le livre, c'est bien plus "philosophique" et on se rend mieux compte des échanges et de ce que pense les protagonistes.

J'ai adoré la fin !! comme quoi nous sommes bien différent c'est une certitude et qu'il vaut mieux cultiver cette différence plutôt que d'être pareil.

J'adore cette auteure malheureusement ses livres se font rares à la bibliothèque....

Ce roman ce lit très rapidement et permet de passer un bon moment sans se prendre la tête.

De l'autre côté de la serviette de plage

Voilà LE livre de plage de votre été, lisible et risible par Monsieur et Madame.

Dans cette histoire, vous découvrirez les situations cocasses d'un couple qui échange la vie de madame avec la vie de monsieur. C'est savoureux, fin, un peu utopique, mais pas tant que ça. L'humour de l'auteur fait passer les doutes que l'on aurait sur la faisabilité de cet échange au second plan. Les personnages sont rocambolesques et on a tous envie de les inviter à diner, histoire de se faire les abdos à coup de crises de rire.

ça ressemble un peu à un article géant (bien écrit) de magazine féminin. Il suffit de regarder d'où vient l'auteur et on comprend pourquoi...



Alors, faut-il le lire ? Oui, mais évitez le métro où vous risquez de ne pas passer inaperçu à rire toutes les 2 pages. En revanche, à la plage en vacances, vous vous ferez des copains...



Entre 2 tranches de melon, vous reprendrez bien une bonne tranche de rigolade ?!

Soledad Bravi est une illustratrice que j'aime beaucoup.



Par contre, je n'ai pas du tout accroché à cette BD, j'ai même eu envie de le lâcher au bout de quelques pages, mais j'ai tenu bon jusqu'à la fin, au cas où il y aurait un petit plus à un moment donné. Mais non, la mayonnaise n'a pas pris et je ne me souviens déjà plus de ce que j'ai pu lire...

Les romans dans lesquels Dieu entre en contact avec le commun des mortels sont désormais pléthores.... et ils sont toujours drôles !

Ici, Dieu, apparaît sous l'apparence de Karl Lagerfeld... normal pour faire face à une journaliste de mode !... Et il va lui demander, afin d'être digne d'entrer au Paradis, de donner un sens à sa vie....

Mais donner un sens à sa vie ne veut pas dire forcément renier ce qu'on a fait jusque là, tout prendre au sérieux et vivre de façon austère. C'est peut-être lui donner un peu plus de profondeur et comprendre en même temps que la frivolité et la fantaisie ne doivent pas en être totalement absentes, mais qu'elles peuvent aussi être utiles pour affronter les réalités de la vie.

Légèreté, humour sont les maîtres mots de ce roman qui se lit rapidement (même si le style m'a un peu gênée au début et que certains passages sont un peu longs) et qui est fait pour détendre.

Très sympa à lire, plein d'humour. J'aime beaucoup ces bouquins sur les rapports homme/femme, nos différences.

Je suis impatiente de voir le film interprété par Sophie Marceau et Dany Boon !

J'ai bien aimé ce livre. Il reflète bien le quotidien d'une femme et celui d'un homme, qui sont, on ne va pas se mentir, totalement opposés. Alors que l'homme, Hugo, rentre du travail chaque soir pour passer les pieds sous la table, la femme, Ariane, s'agite entre la cuisine, la salle de bain pour le bain des enfants et les tâches ménagères pour faire vivre son foyer. Un jour, ils décident d'échanger les rôles, du métier en passant par la voiture. Hugo se retrouve vite débordé par les évènements alors qu'Ariane, elle, tente de ne faire aucune bêtise avec le haut poste qu'occupait Hugo, et qu'elle occupe maintenant.

Une belle leçon de morale sur la relation homme-femme. Un livre plein d'humour. A lire, vraiment.

J'ai vu le film une fois et il n'y a rien d'extraordinaire mais drôle et le livre est encore moins drôle. Je l'ai trouvé ennuyant et la fin est très prévisible. Je n'ai pas accroché et j'avais hâte d'en finir. Je suis déçue. Je n'aime pas trop ce style de livre même s'il m'arrive d'en lire de temps en temps.

GENIAL j'ai adoré, c'est drôle et tellement vrai sur pleins de scènes familiales, amicales, professionnelles. On ne s'ennuie pas du tout, je le prenais pour lire partout et je pense qu'on m'a prise souvent pour une folle à exploser de rire en lisant. Un vrai régal pour la tranche 45-50 ans !!! bon pour ceux qui ont déjà dépassé on va dire que ça leur rappelLera des souvenirs mais quand on est en plein dedans c'est encore plus apprécié je pense. Le livre date de 2012 mais les choses n'ont pas évolué depuis !

C'est très léger et facile à lire.

Il y a beaucoup d'auto dérision dans cette bande dessiné.

Si on aime Soledad Bravi c'est à lire .

Merci les bibliothèques ont peut découvrir des choses sympathique sans se ruiner .