Un tueur de métier, mercenaire combattant l’ennemi politique ou militaire dans un pays du tiers monde, était-il très différent d’un tueur à gages dans une grande ville cosmopolite ? La différence résidait peut-être dans le prestige, mais pour le reste il en doutait. L’acte était le même. La rétribution aussi. On tuait et on touchait sa paie. N’était-ce pas pareil, au fond ?