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Citations de Allison Montclair (70)


Espion un jour, espion toujours.
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- Passons maintenant au type d' homme que vous recherchez , reprit-elle. (...) . L' âge ?
- Pas trop vieux, enfin, vous voyez. En forme. En bonne santé. Je suis pas garde-malade.
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L'armement me paraît un domaine très lucratif. Les engins qui explosent seront toujours appréciés.
- Oui, c'est ce qu'a appris mon mari à son détriment définitif.
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Pendant le Blitz, la famille royale, qui aurait pu se réfugier à Balmoral, avait choisi de rester à Londres. La royauté impose des devoirs vis-à-vis de ses sujets, en particulier en temps de guerre ; les Windsor les avaient acceptés , sans hésitation. La Reine avait même dit qu'elle était assez contente que Buckingham Palace ait été bombardé, car au moins " elle pouvait regarder les gens de l'East End en face."
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- A présent, un point plus délicat, ajouta Mrs Bainbridge. La plupart de ces célibataires ont servi pendant la guerre et n'en sont pas revenus indemnes. Certains ont perdu un bras, d'autres une jambe...
- Oh, mon Dieu...
- Nous avons par exemple un gentleman charmant, qui a été grièvement brûlé, dit Sparks. Au début, c'est impressionnant mais, dés qu'il vous parle, vous oubliez son infortune.
- En clair, envisageriez-vous d'épouser un de nos héros, estropié ou défiguré ? la sonda Mrs Bainbridge.
- Je ...je suis supposée dire oui, bredouilla Tillie. Je veux bien aider mais... si j'en épouse un , je suis censée vivre avec lui jusqu'à la fin de mes jours, pas vrai ?
- En effet.
- Alors, j'aimerai bien pouvoir regarder quelque chose d'agréable...pendant le devoir conjugal. Puisque c'est ça qu'ils cherchent, pourquoi moi, j'y aurais pas droit ?
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- Supportez-vous la douleur, Mrs Baindbridge ? demanda Macaulay.
- Avez-vous déjà accouché, major Macaulay ? répliqua-t-elle du tac au tac.
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Je n'aurais pas imaginé que la Reine fasse appel à ce genre de femme, mais finalementc'est assez logique. Les grands de ce monde ont besoin des Lady Matheson pour faire leur ménage en coulisse, même si ces dernières portent des gants blancs.
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- Commissaire Philip Parham, Bureau central, CDI, Lieutenant Kinsey et agent Larkin.
- Enchantée messieurs, déclara Mrs Bainbridge. J'imagine que vous ne venez pas pour chercher l'épouse idéale ?
- Il y a peu de chances, rétorqua Parham. Le motif de notre présence est une dénommée Matilda La Salle, plus connue sous le nom de Tillie La Salle. Je crois savoir que vous la connaissez.
- Il s'agit d'une de nos clientes, en effet. A-t-elle eu à se plaindre de nous ?
- Elle aurait de bonnes raisons. Cependant, je crains qu'elle ne soit pas en état de formuler sa plainte. Elle a été assassinée hier soir.
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Plus l'amour est grand, plus la perte est tragique.
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- Ecoute, il n'y a pas encore eu de meurtre ce mois-ci, c'est déjà un bon début.
- Le mois d' août n'est pas fini.
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" Il est mort avant que vous ayez pu connaître ses défauts... Il demeurera toujours à vos yeux, l'homme idéal", avait dit le Dr Milford .
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Je suis étonnée que vous soyez debout un dimanche midi, Miss Sparks. Je vous imaginais plutôt dans un lit, essayant de vous souvenir du nom du monsieur.
- Des messieurs, vous voulez dire ? riposta Sparks du tac au tac.
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— Trower n’a pas le profil d’un assassin et, si malgré tout il avait
tué miss La Salle, il n’aurait pas été assez stupide pour rapporter
l’arme du crime chez lui.
— Comment peux-tu en être sûre ?
— Il est comptable. C’est un homme organisé.
— « Mort en partie double », déclama Sally d’un ton théâtral.
Pièce comptable radiophonique en trois actes.
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Un conseil : cesse de sugir sur des scènes de crime, Sparks. Tu commences à irriter les morts.
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Quatre occupants, nota-t-il. Trois adultes et un enfant. Deux véhicules : une Daimler et une Rolls Royce Wraith dans le garage. Des domestiques , Il avait vu quelques silhouettes passer derrière les fenêtres. Un chauffeur, sûrement une cuisinière, une bonne et une gouvernante pour le garçon.
Ces riches... incapables d'élever leurs enfants tout seuls.
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- Bon sang, je te répète...
- ...qu'on ne doit pas nous voir ensemble, merci, je sais. La question est : une passion entourée de tant de prudence et de discrétion, est-ce vraiment la passion ?
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- Ce type... l'Espagnol avec lequel je t'ai surprise... Fait-il encore partie de ta vie ?
- Non.
- Bien.
- Elle le suivit des yeux, jusqu'à ce qu'il disparaisse de sa vie. Elle écouta ses pas décroître. La porte d'entrée de l'immeuble se referma. Ce fût le silence.
- Non, répéta-t-elle. Il ne fait plus partie de ma vie, Mike. Ni d'aucune autre. Pas même de la sienne.
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- Drôlement chanceux, le patron, d'avoir deux belles filles comme vous sous les yeux tous les jours. J'aimerais bien être à sa place.
- Je ne comprends pas... susurra Gwendolyn. De qui parlez-vous ?
- Eh bien, du type pour qui vous travaillez.
- Le type ? Quel type ?
- A mon tour de ne pas vous suivre.
- Nous dirigeons ensemble notre agence. Vous vous adressez à l'une des deux directrices.
- Oh, c'est très novateur ! Bon, je sens que j'ai commis un impair.
- Ou deux, dirais-je.
- Je vais donc filer en douce pour aller lécher mes blessures...
- Nous avons besoin d'une secrétaire, si vous souhaitez postuler ! lança-t-elle alors qu'il s'éloignait. Vous savez taper à la machine ?
Il se réfugia à l'autre bout du salon, aussi loin que la profondeur de la pièce le lui permettait.
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Tillie fut invitée à s'asseoir sur une chaise dont le bois craqua de façon alarmante. Deux bureaux lui faisaient face, de chaque côté d'une unique fenêtre. A les voir, on aurait dit qu'ils avaient eux aussi servi pendant la guerre et survécu, éclopés mais victorieux, à une embuscade tendue par du mobilier allemand ; celui de gauche s'appuyait contre la cloison, un livre glissé sous l'un de ses pieds, plus court que les trois autres.
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Sur un bureau s’entassaient des livres de comptes. Elle n’avait pas le temps de les feuilleter et, quand bien même, elle eût été incapable de déceler la moindre irrégularité, fût-elle soulignée en rouge et signalée par une flèche.
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Impressionnisme (2)

Sur les traces d'un jeune artiste né en 1851 à Montpellier dans une famille protestante aisée, passionné de musique et pratiquant la peinture en dilettante. Après avoir abandonné ses études de médecine pour se consacrer entièrement à la peinture il rejoint l'atelier du peintre suisse Charles Gleyre où il rencontre Pierre-Auguste Renoir, Alfred Sisley et Claude Monet auxquels il se lie et qu'il soutient financièrement à plusieurs reprises. A distance de la peinture académique et partageant leurs idéaux esthétiques Frédéric Bazille fait partie du groupe naissant des premiers impressionnistes "les historiques". Pourquoi n'a-t-il n'a-t-il pu participer à la première exposition impressionniste de 1874 alors qu'il en avait suggéré l'idée en 1867 ? 😭✝️

Il s'était brouillé avec Claude Monet en 1873
Son père briguant la fonction sénatoriale s'y opposait
Gabriel Fauré son ancien professeur de piano l'en dissuada
il est mort pendant la guerre franco-prussienne de 1870
Il avait repris ses études de médecine

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28 lecteurs ont répondu
Thèmes : peinture , impressionnisme , Expositions , histoire de l'art , peintreCréer un quiz sur cet auteur

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