"Avance, ne t'arrête pas." C'est non seulement ce que le Soulèvement nous a demandé de faire mais également ma devise personnelle. Alors j'avance, sans m'arrêter, même quand j'entends la chanson que diffusent les ports de communication du Centre médical. Je la connais. C'est l'hymne de la Société. Mais dans la bouche du pilote, il résonne comme un requiem, célébrant la mort de la Société.