Il a les traits tendus, il n’a pas pris la peine de se déshabiller, juste d’ouvrir la boucle de sa ceinture. Ses poings sont rageusement serrés sur son ventre, on dirait qu’il n’en a pas encore terminé. Je ne peux l’observer davantage, lui, cet homme que j’ai aimé, qui m’a appris à faire confiance, et qui au final m’aura tant fait souffrir. Ça me fait mal, un mal silencieux qui me ronge de l’intérieur.