En temps normal, ce n'est déjà pas une sinécure, ce genre de boulot. Nous, les femmes, on sait de quoi on parle, les témoignages pullulent. Certaines d'entre nous laissent dans cette quête une bonne partie de leur vie, d'autres ne trouvent jamais. Il y a aussi celles qui préfèrent se consacrer à une mission humanitaire à l'autre bout de la planète pour éviter d'y penser, ou alors qui s'enferment dans un couvent et trouvent en la personne du petit Jésus le mari idéal : gentil, toujours dispo, pas envahissant pour un rond. Mais, avouons le, coté bagatelle, l'idée laisse quand même à désirer.