Il doit regarder la réalité en face. Rêver d’une Pologne libre et indépendante serait se complaire dans de vaines chimères. Sa patrie est ici. Churchill lui-même avait déclaré que les recrues polonaises devaient pouvoir accéder à la citoyenneté britannique et circuler librement dans tout l’Empire, et il l’a pris au mot. Ce pays est le sien, à présent.