Amanda Lovelace est une poète américaine qui a été nommée poète Goodreads de l'année 2016.
Lovelace à commencé par l'auto édition pour son premier recueil de poème « The Princess Saves Herself in This One » (2016) avant d'être remarqué par l'éditeur Andrews McMeel, qui le republiera et qui publiera également les deux tomes suivants de sa série Women are some kind of magic :
The Witch Doesn’t Burn In This One (2018)
The mermaid’s voice returns in this one (2019)
Selon Lovelace, cette série vise "à montrer la riche vie intérieure des femmes en mettant l'accent sur nos luttes quotidiennes cachées."
Elle a cité Speak by Laurie Halse Anderson et The Handmaid's Tale comme influences.
Lovelace a rejeté le label Instapoet, car elle a commencé à publier son travail sur Tumblr, et n'a commencé à publier son travail sur Instagram qu'après la publication de ses premiers travaux sur papier. Lovelace considère la critique des Instapoets comme une forme de snobisme, associant le terme comme un moyen de les distinguer des «vrais poètes».