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3.61/5 (sur 156 notes)

Nationalité : Australie
Né(e) à : Melbourne , 1983
Biographie :

Amber James suit des études de lettres modernes et devient enseignante tout en continuant d’écrire de courts récits.

C’est lors d’un voyage en Californie qu’elle rencontre son futur mari, originaire de Beverly Hills, à qui elle montre pour la première fois ses histoires.

Quittant définitivement son Australie natale, elle s’installe avec lui et, encouragée par son enthousiasme et son soutien sans faille, elle décide de se lancer dans l’écriture de son premier roman érotique "La captive possédée par un milliardaire", publié aux Éditions Addictives.

Source : Amazon
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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
J'admire sa démarche chaloupée, regarde ses fesses,elles sont maghifiques,à croquer, à embrasser, à lécher,à griffer,à claquer. J'ai envie dé tout ça. Sauvagement.
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- Ne dis plus que je ne t'aime pas,ne doute jamais de moi.À chaque seconde de chaque jour,je pense à toi, bordel!
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Je devine son sourire, tandis que sa voix grave se brise un peu:
- Je t'aime, Celia.
Je glisse contre lui à la vitesse de l'éclair pour que mes lèvres trouvent le chemin des siennes et je l'embrasse, longtemps,profondément,à en avoir le souffle coupé.

C'est la deuxième fois que l'homme que je désire plus que tout vient de me dire qu'il m'aime ! Et j'ai la sensation délicieuse qu'il pourrait me le dire mille fois par jour toute une vie et que ce serait chaque fois la première fois.Plus que ces mots magiques,c'est surtout sa façon de les prononcer qui m'a bouleversée.C'était comme une prière emplie d'émotion.C'était sincère et c'était dans ma vrai vie.

Mmm, je veux que ce baiser dure toujours...
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– Allo, Maya Leblanc à l’appareil, que puis-je pour vous ?

– Venir assister à mon prochain match.

Mon cœur s’arrête quand je reconnais la voix de Tom.

– Attends, je réfléchis… dis-je, faussement hésitante.

– Ce serait vraiment top que tu acceptes : notre mascotte nous a lâchés et je ne vois personne d’autre à qui son costume irait.

– C’est malin !

– Alors, tu viens ?

– Ok, lâché-je en m’efforçant de contrôler cette excitation qui me gagne à l’idée de bientôt le revoir.

Après tout, il me considère peut-être comme son nouveau « pote » ? Ça m’apprendra à vanner à tout bout de champ au lieu de le séduire.

– C’est quand ?

– Demain soir. Ça te laisse une journée pour comprendre le football américain.

– Ah, parce que ce n’est pas juste une histoire de mecs qui portent des collants, des épaulettes, et se font passer un ballon ?

– Il n’y a vraiment rien à sauver chez toi… soupire-t-il. Et pourtant, tu vois, j’essaie quand même.

– Oui, et j’ai du mal à comprendre pourquoi…

– Ton sourire. Ta petite robe noire. Tes compétences en cuisine française. Le fait que je n’ai pas osé t’embrasser la dernière fois.

– …

– Bon, je dois raccrocher, continue Tom comme s’il n’avait pas remarqué qu’il vient de me couper le souffle. À bientôt, mademoiselle Leblanc.

Et sur ce, la communication coupe. Tant mieux : je vais avoir besoin de quelques heures pour retrouver mes esprits…
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Ses fossettes que j'aime de plus en plus apparaissent à là commissure de ses lèvres, tandis qu'il soulève ses lunettes.
- C'est juste que je suie ébloui par là ravissante Maya Leblanc.Le rouge te va très bien.
- J'avoue que je l'ai mise pour toi. Et pour être assortie à la lamborghini.
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Ne meurs pas, mon amour, tu m’entends ? NE MEURS PAS, MON AMOUR !

J’ai froid… J’ai mal… J’ai peur… Je prie… Je pleure… Le visage enfoui dans la chevelure d’Isaac, je hurle intérieurement tant la douleur qui m’écrase est insupportable. Aucun son ne parvient à franchir la frontière de mes lèvres, j’ai juste l’impression d’étouffer, la sensation palpable que la vie s’échappe au compte-gouttes de mon propre corps.

Nous sommes tellement reliés, lui et moi…

Je souffre quand Isaac souffre… Et je pourrais bien mourir s’il devait perdre la vie… Je ne VEUX pas vivre sans lui…

Je ne PEUX pas !
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Des rires fusent dans l'amphi tandis qu'il poursuit les présentations.

-Quand au autres, je leur souhaite la bienvenue et me réjouis de faire leur connaissance.

Son ton jovial, son petit accent allemand assez charmant et sa voix très décidée. D'instinct, je me fais la réflexion que je vais aimer son cours. Je suis heureuse d'avoir fait le choix de tout quitter pour suivre l'enseignement de cette sommité.

-Alors? me souffle Lukas.

Je murmure, enjouée comme jamais:

-Il a l'air top, mais chut!

Lukas me renvoie un sourire, puis nous braquons nos regards sur Kurt Epstein.
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- Je n'arrêtais pas de penser à toi, Celia .On dit de moi que je suis un control freak, que j'éprouve en permanence le besoin de tout maîtriser... ce qui n'est pas faux ! Mais pour la première fois, je perdais mon pouvoir !

Je jubile intérieurement à l'idée d'avoir déréglé la machine O'Neil.Et j'ai envie de pousser un cri de guerre quand il m'avoue :

- Je suis incapable de me passer de toi, tu m'obsèdes.Je ne rêve que d'une chose chaque fois que nous nous séparons... te retrouver, Celia.
Hum, j'adore quand tu te laisse aller, monsieur.
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J'aime sa façon si particulière de prendre mon visage entre ses mains.C'est comme s'il me disait '' tu es à moi et tu es mon trésor''.Mes lèvres bougent lentement,à tel point que c'est tout juste si je m'entends dire à Liam tant ma voix est étranglée:
- Je vous aime à la folie, monsieur O'Neil.

Son sourire ravageur m'illumine comme un soleil,j'ai chaud,je suis bien,je suis heureuse comme je ne l'ai jamais été.

Nous nous embrassons tendrement,longtemps.
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-Écoute-moi bien, toi, que les choses soient claires entre nous, d'accord?

Berlioz penche la tête de côté comme pour lui signifier qu'il est tout ouïe. Je souris d'assister à cette étrange confrontation.

-Après ce verre, je vais partir, mais ne te fais pas d'illusions je compte bien revenir. Je vais trouver une parade pour cette histoire d'allergie et quoi qu'il soit tu ne garderas pas Maya pour toi tout seul!

Berlioz miaule et Tom l'imite.
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