Le combat avait été violent et sans trêve : tous les sens en témoignaient. L'air même avait goût de bataille. A présent, tout était fini : il ne restait plus qu'à secourir les blessés et à ensevelir les morts, "faire un brin de nettoyage", selon la formule du farceur de l'escouade chargé de cette corvée.
Le coup de grâce