Je ne regretterai rien. Ni les lueurs blêmes de l'aube, ni celles cramoisies du soir. Ni le cortège des femmes dans la rue ni le manège des camelots au souk. Peut-être les arbres de mon jardin. Le grenadier en particulier. Mon seul véritable regret c'est qu'il n'y aura plus personne pour rêver de ma mère.