La concentration de microbes ici doit être tellement élevée qu'ouvrir la bouche équivaudrait à lécher les barres du métro de Paris. Je commence à penser que j'ai peut-être un peu précipité les choses en voulant me rendre en Roumanie. Peut-être aurions-nous dû attendre, économiser, ne pas tout bâcler… Seulement, mes tripes me disent qu'il n'y avait nulle autre alternative. C'est ainsi que ça devait se passer. Les événements qui m'ont conduite à prendre cette décision se sont déroulés de manière imprévue. Aussi, c'est de façon tout aussi impromptue que notre départ s'est enchaîné.