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3.75/5 (sur 102 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Amy Lane vit en Californie, elle a quatre enfants dont deux adultes, c'est une autrice qui écrit de la Fantasy et de la Romance gay, sa production est importante, elle a publié plus de 104 livres à ce jour.

Website : http://www.greenshill.com/
Twitter : amymaclane
Facebook : https://www.facebook.com/groups/364533133651583/377857025652527/?notif_t=group_comment

Source : www.greenshill.com
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
— Je suis désolé, je suis juste un peu vieux jeu…

— Pourquoi les gens utilisent-ils ce mot comme excuse pour faire quelque chose de vraiment horrible ? demanda Christi comme s’ils avaient une conversation différente. Juste avant que quelqu’un fasse un truc vraiment raciste ou stupide, ils sont genre « je suis juste vieux jeu, mais je pense que les enfants devraient être battus et ne pas avoir droit à la parole ! ». Ou « je suis juste vieux jeu, mais je pense que les femmes devraient voter comme leurs maris ».
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Tout ce qu’il savait, c’était que le vendredi soir, suite à l’appel de Craw pour mettre un terme à leur relation, il était allé au Wilde’s, son marché à viande préféré, et avait rencontré… eh bien, des gamins de vingt-et-un ans, pour la plupart.

Ils étaient mignons – oh mon Dieu, était-il possible qu’ils soient de plus en plus mignons ? –, mais leurs conversations ?

Eh bien, à désirer.

— Mec !

Stanley avait regardé le jeune homme d’un air encourageant et plissé les yeux, ses yeux bleus aux cils sombres qu’il avait passé des heures à regarder dans le miroir pour essayer de les rendre séduisants.

— Oui, chéri ? avait-il demandé en battant ses cils noirs.

Le jeune homme – grand, avec un torse et des cuisses massifs, qui semblait sans doute pouvoir casser Stanley en deux s’il lui en prenait l’envie – avait souri gentiment et répété « Mec » tout en hochant la tête de haut en bas alors qu’il observait le petit corps (d’un mètre soixante-treize) de Stanley. Il avait apparemment gagné une expression d’approbation, et il essaya de rendre son sourire encore plus spécial.
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_ Est-ce que je vaux le coup ? demanda Jeremy quand il eut repris sa respiration. De passer tout ce temps à s'inquiéter pour moi ? A... à m'éduquer ?

C'était une question terrifiante. Les épaules d'Aiden tremblaient sous les mains de Jeremy, qui crut d'abord que le gamin riait.
Mais ce n'était pas le cas. Il recula d'un pas et coupa l'eau avant d'attraper une serviette. D'un geste attentionné, presque platonique, il l'en enveloppa, et ce n'est qu'après avoir séché l'eau qui lui tombait dans les yeux que Jeremy remarqua qu'Aiden détournait le visage, qu'il avait les yeux rouges, et que les gouttelettes qui lui coulaient sur les joues ne venaient peut-être pas toutes de la douche.
L'espace d'un instant, il se sentit glacé, trahi. Il avait posé cette question avec espoir.

_ Je suis désolé, bredouilla-t-il. Je... je ferai plus d'efforts, plus de...

_ Tais-toi, murmura le gamin. Par pitié, tais-toi.

Il posa les mains de chaque côté de son visage et l'embrassa avec force, le mettant presque dans un état second, l'enveloppant par sa passion, par cette personnalité lumineuse qu'il avait toujours eue depuis que Jeremy avait posé les yeux sur lui et s'était dit Ca, c'est un gars bien, et je ne suis pas à la hauteur.
Aiden recula et cilla.

_ Tu vaux le coup, dit-il d'une voix rauque. Tu vaux le coup. Tu aurais dû me poser cette question il y a des mois. Tu aurais dû me la poser en novembre. Tu aurais dû m'appeler et me demander ça avant que Mikey Carelli se pointe à notre porte. Je t'aurais donné la même réponse, Jer. Tu vaux le coup. Tout ça vaux le coup. Si t'étais mort, ça m'aurait foutu en l'air, et tu aurais quand même valu le coup.
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M. Yeux-À-Se-Damner se redressa et lui fit un clin d’œil.

— Eh bien, c’est dommage que tu doives partir, dit-il d’une voix aussi digne de l’Italien macho dont il avait l’air. J’aurais bien aimé discuter.

Stanley en laissa tomber la boîte sur son pied et n’eut même pas la présence d’esprit d’être soulagé qu’il se soit agi de fil léger.

— T’es sincère ?

Sérieusement ? Parce que faire la conversation n’était généralement pas le point fort de Stanley dans ce genre de rencontres.

— Ben ouais ! répondit le mec, avec un sourire tendre et un tantinet indulgent. Je suis nouveau dans le coin. Si quelqu’un veut papoter avec moi, c’est bon signe, non ?

Stanley restait perplexe.

— Vraiment ? Parce que d’habitude, quand un gars veut « discuter », c’est qu’il demande à tirer un petit coup vite fait dans les chiottes. T’en as conscience, j’espère ?

Ces yeux brun chocolat se voilèrent, et cette bouche pleine et sensuelle se recourba en ce qui aurait bien pu être le sourire le plus obscène que Stanley ait jamais vu.

— Ça n’aurait pas été si vite fait que ça, contra le livreur en reluquant Stanley de la tête aux pieds. T’as un magnifique petit cul rebondi. J’aurais voulu m’y attarder.
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Johnny pencha la tête et le regarda.

— Je ne veux pas trop m’attarder sur le sujet, cupcake, mais je suis sorti avec des escorts qui en attendaient bien plus d’un premier rencard. Je vais donc venir à la fermeture et t’emmener dîner, et peut-être qu’ensuite on pourra enfin trouver le temps pour autre chose qu’un petit coup vite fait dans les chiottes. Ça te va ?

La mâchoire de Stanley se décrocha, et quand Alice l’appela depuis l’avant, il réalisa qu’il était resté là à dévisager Johnny Aux-Yeux-À-Se-Damner avec l’expression d’un gamin face à sa toute première poupée Justin Bieber.

— Dîner ? répéta-t-il d’une petite voix.

— Je te proposerais bien d’aller voir un spectacle, mais on n’est pas à Vegas, déclara Johnny d’un ton neutre. Pourquoi pas un film ?

L’enfant de huit ans en Stanley s’épanouit soudain.

— Il y a un dessin animé de Noël que je meurs d’envie d’aller voir ! s’écria-t-il presque.
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— Je vais jouir…, siffla-t-il.

Il déglutit, ferma les yeux et pensa à sa déclaration de revenus.

— … bien trop vite. Je vais jouir bien trop vite si tu ne me donnes pas quelque chose à faire.

Pour toute réponse, Johnny le prit tout au fond de sa gorge, resserra l’étau de ses lèvres autour de la base et tira doucement sur ses bourses.

Les hanches de Stanley s’arc-boutèrent au-dessus du lit et il poussa un cri, jouissant si vite, si ardemment, et si fort que ses yeux roulèrent dans leurs orbites. Johnny continua à avaler tandis que Stanley serrait les doigts dans ses cheveux avec assez de poigne pour lui faire mal. Il revint sur terre (et ses fesses sur le lit) et il lutta durement contre l’envie de pleurer.

— Trop vite, bougonna-t-il avec tristesse.
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Oh, Sammy. Tu m'as presque berné pendant une minute. Je pensais que tu étais parfait, avec la famille parfaite et la vie parfaite. Mais tu es fragile, mon ange. Tu as besoin de ta famille. Je m'assurerai que tu n'oublies pas.
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— C’est une relation très adulte pour quelqu’un qui ne fait pas ça d’habitude, l’avertit-il. Si je décide de piquer une grosse colère parce que j’ai besoin d’être sauté, est-ce que tu risques de t’en aller parce que tu auras vu mon visage de garce pendant dix minutes ?

Le sourire de Johnny éclaira l’obscurité à l’intérieur de la voiture. Il se tourna vers Stanley et attrapa son menton entre deux doigts rudes et calleux.

— Si tu en as envie au point de devoir piquer une colère, Stanley, il faudra peut-être simplement que je te saute, dit-il.
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Ce sont les prolos qui ont eu droit au porno et à l’alcool, et ce sont eux qui ont eu droit au sexe. C’était les membres des partis éducatifs qui avaient besoin d’être distraits par ces conneries !
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— Tu sais, dit-il au bout d’un moment, je peux commérer sur les gens que je connais à peine pendant des heures, mais là tout de suite, te poser des questions me fait un peu peur. Je peux faire une suggestion ?

— Ça me va.

— Ouais. Euh, quoi que tu aies envie de me dire, pars du principe que je veux le savoir.

— Comme quoi, par exemple ?

Stanley y réfléchit.

— Est-ce que tu l’aimais, ton tapineur ?

Johnny se mura dans le silence avant de répondre.

— Est-ce que ce serait affreux si je disais oui ?
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