Citation de gill
Tableau unique
La scène se passe en 1779, la nuit.
Une salle du rez-de-chaussée d'un pavillon de chasse dépendant du château de Saint-Evremont.
A droite, porte sur la chambre.
Au fond, large porte sur la campagne. Au fond également, fenêtre par laquelle on peut apercevoir une tour du château éclairée par la Lune.
Aux murs, panoplies, sabres, armes de chasse. Têtes de cerf et de sanglier empaillées.
Tables, chaises. Sur une table, une lanterne allumée. Sur une chaise, le manteau du marquis.
Au lever du rideau, le marquis de Saint-Evremond (une cinquantaine d'années), botté, l'épée au côté, badine ses bottes et jetant des regards furieux vers la porte de droite, entr'ouverte, d'où viennent des gémissements de femme. Aboiements au dehors.
(lever de rideau de "Le jour de gloire" pièce d'André Bisson et de Meg Villars d'après un conte de Charles Dickens, parue dans "La petite illustration" en février 1937)
La scène se passe en 1779, la nuit.
Une salle du rez-de-chaussée d'un pavillon de chasse dépendant du château de Saint-Evremont.
A droite, porte sur la chambre.
Au fond, large porte sur la campagne. Au fond également, fenêtre par laquelle on peut apercevoir une tour du château éclairée par la Lune.
Aux murs, panoplies, sabres, armes de chasse. Têtes de cerf et de sanglier empaillées.
Tables, chaises. Sur une table, une lanterne allumée. Sur une chaise, le manteau du marquis.
Au lever du rideau, le marquis de Saint-Evremond (une cinquantaine d'années), botté, l'épée au côté, badine ses bottes et jetant des regards furieux vers la porte de droite, entr'ouverte, d'où viennent des gémissements de femme. Aboiements au dehors.
(lever de rideau de "Le jour de gloire" pièce d'André Bisson et de Meg Villars d'après un conte de Charles Dickens, parue dans "La petite illustration" en février 1937)
