Rompre le silence sur ces histoires n'est pas assuré. Il suffit que les grands médias se taisent pour que soit niée l'extermination douce des fous sous Vichy. C'est en tout cas le plus sûr moyen pour que de telles "histoires" se renouvellent. Il y avait, hier, des malades plus intéressants que d'autres, des vies humaines plus utiles que d'autres. Est-on certain que ce n'est plus le cas aujourd'hui ?