On vous demande toujours de quelle façon vous avez employé telle soirée. Comme si ce n'était pas une aubaine de ne pas l'employer du tout. Ni cinéma, ni théâtre, ni télévision, ni bal, ni conversation. Aucune nécessité de voir ni de réfléchir.
[André DHÔTEL, "Bonne nuit Barbara", 1978, éditions Gallimard, 320 pages]