Il marcha pendant deux heures, peut-être trois. Il traversa des taillis qui poussaient sur une terre marécageuse, puis une futaie de petits chênes aux troncs épais, enfin une succession de futaies et de taillis sombres comme des paysages sous-marins.
[André DHÔTEL, "Le neveu de Parencloud", Hachette, 1960 -- page 93]