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Citation de Aunryz


Aunryz
27 décembre 2015
Le champ s'arrêtait de frémir, quand un orage venait, accueillant les bruits humains, la cloche et l'enclume, les pas sur la route.
Est-il possible que la vie soit ainsi ? Jacques et Jeanne travaillaient au jardin et leur tristesse était grande.
Autour de la rivière des marais s'étendent, dans lesquels ont voit une barque noyée dont la proue est au-dessus de l'eau. Les mouches à tête rouge viennent s'y poser. Un oiseau de proie a traversé, volant bas, près de son image reflétée dans l'eau, et vers les troncs échoués, des rats se sont élancés à la nage.
Entre la rivière et le village, des peupliers sont dressés. Lorsque l'orage approche, arrêtant le vent, l'essaim de leurs feuilles qui est le plus élevé résonne, car il perçoit encore une brise.
Les nuages se croisent. Le ciel de l'été devient plus grand.
Quelle détresse ou quelle joie familière ce peut être de regarder cette vieille femme chargée de sa hotte et qui rentre au village par un chemin.
Puis nous nous souviendrons aussi de ce chien abandonné que nous avons vu boire dans l'ornière, après la pluie, et dont un rayon de soleil oblique éclairait les yeux.

http://wp.me/p5DYAB-2Gm
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