En 1962, il (André Hardellet) écrivait dans Le parc des Archers : L'érotisme et l'insatiable besoin de liberté chez l'enfant proviennent du même fond obscur ; ils apportent une pareille jubilation, menacée de pénitence (...) C'est pourquoi l'érotisme qui voudrait prolonger l'âge des émerveillements est traqué avec tant d'acharnement par ceux qui ne peuvent plus s'émerveiller.