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Critiques de André-Marcel Adamek (81)
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Contes tirés du vin bleu

Huit nouvelles inédites par l'un des plus grands écrivains comtemporains.trés bon livre.
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Contes tirés du vin bleu

Que ce soit un garde chasse envouté par la femme du vigneron, Noé contrarié par des assignations, demande de permis et à la recherche d'une fertile Flamande, la légende du Doudou montois, l'oie tyrannique de Barnabé, la mystérieuse ambiance suscitée lors d'une expo photos, le très grand Patuel ou la merveilleuse réécriture du cantique des cantiques, l'écriture d'Adamek m'a laissé sans voix, une écriture concise mais riche et souple, des trouvailles qui touchent au sublime.



Je sais déjà à qui je vais offrir le livre, à une autre grande poétesse, à ma petite soeur Agnes!

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L'oiseau des morts

À travers l'oeil de la corneille, les saisons se succèdent et les hommes s'entretuent. Ce cours roman d'Adamek est affûté comme une serre, doux comme une plume, et grave comme un croassement. Il combine une parfaite exécution de la narration interne avec de multiples connaissances sur la vie en communauté des corneilles, et une intrigue on ne peut plus simple : la vie de l'une d'elle.

Symbole de mauvais augure pour les humains, notre corneille est pourtant intriguée par eux, et aura plusieurs maîtres auprès de qui elle apprendra que notre race est aussi variée que la sienne.
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L'oiseau des morts

J’ai énormément apprécié ce livre dont le narrateur est une corneille. Point de vue très original, qui nous fait à la fois entrer dans le monde de cette espèce d’oiseaux, et nous permet d’observer les humains à partir de celle-ci. Belle écriture, beau roman court qui nous fait réfléchir à notre espèce humaine parmi les autres.

Un merci particulier à la bibliothécaire de ma commune qui me l’a fait découvrir.
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L'oiseau des morts

Ayant une nature à beaucoup aimer les animaux, ce livre est vraiment intéressant du point de vue de l'animal.

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L'oiseau des morts

Une corneille, je suis une corneille et…..je vous comprends, après avoir lu mes…non pas mémoires, mais mes peurs, mes espoirs, mes joies et mes peines….vous ne nous regarderez plus de la même façon. Je dis, nous, car nous sommes un tout, celui qui quitte la communauté et/ou est soigné par un humain est un rebus, un ennemi à rejeter, à tuer.

J’ai eu plusieurs vies, je ne fus jamais vraiment récompensé, je ne regrette rien …finalement j’ai retrouvé l’herbe verte de mes premiers envols et basta.

Superbe, un livre qui restera « de chevet » et sera relu.

Osez, une écriture claire et simple.

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L'oiseau des morts

Nous devenons l'oiseau des morts et ne pourrons plus nous voir, nous humains, comme avant, ni ces oiseaux. La langue est belle, les images surprenantes. Le récit est bref et laisse une trace pour longtemps. La verbalisation du point de vue de l'oiseau est très réussie. Particularités assez rare pour pousser à les découvrir.
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L'oiseau des morts

Dans ce court roman, l'auteur se met dans la tête d'un oiseau, plus précisément d'une corneille. A ses côtés, nous découvrons la survie, ainsi que ses rencontres avec les humains. Certains vont tisser des liens avec elle et d'autres vouloir sa mort. Un point de vue original et une belle écriture poétique.
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L'oiseau des morts

Un point de vue original, une langue merveilleusement fluide à la manière d'un poète, quelle bonne surprise ! Délicieusement écrit et sans longueurs. À découvrir !
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La couleur des abeilles

Premières impressions : déroutant et déjanté. Et un magnifique titre pour une suite d’horreurs et de crimes.



Malcolm Marloch sort de prison pour la mort « involontaire » de la divine Pamela, une actrice de cinéma pour films mêlant le fantastique, l’horreur et le gore. Malcolm est chef maquilleur, un vrai artiste pour enduire les visages d’hématomes, boursouflures et coupures en tout genre. C’est l’émulation sur le plateau pour cette production coûteuse et la scène finale doit être explosive. Et cela passera bien évidemment par l’art du maquillage. Malcolm se plie en quatre et sera mondialement connu pour avoir, ni plus ni moins, rendu cette scène à la postérité en faisant exploser la tête de la diva.

Affamé, ne possédant qu’une charrette contenant ses toiles, tubes et pinceaux, vivant de mendicité, il se rend à Courdes, la ville des artistes. Sa renommée d’artiste peintre, c’est là qu’elle se jouera, avec ses natures mortes : des têtes coupées de leur buste.



Derrière un sujet digne d’un film B, l’auteur s’amuse et amuse le lecteur par la même occasion. La rencontre de Malcolm avec un curé de campagne et le monologue de ce dernier est délicieux. Quel retournement de situation ! L’auteur se moque allègrement.

D’une plume fine et agréable, le monde des artistes est décortiqué ainsi qu’une certaine naïveté face aux spéculations des agents et propriétaires de galeries. La Couleur des abeilles (je vous laisse découvrir le pourquoi de ce titre) est une satyre de l’art contemporain, des prémices de toutes inventions pour donner corps à une œuvre comme l’utilisation de matériaux divers, d’excréments, etc.



André-Marcel Adamek avait une vision acérée du monde qui nous entoure mais il était quand même haut-perché !

A découvrir ? Bien sûr.
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La fête interdite

D'une écriture recherchée, Adamek raconte la méprise sur la mort du montreur d'ours, ce qui a fâché les forains, et le village de Marselane risque d'être privé de sa fête de la Saint Luc.



J'ai bien aimé la bienveillance qu'il place chez le sage Alban, le Sénéchel de Marselane ou le prévôt des forains.



J'ai aimé aussi le surnaturel des gens du cirque, la frigidité de la femme-serpent aux écailles, le Pipistreau à tête de chauve-souris, fruit de l'inceste de son père, l'éternelle jeunesse de la femme-léopard toujours masquée, le fils du lanceur de poignards, Macahon le borgne, qui, après 15 mois,refuse toujours de naître, attendant un monde meilleur!

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La fête interdite

Troisième livre que je lis d’André-Marcel Adamek ! J’avais adoré La Grande Nuit, lu Il y a longtemps et que je devrais relire pour en faire la critique.

Ici, j’ai retrouvé la joie que j’avais éprouvée avec le roman cité plus haut !

Le récit se déroule dans le bourg de Marselane au moyen-âge semble-t-il

Nous sommes mi-octobre et tous les villageois attendent avec impatience la fête de Saint-Luc, et les saltimbanques qui les égaient chaque année. La fête est importante, la plus importante de l’année, elle est synonyme d’arrêt du dur travail des champs et de réjouissances.

Sadim, le montreur d’ours arrive quelques jours avant la fête et outrepassant l’injonction du sénéchal de ne pas donner de représentation avant le jour de la Saint-Luc, , tient à montrer à tous le nouveau et spectaculaire numéro de l’ours. Les choses se passent mal toutefois, Sadim est victime d’un malaise et l’ours, désemparé, est tué.

La rumeur court que les habitants de Marselane ont tué Sadim, les saltimbanques l’apprenant, décident de ne pas rejoindre le village et maudissent ses habitants.

C’est alors le début de l’aventure pour deux de leurs représentants qui s’offrent à rejoindre les forains pour expliquer la méprise.

Et c’est une véritable aventure faite de recherches, de traquenards, de vol, de rencontres. Je ne vous les dévoilerai pas mais j’ai été sous le charme !

André-Mzrcel Adamek, pour nous les conter et nous replonger dans cette époque lointaine, utilise de nombreux mots désuets - j’ai utilisé à quelques reprises mon dictionnaire pour les comprendre (exemples : banquiste, vit, aronde...) - des jurons (corne d’aspic), il décrit un monde fantastique - la femme-serpent au corps recouvert d’écailles, la femme-léopard à la jeunesse éternelle, la voyante - et ce sans que cela paraisse invraisemblable au lecteur que je suis et pourtant j’ai la réputation d’être trop cartésien ...

J’ai aimé le portrait de cette société du moyen-âge avec ses superstitions, son clergé hostile aux forains, et son attente de la plus grande fête de l’année qui leur permettra de ne pas travailler, de jouir du spectacle des forains et de se détendre.

J’ai aimé les divers personnages, le vieil Alban, Lauric, le forgeron amoureux de la femme-serpent, le sénéchal, le Pipistreau, la petite voleuse...

J’ai aimé la sensualité de la femme-serpent qui attire le désir des hommes mais ne se donne pas...

Ce fut un beau moment de lecture !

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La fête interdite

Marselane, un village comme il y en a tant. Chaque année, à la Saint-Luc, les saltimbanques arrivent, et restent quelques jours avec leurs roulottes et tout le matériel : c'est alors la fête.Cette année ils ne viendront pas , à la grand stupeur de tous les habitants. Ecrit dans certains passage en vieux-français, l'histoire peux se passer à n'importe quelle époque. Un conte ou une légende pour adultes !
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La fête interdite

En cet an de grâce du 17ème siècle à Marselane, la fête de la Saint-Luc n'aura pas lieu. Elle n'a pas été interdite en raison d'une épidémie de peste ou de choléra, non, elle a été confisquée par les forains eux-mêmes.

A la mi-octobre, Samir, le dresseur d'ours, est arrivé au village avec quelques jours d'avance, avant ses collègues saltimbanques. le dimanche à la sortie de la messe, malgré l'interdiction du sénéchal, il montre le nouveau numéro de son ours aux paroissiens. Mais pendant le spectacle, Sadim est victime d'un malaise et meurt. Son ours, devenu agressif, est tué.

Partie d'un malentendu, la rumeur enfle, court et circule et arrive aux oreilles des forains : les habitants de Marselane ont tué Samir !

Les forains se vengent en décidant de ne pas se rendre au village pour la fête, et jettent une malédiction sur ses habitants.

La nouvelle atterre les villageois, pour qui la Saint-Luc est la fête la plus importante de l'année, leur seule occasion de se livrer à toutes sortes de réjouissances après une saison de dur labeur, de quoi se réchauffer le coeur et la tête juste avant l'entrée dans l'hiver. Ils décident alors d'envoyer une ambassade auprès du prévôt des forains pour dissiper le malentendu et faire revenir ceux-ci à Marselane. Lauric, le forgeron, et le vieil Alban se mettent en route, sans se douter que bien des aventures les attendent en chemin...



"La fête interdite" est un roman d'aventures tendance picaresque, un conte pour adultes, une quête collective (le retour de la fête) mais aussi individuelle (la justice, le pardon, la liberté). Ecrit dans le style de l'époque, le langage est désuet mais savoureux, coloré de fantastique et d'irrationnel, caressé de sensualité. de beaux portraits de femmes (dans une société où elles ne comptaient pas pour grand-chose) et des personnages attachants achèvent de transformer ce texte en un joli roman, faussement simple, rempli de chaleur, de tolérance et de bienveillance.

Je ne sais pas pourquoi c'est ce roman qui est précisément sorti de ma pile à lire au moment du reconfinement, alors que nous sommes contraints de renoncer aux fêtes, mais cela doit vouloir dire quelque chose... "S'il est une évidence qui nous est apparue, c'est que nous ne pouvons vivre sans l'espérance de votre annuel retour [celui des forains et saltimbanques]. Chacun de nous puise en vos tours, costumes et lumières la part d'émerveillable sans quoi son esprit resterait cloué à terre, pareil à celui d'un mulot en son trou. Mon défunt compagnon s'extasiait devant les tréteaux de la femme-léopard. Moi, c'est pour la femme-serpent que battait mon coeur. Et combien de nos enfants ne rêvent-ils pas de devenirs jongleurs ou comédiens? Combien de nos femmes perdraient-elles leur sourire du matin sans avoir écouté les récits de vos diseurs? (...) Longtemps après votre départ et jusqu'aux portes du printemps nouveau, les mélodies de vos musiciens sont fredonnées en nos chaumières. Vous êtes le fleuve qui à chaque automne vient irriguer nos terres appauvries. Nous nous desséchons sans vous et nos racines partent en poussière."
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La grande nuit

Pour moi, ce livre constitue un galop d'essai avant de s'attaquer à des oeuvres plus massives, plus denses et plus élaborées. Dans le genre apocalyptique-dystopie-survival. Genre pour lequel je n'ai pas de prédilection, ni de grandes connaissances.

Le fait que l'action se situe dans des lieux proches, dont certains un peu connus, a permis que j'accroche un peu plus à celle-ci. Et que je tienne bon assez facilement.

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai trouvé qu'il y avait à la fois trop de personnages et trop peu de personnages. Ou plutôt trop peu de personnage, au singulier. Adamek ne va pas assez loin, c'est trop court pour moi.

Galop d'essai, oui : un honnête galop d'essai.
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La grande nuit

Merveilleux livre. Le sujet m'intéresse alors je ne m'attendais pas à être déçue. Mais je confirme ! Absolument pas déçue ! J'ai adoré suivre les péripéties du début du livre pour ensuite découvrir que leurs causes sont beaucoup plus graves (mondiales). Certains évènements sont choquants, mais c'est ce qui rend le livre si marquant. J'aime le côté "trash" qui nous fait ressentir un aperçu de la vie post-apocalyptique. Lecture scolaire imposée qui s'est finalement transformée en belle découverte !
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La grande nuit

Vol.

Préjugés. Ségrégation.

Viol.

Meurtre.

Cannibalisme.





La nuit après l’explosion nucléaire.

La grande nuit de l’humanité.





Adamek, cette fois, n’a pas fait de quartiers. Il nous a tout balancé. Et c’est dur.





C’est dur pour les survivants, c’est dur pour Anton Malek, qui a été sauvé par la grotte-même qu’il visitait lors de vacances dans les Ardennes belges.

Trouver le chemin de la sortie, cela a été dur. Et encore plus trouver son propre chemin.

Car les quelques personnes qu’il rencontre sont elles-mêmes si déboussolées, si désorientées, qu’elles ont perdu, pour la plupart, leur capital d’espoir et par là-même leur capital humain.





Et la nature...Mon dieu, la nature... Les cendres, le gris, la désolation. L’absence de vent. Ah si, il y a encore des poissons. Le salut viendrait-il de la mer ?





A coups de faits bruts et parfois insoutenables, avec une froideur toute apparente, Adamek nous fait avancer, comme il fait avancer Malek.

Sur la route ? Mais quelle route ? Cormac McCarthy m’avait désespérée. Adamek, s’il ne me permet pas d’avoir beaucoup de foi en l’humanité, insuffle quand même un petit espoir. Mince. Mais de l’espoir.





La nuit pourrait-elle avoir une fin ?

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La grande nuit

Superbe livre. Le début me semblait un peu ennuyant, mais une fois les péripéties j'ai lu ce livre d'une traite; Je l'ai en sujet d'examen, j'espère réussir.
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La grande nuit

Anton Malek, après une dispute familiale visite des grottes ardennaises, il rencontre Marie, vieille dame pleine de vie…..et puis un grand bruit, des éboulements, des morts, des blessures et l’attente des secours qui ne viennent pas.

Malek a étudié le comportement des loups, surtout solitaire et inconsciemment met en route le même besoin de survie.

Il atteint seul la surface…..tout est brulé, le soleil n’est plus visible……il part vers la mer, les Caps…

Excellent.

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La grande nuit

Il était une fois ce qui restait de l'humanité après une explosion nucléaire. Accident ou guerre, nul ne le savait, mais l'essentiel était ailleurs : survivre alors que presque tous sont morts et presque tout dévasté, brûlé, contaminé, irradié.



Au moment de la catastrophe, Anton Malek visitait une grotte souterraine dans les Ardennes belges. Ayant survécu aux éboulements, enfoui sous terre, il comprit qu'il y avait un problème quand il réalisa que personne ne venait à son secours. Finalement parvenu à s'extraire du gouffre, il découvrit l'ampleur du cataclysme. Il décida alors de se diriger vers la mer, persuadé que la zone côtière serait moins dégradée. Au terme d'un pénible périple et de rares rencontres, il s'installa dans une petite communauté de survivants, où régnaient organisation, solidarité, bienveillance et courage. Et Malek se prit à espérer en un monde meilleur : « Dans cette grande nuit qui s'était abattue sur la terre, ils se réveilleraient un jour, blessés, difformes sans doute, les mains écorchées et les yeux sans couleur, mais éblouis par la pureté regagnée des limons et des sables. [...] Sans révolte ni compassion, ils avaient anéanti des milliers d'espèces, corrompu les sources et les mers, massacré leurs frères pour un champ de pétrole ou quelques galets d'uranium, souvent aussi pour la gloire imbécile des drapeaux. Et puis enfin, ils étaient allés jusqu'au bout de la terreur en détruisant les villes et leurs peuples. Leur longue et terrible épreuve allait les réconcilier à jamais avec la terre. Alors, la grâce retrouvée balaierait la fureur des dieux assassins. Les hommes n'éprouveraient plus de honte à embrasser les arbres de leur corps nu, ni les femmes à caresser les longs cheveux des algues et d'en haleter de bonheur ». Mais Malek en fut pour ses frais, et l'humanité eut tôt fait de retourner à ses travers.



Dans cette dystopie post-apocalyptique, Adamek ne nous épargne rien des horreurs dont les humains sont capables : stigmatisation, racisme, antisémitisme, instrumentalisation de la religion, mensonge, vol, viol, meurtre, cannibalisme. Sous sa plume souvent glaçante, plus rarement poétique, la solidarité perd du terrain, tandis que l'individualisme et l'intolérance ont l'avenir devant eux. A moins qu'une lueur d'espoir parvienne à percer à travers cette épaisse noirceur...



« La grande nuit », de lecture facile et addictive, est un conte cruel, plutôt pessimiste quant à la nature humaine et à ses pulsions (auto)destructrices. Ce texte, publié il y a près de 20 ans, résonne curieusement (prémonitoirement?) en cette ère d'anthropocène. Et, toutes proportions gardées, les espoirs de Malek m'ont fait songer à l'éphémère « monde de demain », que d'aucuns annonçaient au tout début du premier confinement au printemps 2020. Quoi qu'il en soit, malgré le thème très sombre et sans que je comprenne bien pourquoi, ce diable d'Adamek (paix à son âme) est à nouveau parvenu à me secouer, et même à m'émouvoir.
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