Martin regarda leurs visages ravagés par l'alcool, ;es bouches édentées, les yeux fatigués, les cheveux hirsutes, les corps délabrés, les regards rancuniers ou pleins d'une béatitude sotte d'ivrognes. La vie les faisait souffrir et !ils ne pouvaient par l'oublier sans boire? Ils détestaient affreusement leur existence, mais pouvaient l'aimer ardemment quand ils étaient ivres.