Les aventures dans lesquelles je me trouvais embarqué en lisant les livres empruntés à la bibliothèque avaient beau être aussi variées et différents les unes des autres que les histoires des Mille et Une Nuits, elles avaient pourtant toutes le même effet : elles m'enveloppaient comme un manteau protecteur et me préservaient des Pantins du monde là-dehors. C'est pour cette raison que j'aimais la bibliothèque [de Visible]. Pour moi, c'était le milieu du monde.