— Tu attends quoi pour retourner au manoir ? me demande-t-il finalement après avoir arrêté la voiture sur une place de parking proche de l’appartement.
— Le bon moment. Mais je n’y retournerai que si j’obtiens ce que je souhaite.
— Tu ne l’as pas déjà ?
J’esquisse un sourire entendu devant sa perspicacité.
— Si, mais ton frère ne le sait pas.
— Tu es machiavélique, Abigael, raille-t-il en descendant du véhicule.