Comme il était dépourvu de presque tout, de chefs, d'employés, de famille, de maison, d'idées politiques, de religion, d'argent, et même d'un bout de ciel qu'il aurait pu considérer comme sien, cette histoire de guerre lui était apparue comme une chose non seulement horrible mais aussi complètement étrangère à sa vie. (p.158).