Tous ces garçons. Toutes ces mères. Tout ce chagrin. Et ici, pas la moindre excuse, jamais. Il aurait été appréciable de lire quelque part, ne serait-ce que sur une toute petite plaque de rien du tout : Désolé. Nous nous sommes trompés. Tout ce colonialisme, cet empire, ce massacre de nos enfants. Tout ce Dieu. Les terres confisquées. Les ressources pillées. Le patriarcat au pinacle. L’Église et l’armée main dans la main. (page 153)