Règle implicite n°16 :
"Les filles doivent montrer plus d'émotions qu'elles n'en ressentent. Les garçons, eux, doivent tout garder pour eux."
Règle implicite n°19 :
Quand une famille part en week-end, l'homme prends le volant, même si il n'est pas le meilleur conducteur. Tout comme la femme s'occupe à coup sûr de l'intendance, même si elle travaille davantage. Plus qu'une règle, c'est une LOI.
Règle implicite n°2 :
Si une fille a les cheveux frisés, elle les veut raides. Si elle est petite, elle veut être grande. Si elle n'a pas de seins, elle veut une grosse poitrine. Défense de se satisfaire de ce qu'on a.
Règle implicite n°3 :
Si un élève ne rend pas un devoir à temps, il écope d'une retenue. Si un prof ne corrige pas ses copies, rien. Les retenues, chez les profs, ça n'existe pas.
Note perso de Jess n°8 :
Jadis, la corpulence était synonyme de prospérité. Un teint hâlé était synonyme de misère. Qui m'a catapultée dans la mauvaise époque ?
Règle implicite n°1 :
Être une fille, c'est lourd. Et gonflant. Les deux en un.
"La seule pensée d'être vue sans une base, du fond de teint, un anticernes, une poudre bronzante, de l'enlumineur, du mascara, du fard à paupières, du rouge à lèvres (mat bien entendu), un trait d'eye-liner, une poudre de finition et un spray fixateur me donne des frissons." pg 20