Il en va toujours ainsi. La souffrance, la douleur de l'autre restent indicibles, elles se traduisent par ces cris, cette véhémence terrifiante mais jamais ne laissent entendre ou deviner le noyau secret du malheur, la tragédie de l'âme. Ce qui s'exprime entre deux êtres n'est jamais que l'infime partie, la partie accessible de ce formidable iceberg que chacun porte en soi. (p. 174)