Peut-être que la journée, il se peint le corps en gris, se met debout sur une boîte dans la rue près d’un endroit connu et cligne les yeux quand on lui donne une pièce. Le soir, il échoue dans son canapé, ses muscles se relâchent, son corps s’enlise. Assis là, il s’entraîne à ne pas bouger, à ne pas regarder la télévision allumée pour pouvoir ensuite ignorer un enfant qui court autour de lui.