“En pleine possession de nos privilèges de vivants, nous pénétrons dans le domaine des morts et le lieu sacré de leur refuge. Ce froid dans nos veines et cette odeur poignante de la terre dans nos bouches. Nous absorbons, avec une facilité étonnante, la nuit des morts, leur froid excessif, toutes ténèbres, terreur et horreur cachées. Élevés à une très haute puissance, tous tant que nous sommes, la vie et la mort n’ont plus aucun secret ni tournant pour nous. (Les enfants du sabbat, p. 44).”