Tout a sa place dans les Public Libraries, soutient l'ALA. Aucun texte, aucune opinion n'y sont déplacés puisqu'ils aident le citoyen à se forger leur propre opinion. (...) Les opinions minoritaires, provocatrices, scandaleuses ont leur place dans les Public Libraries. L'effet pervers de cette acceptation universelle est que le rôle du bibliothécaire n'est plus de choisir : il est d'acquiescer. "Effet pervers" aux yeux des bibliothécaires français mais aussi américains.