[...]Que sait-on réellement des autres à travers leur visage ? [...] Si la démence, la haine retorse que ressentait cette créature étaient visibles, pourquoi ne l’avait-on pas encore identifiée ? Quelqu’un devait pouvoir l’observer – sa famille, sa femme, ses amis ? Que pensaient-ils, s’ils savaient ? Pouvait-on savoir cela d’un être humain et se taire ? Ou bien refusait-on de le croire, niait-on l’évidence, trouvait-on à cet état de fait un sens différent ?