J'avais alors une liberté complète, un métier que j'aimais avec un patron lointain, l'Etat, l'entrée dans le monde merveilleux des musées où les oeuvres d'art sont là pour vous. Quand je me suis retrouvée seule dans la grande galerie du Louvre après la fermeture au public, avec tous ces chefs-d'oeuvre, j'ai ressenti une joie ineffable. (p. 35)