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Critiques de Anne-Sophie Faivre Le Cadre (17)
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Les jours aimés

Roman très émouvant sur la relation d’une grand mère et de sa petite fille .

Constance a toujours dit qu’elle n’abandonnerait jamais sa grand mère , grand mère aimante , dévouée .

Constance nous raconte des souvenirs d’enfance , puis d’adolescente , elle va vivre quelques années avec sa grand -mère et leur lien sera encore plus fort .

J’ai beaucoup aimé la plume subtile de l’auteur qui arrive a ajouter de l’universel dans son histoire personnelle, tout le monde a un lien particulier avec souvent une de ses deux grands -mères mais il faut du talent pour écrire et toucher .

J’ai beaucoup aimé l’évocation de la deuxième grand -mère , morte après des années de maladie invalidante , la différence de milieu social est très bien décrite .

L’autre grand -mère , la grand- mère paternelle qui lui disait qu’elle était belle comme une usine , parce que pour elle , c’était le plus beau compliment .

Les années passent , la vie nous empêche souvent de tenir nos promesses d’enfants , malgré tout , la jeune fille devenue femme va rendre une dernière visite à sa grand - mère avant de repartir aux États Unis , c’est un non dit entre elles , bien entendu que c’est la dernière fois où elles se voient , mais la grand - mère a maintenant 94 ans et elle donne sa bénédiction à sa petite fille ´ vis ta vie , sois heureuse ´ , bien heureuse grand - mère , digne jusqu’au bout , droite et fière , indépendante jusqu’à son dernier souffle .

Un très beau portrait .

Il y a malgré tout quelques petites maladresses , on sent le premier écrit , c’est pour ça que je ne donne pas 5 étoiles mais une très belle lecture que je vous conseille .

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Les jours aimés

Un roman autobiographique, cela en a tout l'air à en croire les articles lus au sujet d'Anne-Sophie Faivre Le Cadre. Les jours aimés est donc un récit pour décrire l'amour d'une petite fille à sa grand mère.



Elle a 94 ans cette femme qui vit encore seule dans sa maison. Elle accueille peut être pour la dernière fois sa petite fille qui arrive tout droit de Dakar, où semble-t-il, elle travaille. Elle est journaliste. Vivre ces quelques jours auprès de sa grand-mère est l'occasion de lui dire qu'elle l'aime, elle l'aime plus que tout et pourtant elle est incapable de le lui dire. Le silence s'installe. Alors elle remonte dans son enfance et nous raconte ses années collèges, "ces excentricités d'adolescente", sa famille, ses parents, ce père violent, ces "juifs errants" comme elle aime les nommer, qui ne sont pas juifs mais qui ont pour particularité de déménager tous les 5 ans. Elle, à 13 ans, elle a eu la chance de vivre trois ans chez sa grand-mère, avant son baccalauréat. Le lien s'est renforcé de toute évidence.



Ce récit ce lit facilement, il est limpide, on s'y attache à cet enfant qui grandit, qui vit sa première fugue à vélo sur les traces de Georges Sand... On l'aime cette grand-mère qui a tout fait pour sa petite, tout en action et en silence.



La tendresse est là, pas dans les gestes forcément ni les paroles mais dans la présence à l'autre. Voilà comment je les ai ressenti ces deux femmes, l'une très jeune et l'autre à l'aube d'un départ.





#LesJoursaimés #NetGalleyFrance
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Les jours aimés

Chère Anne-Sophie,

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J’avais oublié cette émotion que l‘on peut ressentir à la lecture d’un roman, cet oubli complet du monde extérieur lorsque plongé dans un texte, on n’entend plus rien, si ce n’est les mots de l’auteure, et cette sensation que tout s’insinue en nous, le vécu du narrateur devient le nôtre. Son histoire nous parle totalement, chaque phrase comme un écho à notre vécu. On se laisse absorber et là, plus rien ne compte. Une parenthèse dans ce temps qui file sans que l’on en soit pleinement conscient, une introspection parce que quand on est totalement investi dans le récit, c’est que quelque part tout prend son sens.

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Te dire que ce roman est tombé à un moment particulier, que tes mots m’ont remué et que ma nature contemplative a été comblée par ce texte n’est pas suffisant. J’en ai aimé la mélancolie, celle de la vie qui avance encore et toujours, et qui laisse ses traces sur chacun de nous, celle qui évoque l’hier si loin désormais de l’aujourd’hui. Restent les souvenirs, bons ou mauvais qui se télescopent avec ce que l’on est devenu, ce que l’on était déjà trop tard pour être rattrapé…Les silences et les non-dits qui s’installent, rythment les retrouvailles, et cette nostalgie, un peu, avec toujours cette capacité à avancer, inévitablement vers demain même si cela signifie s’éloigner de ceux qui ont compté, qui comptent encore.

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De ces instants passés auprès de Constance et sa Grand-mère, je retiens ton écriture, cette ambiance que tu as su instaurer et surtout cet amour entre ces deux femmes, ce lien qui perdure et la beauté de ces sentiments qui ne se disent pas mais pourtant qui sont bien là. Et une conclusion, rien n’arrête les effets du temps qui passe….
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Les jours aimés

Constance, à la faveur d’une visite (la dernière ?) chez sa grand-mère revisite sa vie. Elle revoit son enfance et son adolescence, et le rôle clé qu’a rempli cette grand-mère, toujours là pour elle, prête à excuser toutes ses erreurs, ses ingratitudes d’adolescente. Dans ce livre, l’auteure nous raconte l’amour d’une jeune femme pour sa grand-mère, même si elle ne sait plus l’exprimer avec des mots, même s’il est dur de voir si faibles et si fragiles ces personnes qui ont été à une époque les piliers de notre vie.

A travers une histoire probablement personnelle, l’auteure parvient à évoquer des situations universelles. J’ai profondément ressenti les sentiments de Constance face à sa grand-mère, la force de son amour et sa difficulté à le communiquer. Alors comme elle ne sait plus parler du présent, elle entremêle son récit de son histoire, au cours de laquelle sa relation avec sa grand-mère a été prépondérante. Et Celle-ci va lui faire le plus beau des cadeaux : la dédouaner de sa culpabilité, à l’idée de repartir.

Un très beau livre plein d’émotions.

Je remercie NetGalley et les éditions Anne Carrière pour l’envoi de ce livre. # #LesJoursaimés #NetGalleyFrance

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Les jours aimés

Constance, jeune journaliste au Sénégal vient passer quelques jours dans la banlieue d’Anger chez sa grand-mère de 94 ans réjouie de cette visite.

Dans le passé pour soulager les parents accaparés dans leurs responsabilités de hauts-fonctionnaires, la nonagénaire s’était beaucoup occupée de Constance. Pendant son enfance et à l’adolescence, l’investissement de cette grand-mère au fort tempérament a permis de façonner une relation privilégiée entre elles. D’ailleurs leur complicité et cet amour basé sur la confiance vont couvrir les goûts fantasques de Constance grâce à un soutien indéfectible, inconditionnel vis-à-vis de ses parents.

Cependant, les années passant, la vie de jeune adulte et la distance géographique ont émoussé la fréquence des liens réduits à quelques communications téléphoniques de plus en plus rares.

Aujourd’hui les souvenirs de Constance la culpabilisent de savoir la vieille femme au crépuscule de la vie se débrouiller seule chez elle. Comment va-t-elle gérer la situation ?

MON AVIS

Un grand merci aux éditions Anne Carrère et site Babelio pour leur opération Masse Critique, et la découverte de ce premier roman d’une jeune auteure prometteuse. Certes le journalisme l’a aguerrie à l’écriture fluide, mais elle a su transmettre émotion et vision sociétale par le biais de cette biographie impartiale. Au cours d’un séjour chez sa grand-mère, des flashbacks sur sa courte vie (elle n’a que 27 ans) ponctués de son histoire familiale assouplissent la forme trop linéaire d’une biographie chronologique. Ainsi, le rythme agréable fait jongler le présent avec le passé familial et personnel de l’auteure. On apprend à connaître cette grand-mère aujourd’hui vieillissante, mais riche d’une histoire familiale transmise à Constance qui a su si bien nous la retranscrire. Voici un partage de deux personnalités fortes qui se comprennent.



La mauvaise conscience de Constance est on ne peut plus compréhensible : la remarquable dévotion de sa grand-mère met en relief son ingratitude sous-jacente à la vie qu’elle mène aujourd’hui. Le contraste des engagements de part et d’autre sont pourtant vraiment humains et généreux, ils transposent les préoccupations des âges de la vie. J’ai été assez surprise de l’écriture et de la vision de l’auteure quand on regarde son jeune âge, j’ai perçu beaucoup de maturité dans ses réflexions et dans sa prise de recul vis-à-vis de son histoire familiale.



De nombreux thèmes évoqués :

On peut qualifier le roman régional, il se passe dans la région d’Angers avec une description de population, son évolution et plus particulièrement celle de la bourgeoisie de province, dans une famille typiquement française mais pourtant originale.



L’adoption dans toutes ses formes : j’insiste sur celle de Pierre-Marie particulièrement touchante.



Révolution dans les années 80, l’émancipation des femmes passe aussi par la cuisine : sa mère et sa grand-mère dégagées de cette obligation de « faire à manger », elles apprécient les plats industriels et ne complexent pas de les servir alors leurs enfants. Une certaine vision sociétale remise en question aujourd’hui par le « fait-maison » très tendance.



Un divorce tardif à l’initiative du père, une rupture familiale qui survient parce que celui-ci se « réalise enfin » avec une autre femme, il peut jouir de la vie sans les entraves d’une famille.

Une biographie très agréable non dépourvue d’humour avec un regard affuté sur la société et la vie parvient à faire réfléchir le lecteur sur ses propres agissements. Je défie les lecteurs de ne pas être tentés de lire ces lignes sans penser à son vécu aux périodes citées. Ce livre parlera à tous, quel que soit le ferment familial avec lequel il s’est construit.
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Les jours aimés

Constance s’est fait une promesse : jamais elle ne laissera sa grand-mère adorée finir ses jours dans un hospice. Impossible. Hors de question. Elle l’aime trop pour la voir évoluer dans un mouroir.



Seulement, voilà, des quelques décennies plus tard, la vie de Constance a évolué. Aujourd’hui, elle vit en Afrique, avec son compagnon, sa vie professionnelle l’accapare et ne lui laisse que peu de temps pour retourner en France et passer quelques jours auprès de celle qui l’aura élevée et lui aura tant appris.



Il faut dire que la grand-mère de Constance, elle est absolument incroyable, prête à tout pour l’épanouissement et le bonheur de sa petite-fille. La grand-mère de Constance, c’est un peu la grand-mère que tout le monde voudrait avoir : moderne et délicieusement féministe, avec une tendance à apprécier tout ce qui est déraisonnable. Constance veut fuguer et aller sur les traces de Georges Sand ? Qu’à cela ne tienne, elle la couvrira auprès de ses parents. « On a qu’une vie, ma chérie, après tout ! Profitons-en au maximum », tel pourrait être sa devise, à cette grand-mère hors du commun.



Le temps de quelques jours, Constance va se retrouver auprès de sa grand-mère. Et, avec ses retrouvailles, c’est le voile de tout l’amour que les deux femmes se portent l’une à l’autre, qui se lève. Un amour qu’elles n’arrivent pas à exprimer. Constance, elle, voudrait tant y arriver. Lui dire à quel point sa vie n’est que plus belle, avec elle dedans. Mais les mots ne sortent pas, c’est trop dur. Dire « je t’aime », c’est difficile, bordel. Alors, la parole laisse place aux silences. Et dans ces silences, c’est tout leur amour qui hurle. Qui hurle à vous en faire mal aux tympans.



Dans ce roman aux airs autobiographiques, l’auteure nous parle de ces amours familiaux, ceux qui dépassent toutes les frontières. De ces amours qui font battre nos cœurs plus vite… ou qui font que ces derniers, justement, manquent un battement. Le manque, l’amour, la famille. Anne-Sophie Faivre Le Cadre nous livre un récit d’une grande justesse émotionnelle, à la fois touchant, sensible et feutré. À l’image de l’amour que se portent mutuellement ces deux femmes.



Un roman à découvrir et à savourer.
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Les jours aimés

Une plongée dans nos propres souvenirs d'enfance et d'adolescence, un récit qui interroge l'attachement familial et l'inévitable délitement des liens au contact de la vie qui suit son cours. Et la culpabilité, une fois adulte, face à l'ingratitude adolescente.



Les jours aimés, c'est aussi le portrait d'une grand-mère moderne et aimante qui m'a résolument touchée, qui m'a évidemment rappelé ma propre grand-mère, et je n'ai pu m'empêcher de verser une larme à la fin quand (pas de spoiler).

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Les jours aimés

La mort, (la fin si l’on veut faire dans l’euphémisme) c’est un sujet qui me parle. Qui nous parle, tous, je suppose, mais qui m’effraie particulièrement. Ici, les pires craintes sont confirmées. Car il ne s’agit pas que du point final d’une vie, mais avec celle-ci, parfois, de toute une branche de la famille. Comment les générations remplacent les générations, sans avoir, à la fin, plus aucun souvenir de la première. Et poussière redevient poussière, et la réassurance de persister dans les souvenirs de ses proches s’évapore. Et pourtant, ce n’est pas que ça, dans les Jours aimés. Car l’autrice nous parle aussi d’une France qui change. Cette fameuse France périphérique, semi-rurale, provinciale de fait, qui est dénaturée par des bâtiments sans âme, des ronds-points, des routes, des hyper interchangeables. La grand-mère chérie, la grand-mère à laquelle on n’arrive pas à dire au revoir, c’est aussi cette France-là. Je ne veux pas que vous croyiez qu’il ne s’agit que de tristesse, c’est aussi une tranche de vie belle, une tranche de vie réaliste, où l’amour et la joie transpire dans cette relation entre grand-mère et petite-fille. C’est un livre qui nous parle d’héritage, et qui montre la brutalité des semaines qui suivent. Les vêtements repassés qu’on retrouve dans une benne, les meubles échangés de générations en générations jusqu’à ce qu’on n’ait plus de place, la revente de la maison chérie pour avoir un pied-à-terre près de la mer, bref, ces petits marchandages terribles que chacun de nous peut faire, du moins intérieurement, manière peut-être, de marchander avec l’absence. Et enfin, c’est un livre qui parle de ce silence. Le silence des derniers jours, quand la pudeur clôt les lèvres, mais voile les regards. Ces petites habitudes qui deviennent si délicates quand on ne sait combien de temps on pourra encore les faire. La dignité, la beauté. Réflexion sur la mémoire, et chant douloureux, pourtant magnifique, c’est un livre court qui avec une prose précise (féroce parfois), toujours belle, arrive à nous serrer la gorge doucement, tout doucement. Nostalgie, mélancolie, le bonheur d’être triste. Les crépuscules peuvent être majestueux.
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Les jours aimés

Avant de considérer ma critique, vous devez savoir quelques petites choses :

Primo, je ne suis pas une amatrice de portraits. J' aime les histoires, les récits, les rebondissements et les fins.

Deuxio, j'adore tout ce qui touche au grand âge. Fiction ou récit, peu importe, la sensibilité et la (soi-disant) sagesse des seniors me touchent.

Dès le début de ma lecture, j'ai eu la sensation que je n'aurais pas ce à quoi je m'attendais : le portrait d'une grand-mère hors norme, et une histoire de placement en maison de repos.

De fait, c'est toute la famille qui est hors norme et toute la famille qui passe sous les projecteurs, sous la plume d'Anne-Sophie.

Quant à la maison de repos, on en parle, heureusement, mais pas de celle que je pensais...

C'est un recueil de souvenirs, en fait, donc pas de twist, pas de fil rouge... Je me suis rendue compte à plusieurs reprises que je n'avais pas assimilé un passage du livre. Je venais de lire distraitement, passivement, comme si mon cerveau avait décidé que ce n'était pas intéressant...

Selon moi, ça révèle un manque de pep's et d'accroche dans l'écriture. C'est regrettable, car d'autre part, l'auteur a tout d'une grande : le vocabulaire est soutenu, l'émotion est là, rien ne m'a gênée dans ma lecture.

C'est donc un très bon livre que j'ai reçu grâce à Masse Critique, il ne m'a pas satisfaite à 100% mais je le recommande !

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Les jours aimés

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans cette lecture et puis petit à petit j'ai pris plaisir à lire cette jolie histoire entre la petite fille et sa grand-mère. J'ai aussi apprécié le passage qui dépeint le quotidien des personnes âgées qui ne sont plus en mesure de rester chez elles et doivent de retrouver dans des structures spécialisées avec tout ce que ça comporte.
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Les jours aimés

Un premier roman, que l'on soupçonne autobiographique, qui tantôt vous fera sourire, tantôt vous serrera le cœur.

Si l'histoire est singulière, le sujet lui est universel: l'amour. L'amour réciproque d'une petite-fille à sa grand-mère. L'amour d'une famille, avec ses maladresses.

La solitude des personnes âgées mise en lumière dans le roman est également poignante et amène une vraie prise de conscience.

J'ai pris beaucoup de plaisir à me plonger dans les souvenirs de Constance et recommande vivement cette échappée littéraire.
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Les jours aimés

Bonjour

le roman de Mme Faivre-Le cadre qui est en réalité un récit puisque le nom de personnes et celui des lieux est cité et correspond à la réalité, est en effet émouvant. Certaines péripéties ont été modifiées dans le sens justement du roman, en particulier l'épisode de la fugue à Nohant qui n'a absolument pas été "couvert" par la grand-mère. mais peu importe ! cela fait partie du jeu...romanesque, et bien sûr les Editions Carrière ont pris bien soin de titrer le livre "roman" pour se dédouaner de toute critique.

Néanmoins je voudrais attirer l'attention d'une phrase que Mr...Gendarme a laissé passer, p.131 du livre où le père de la narratrice, haut fonctionnaire au Ministère de l'Intérieur prononce pour sermonner sa fille. le lecteur s'y reportera. En gros ce haut fonctionnaire JUSTIFIE un viol en réunion !! Pas moins. Comment Mr...Gendarme a pu laisser passer une telle ignominie à l'heure de Metoo ??!! Et ce, faisant partie d'une administration qui comporte un ministère des Droits et protection de la femme ?? Je ne sais si MMe Schiappa en est toujours la titulaire. Cette phrase est ignoble. Elle déshonore et l'auteur et M...Gendarme et les Editions Carrère. Ce qui prouve que malgré toutes les luttes des femmes pour qu'on les respecte, pour que les hauts fonctionnaires ne justifient plus le viol - rappel : circonstance aggravante : en réunion ! -, on continue à bafouer ignoblement le droit des femmes à ne plus être traitées comme des poupées violables au bon vouloir de salopards.

Mr...Gendarme, faites la...police devant votre porte, et je vous en supplie, dans les prochains tirages, supprimez cette ignominie !

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Les jours aimés

Quelle magnifique histoire que celle de Constance et de son histoire d’amour pour sa grand mère. Dans ce roman splendide, Constance partage ses souvenirs qu’elle a en commun avec sa grand mère, on ressent assez facilement l’amour, la reconnaissance de Constance envers cette vieille dame qui a su la comprendre lorsque ses parents n’en était pas capable.



Anne Sophie Faivre Le cadre nous livre une plume douce et brut à la fois, de part certains aspects difficiles de la vie de Constance, elle utilise avec justesse des mots qui seront capté l’attention de son lecteur, rendant toutes les Constance attachantes. L’enfant, l’adolescente, la jeune femme et enfin la femme. Tous ces non-dits entre elles qui sont pourtant tellement détectable dans le choix des mots de l’auteur.



Une histoire bouleversante et captivante.
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Les jours aimés

Ce livre raconte l’histoire d’une jeune fille d’environ 25 ans. Sa relation avec sa grand-mère maternelle est principalement évoquée mais pas que.

Je dois vous avouer que ce livre n’est pas un coup de cœur. Il se lit très bien et vite (le livre est court et peut être lu en une demi-journée). Mais j’avais parfois du mal à suivre entre le présent avec la grand-mère maternelle, des bouts de passé avec d’autres personnages etc. Il n’y a pas une intrigue, un secret. Il s’agit plutôt d’une vie racontée par morceaux.

Ce livre donne l’impression d’être autobiographique.
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Les jours aimés

Voilà un récit sur les liens entre une grand-mère et sa petite-fille. Un récit d'une famille qui pourrait presque être la nôtre. Constance retrace l'histoire de sa famille, sa vie d'adolescente, la vie de ses parents et celle de sa grand-mère. On voyage d'une époque à l'autre. Et cela fait, inévitablement, écho aux histoires d'autres.Mieux que des jours heureux, "Les jours aimés" retrace les souvenirs qu'on aime se rappeler.



L'écriture est juste et fait ressentir la tendresse de cette petite-fille pour sa grand-mère.

Ce récit m'a touchée et m'a fait réfléchir sur la vie de mes grands-parents. Finalement, que sait-on de la vie de ses aïeux ? Comment leur dire qu'on les aime ?

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Les jours aimés

C'est un très beau livre où Constance narre tout en douceur, avec nostalgie et parfois une pointe d'amertume sa relation avec sa grand-mère, et avec toute sa famille. D'une grande finesse.
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Les jours aimés

Le commentaire de Martine :

Une histoire très touchante, une belle histoire celle de cette petite-fille et de sa grand-mère. Constance adore sa grand-mère, elle lui promet de ne jamais l’abandonner. Cette femme, qui a été pour elle, aimante, dévouée, attentionnée, que peut-on offrir de mieux, que de lui rendre la pareille.

C’est sous son regard, que nous suivons l’histoire de ces deux femmes, écrit avec une plume sensible, humaine et conciliante, qu'Anne-Sophie nous livre leur message sur leurs relations filiales. Il y aura l’autre grand-mère qui, elle aussi sera présente dans une partie du récit, avec laquelle Constance aura une relation à l’opposé de cette complicité vécue avec sa grand-mère maternelle.

Dans ce récit, la vie n’est pas celle que nous avions prévue. Malgré tout cela, on peut réussir ou échouer dans ses promesses, ses rêves et ses désirs, mais l’amour, les liens filiaux, la compréhension et l’écoute qui permet dans ce roman de bien saisir la grande relation qui unit ses femmes au travers des années. De beaux portraits de femmes indépendantes, fortes et marquantes.

Je vous recommande ce beau roman que j'ai aimé lire, un roman émouvant.
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