Il n’y a pas qu’une seule poésie. Il en existe beaucoup, presque autant que de poètes. Il y a celles qui viennent du cœur, des tripes, qui émergent d’une émotion forte, puis il y a celles, plus calculées, plus froides, qui viennent du cerveau.
Durant un long baiser des plus attendrissants, sans faux-semblant, Trevor semblait aux anges. Pas comme lorsqu’il décharge dans les méandres d’une bimbo chopée dans une boîte huppée, en étant complètement beurré comme une tartine.
Non, à ce moment, il n’était que lui-même, sans protection contre son cœur, laissant libre cours à toutes les émotions. La vénus céleste avait apparemment un peu d’emprise sur ce chercheur d’or.
Toi, lecteur qui sourit, tu fais mon bonheur encourageant