A l'époque, il devint plus teigneux et commença à rendre les coups, et même à aimer ça. Marre d'être emmerdé, besoin de se défouler, ne plus craindre personne. Ses professeurs s'en rendirent compte mais n'alarmèrent pas ses parents, car [il] restait un bon élève. Brillant, même, selon certains. Et son allure vestimentaire n'évolua pas tellement - rien à voir avec un 'grunge' ou un 'punk', phobies collectives en ce temps-là du corps enseignant. [Il] restait un garçon de bonne famille en apparence, poli et parfois même réservé. Mais s'il ne changeait pas en extérieur, intérieurement il ressentait une colère qui ne faisait que croître.