« Il n’arrivait même plus à retomber sur les prémisses du syllogisme implacable qu’il avait mis au point après l’accident, grâce auquel il avait conclu qu’une innocence occasionnelle – (…) – ne retirait en rien à une culpabilité fondamentale, et réciproquement qu’une culpabilité occasionnelle – (…) – n’empêchait pas une innocence fondamentale. »