La plupart des cathares pensaient qu’après la mort, l’âme de chaque être humain renaissait dans d’autres vies, et que si la conduite des mortels avait été juste, ils seraient réincarnés dans des corps meilleurs, plus aptes à favoriser leur progrès spirituel. Le criminel, lui, reviendrait dans une chair à l’image de ses forfaits antérieurs. Rien, en dehors de l’intervention divine au jour du Jugement, ne pourrait interrompre ce cycle perpétuel de naissances et de renaissances.