Il faudra pour cela reconnaître clairement la responsabilité du capitalisme dans la destruction progressive de l’environnement, la déforestation, la catastrophe climatique, la destruction de la biosphère et de la biodiversité, et formuler les revendications d’un écologisme radical exigeant l’orientation d’une future ”économie verte” (socialiste) vers les besoins réels des individus, dans le cadre de la socialisation des moyens de production et du passage à l’autogestion, en rapport harmonieux et organique avec une planification écologique efficace (non bureaucratique).