- Je ne vais pas bien du tout, rétorqua Sibylle en remarquant que sa voix était stridente. Je viens de me réveiller dans cette pièce sombre, sans fenêtre, et je ne sais toujours pas pourquoi. Je… Je suis câblée comme un ordinateur, il n’y a pas de sonnette, et… Bon sang, mais dites-moi enfin ce qui m’est arrivé !
Elle ne put retenir ses larmes.
Le docteur Muhlhaus hocha la tête d’un air compréhensif et leva la main.
- Madame Aurich, quelle est la dernière chose dont vous vous souvenez ?