– Je te présente ton grand-oncle. C’est une ordure, mais il a de l’argent. Va dîner avec lui. Il te dira tout ce que tu veux savoir.
– Mais non, au contraire ! Ce serait un plaisir d'être entretenu par d'aussi belles dames !
– Tiens d'ailleurs… depuis avant-hier, on ne s'est pas vraiment parlé…
Si on perd sa fierté et sa dignité on n’a plus rien. C’est pareil qu’être mort !
Si je te parlais de moi, je ne serai pas impartial. J’ai préféré te fournir un point de vue relativement neutre.
Ce n'est pas facile à expliquer… Je veux te dorloter, te chérir… Mais parfois, il me vient l'envie de te détruire.
- Elle a des tatouages sur les bras ?
- Oui… Ça fait mauvais genre, hein !
- C’est l'hôpital qui se fout de la charité !
Il est surprenant, ce mec. Il a toujours dix ou vingt coups d’avance sur moi, il réplique jamais quand je l’engueule. Il m’écoute encore et toujours, il est infiniment gentil. Je suis obligée d’être avec lui en permanence. En cours, pendant mes loisirs. Mais j’ai beau passer tout ce temps avec lui, je connais toujours pas son vrai visage.
– Aujourd'hui j'ai toujours autant de mal à l'aborder... Dans un sens il a le même sang que le Boss.
Tsubaki : Elle t'ignore de quelle façon ?
Kirishima : Par exemple... J'ai dû sonner à son interphone une centaine de fois dans la dernière heure, et pas de réponse.
Tsubaki : Oh là là... Un conseil, arrête tout de suite ! ♥ Tu mets de l'huile sur le feu ! ♥