J'en chiais sang et eau, parce que lire, bordel, ça fait mal aux yeux au début, mais petit à petit l'âme se fait contaminer. Le soir j'embarquais de petits livres encore chastes sur ma mezzanine et le matin, je les redescendais dépucelés. (...)
C'est que le Boss, il aimait ses livres, à chaque fois qu'il vendait un bouquin, il avait l'impression de vendre son âme. (p. 19)