Critiques de Aurélie Chateaux-Martin (60)
Faire une romance sur un géniteur n'ayant jamais reconnu, ni porté de l'intérêt à son fils... Jusqu'à le rencontrer, par hasard, sans savoir qui il est... Il fallait oser ! Pour être honnête, j'avais peur de ce récit autour de l'inceste. C’est un sujet que je tolère difficilement, sauf dans des récits de belle-sœur/beau-frère avec une famille recomposée. Toutefois, j'ai cédé à la curiosité pour voir comment l'autrice avait géré cette situation... Et bien, étrangement, ça passe !
Les réflexions des personnages sont nombreuses et on ne cède pas à la facilité. C’est plus complexe qu’il n’y paraît. De plus, le couple fait attention, se remet sans cesse en question et tente souvent de mettre de la distance. Hélas, les choses sont compliquées lorsque les sentiments s'en mêlent... Finalement, ça se lit « presque » comme une autre romance... A ceci près que leur histoire est taboue. Attention, comme l'auteure, je ne « légitimise » pas les relations incestueuses ! Au contraire... Je dis simplement que le sujet a été traité correctement et que les protagonistes ont débattu sur de nombreux points.
Par contre, je m'attendais à une confrontation avec un tiers en désaccord. La mère de Kaoru, la famille, un collègue, un camarade de classe, un voisin, ... Bref, n'importe qui n'ayant pas un point de vue aussi ouvert, compréhensif et bienveillant ! (C’en est même choquant de voir autant de gens accepter la situation en quelques pages !...) Bon, j'aime quand il y a un peu de drama, je l'avoue... Cependant, cela aurait permis de nuancer un peu autrement qu'avec leurs propres réflexions et apporter un peu de réalisme à l'histoire.
Les réflexions des personnages sont nombreuses et on ne cède pas à la facilité. C’est plus complexe qu’il n’y paraît. De plus, le couple fait attention, se remet sans cesse en question et tente souvent de mettre de la distance. Hélas, les choses sont compliquées lorsque les sentiments s'en mêlent... Finalement, ça se lit « presque » comme une autre romance... A ceci près que leur histoire est taboue. Attention, comme l'auteure, je ne « légitimise » pas les relations incestueuses ! Au contraire... Je dis simplement que le sujet a été traité correctement et que les protagonistes ont débattu sur de nombreux points.
Par contre, je m'attendais à une confrontation avec un tiers en désaccord. La mère de Kaoru, la famille, un collègue, un camarade de classe, un voisin, ... Bref, n'importe qui n'ayant pas un point de vue aussi ouvert, compréhensif et bienveillant ! (C’en est même choquant de voir autant de gens accepter la situation en quelques pages !...) Bon, j'aime quand il y a un peu de drama, je l'avoue... Cependant, cela aurait permis de nuancer un peu autrement qu'avec leurs propres réflexions et apporter un peu de réalisme à l'histoire.
Une lecture qui fait rêver et voyager, des personnages coup de cœur et un monde original et magique, voilà ce que nous propose la plume d'Aurélie Chateaux-Martin dans ce premier roman.
Les descriptions sont à couper le souffle, l'intrigue est bien menée et les aventures, nombreuses. Je peux vous garantir qu'il n'y a pas de place à l'ennui dans Le Loup Gris et je vous conseille ce roman !
Lien : http://lalivrothequeblog.wee..
Les descriptions sont à couper le souffle, l'intrigue est bien menée et les aventures, nombreuses. Je peux vous garantir qu'il n'y a pas de place à l'ennui dans Le Loup Gris et je vous conseille ce roman !
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Coup de cœur ! Énorme coup de cœur !
Je me souviens avoir lu cette histoire pendant la nuit, résultat ? Je n'ai pas dormi tant que je n'ai pas eu terminé ma lecture.. Boh j'ai pas été dodo avant le petit matin parce que bon, ma liseuse tombait de temps en temps et mes yeux se fermaient légèrement.. 😂
Nous sommes avec Denis et Clément deux colocataires.
Clément est un garçon adorable, un garçon qu'on aimerait avoir en ami, il a l'esprit ouvert, il est gentil, compréhensif, curieux et adorable ! Denis lui est gay et assume pleinement, il aime le sport, il est taquin, gentil et tout aussi adorable que Clément. Ça fait 3 ans qu'ils sont colocataires et amis, tout va très bien entre eux et on peut sentir la gentillesse et le respect qu'ils ont l'un envers l'autre. Mais, le confinement est présent et le manque du passage à l'acte se fait ressentir.
S'accepter : le thème principal.
Ce n'est pas facile de se dire qu'on aime une personne du même sexe que nous alors que quelques semaines avant c'était le contraire ou du moins, on pensait que c'était le contraire.
Nous avons tout au long de notre lecture le point de vue de Denis et de Clément.
J'adore quand on suit le point de vue des personnages.
Denis et Clément sont deux personnages magnifiques et merveilleux.
J'ai eu un énorme coup de coeur et juste à refaire mon avis, j'ai envie de le relire..
Je vous recommande cette magnifique histoire remplie de tendresse et d'amour.
Je me souviens avoir lu cette histoire pendant la nuit, résultat ? Je n'ai pas dormi tant que je n'ai pas eu terminé ma lecture.. Boh j'ai pas été dodo avant le petit matin parce que bon, ma liseuse tombait de temps en temps et mes yeux se fermaient légèrement.. 😂
Nous sommes avec Denis et Clément deux colocataires.
Clément est un garçon adorable, un garçon qu'on aimerait avoir en ami, il a l'esprit ouvert, il est gentil, compréhensif, curieux et adorable ! Denis lui est gay et assume pleinement, il aime le sport, il est taquin, gentil et tout aussi adorable que Clément. Ça fait 3 ans qu'ils sont colocataires et amis, tout va très bien entre eux et on peut sentir la gentillesse et le respect qu'ils ont l'un envers l'autre. Mais, le confinement est présent et le manque du passage à l'acte se fait ressentir.
S'accepter : le thème principal.
Ce n'est pas facile de se dire qu'on aime une personne du même sexe que nous alors que quelques semaines avant c'était le contraire ou du moins, on pensait que c'était le contraire.
Nous avons tout au long de notre lecture le point de vue de Denis et de Clément.
J'adore quand on suit le point de vue des personnages.
Denis et Clément sont deux personnages magnifiques et merveilleux.
J'ai eu un énorme coup de coeur et juste à refaire mon avis, j'ai envie de le relire..
Je vous recommande cette magnifique histoire remplie de tendresse et d'amour.
Ce quatrième tome de la série #adopteunétudiant aborde l'histoire de Titi qui suit sur le plan temporel les trois premiers volumes.
Titi est un personnage solaire qui porte fièrement ses préférences; meilleur ami de Camille, il est barman et performe parfois comme drag-queen. Romantique invétéré, il est souvent sujet au coup de foudre avec le beau gosse de sa vie, jusqu'à ce qu'il se rendre compte de la grenouille qu'il fréquente. Matthieu, lui, est à l'opposé: poilu et bien enrobé, personne ne se retourne dans la rue sur son passage.
L'histoire est assez classique en fin de compte, mais les violences subies par Etienne obligent à une séduction lente de la part de Matthieu. Une lecture agréable, surtout si on a déjà apprécié les trois précédents.
Titi est un personnage solaire qui porte fièrement ses préférences; meilleur ami de Camille, il est barman et performe parfois comme drag-queen. Romantique invétéré, il est souvent sujet au coup de foudre avec le beau gosse de sa vie, jusqu'à ce qu'il se rendre compte de la grenouille qu'il fréquente. Matthieu, lui, est à l'opposé: poilu et bien enrobé, personne ne se retourne dans la rue sur son passage.
L'histoire est assez classique en fin de compte, mais les violences subies par Etienne obligent à une séduction lente de la part de Matthieu. Une lecture agréable, surtout si on a déjà apprécié les trois précédents.
[SERVICE PRESSE].
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Muse de Aurélie Chateaux-Martin.
•
Je remercie l’auteure pour ce nouveau service presse.
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Mon résumé :.
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Maël, adolescent brisé et nonchalant, veut absolument devenir modèle pour Styx, un peintre dont le gamin adore le travail. Styx s’y refuse, Maël étant mineur.
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Maël est un adolescent presque majeur. Sa vie n’a été qu’abus, drogue et sexe. Les hommes qui ont traversés sa vie l’ont abusé, pour certains, ou choisit comme ami, pour d’autres. Mais Maël cache son mal-être derrière une provocation sans limite.
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Mon ressenti final :.
•
J’ai découvert l’auteure avec un roman feel-good franchement drôle et sympa. Je découvre une nouvelle facette de cette auteure, à travers ce roman un brin fantasy.
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Franchement, je suis scotchée. 371 pages d’ebook avalées en trois heures. Un roman complètement immersif.
•
Nous faisons connaissance avec Maël, un ado presque majeur, qui a mal démarré dans la vie. Un père homophobe, un oncle pedophile, un ancien amant qui le jette, Maël se noie dans les clubs libertins à travers des tournantes qui l’abrutissent. Maël ne veut plus s’attacher à qui que ce soit, sauf à Noé, son colocataire. Passe par là, la drogue, le deal et Noé finit par choisir quelqu’un d’autre. Le mal-être de Maël m’a touché, m’a percuté, tant l’écriture de l’auteure est incroyablement mature.
•
On distingue une qualité d’écriture époustouflante, une nette différence entre la narration, qui est délicate, chaude, lisse, et les dialogues qui sont plus actuels, plus effrontés, plus bruts. Le personnage de Maël est d’une sensibilité exacerbée et même temps, il est tellement abimé. Styx m’a franchement plu, par son côté grincheux et habité par l’art. Il a lutté avec force contre son attirance pour Maël, qu’est ce que c’était beau !.
•
Un léger côté fantasy apparaît de tend à autre, justement dosé pour laisser toute la place à ces personnages sensibles et si prenants.
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C’est un excellent premier tome. Vraiment.
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Muse de Aurélie Chateaux-Martin.
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Je remercie l’auteure pour ce nouveau service presse.
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Mon résumé :.
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Maël, adolescent brisé et nonchalant, veut absolument devenir modèle pour Styx, un peintre dont le gamin adore le travail. Styx s’y refuse, Maël étant mineur.
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Maël est un adolescent presque majeur. Sa vie n’a été qu’abus, drogue et sexe. Les hommes qui ont traversés sa vie l’ont abusé, pour certains, ou choisit comme ami, pour d’autres. Mais Maël cache son mal-être derrière une provocation sans limite.
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Mon ressenti final :.
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J’ai découvert l’auteure avec un roman feel-good franchement drôle et sympa. Je découvre une nouvelle facette de cette auteure, à travers ce roman un brin fantasy.
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Franchement, je suis scotchée. 371 pages d’ebook avalées en trois heures. Un roman complètement immersif.
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Nous faisons connaissance avec Maël, un ado presque majeur, qui a mal démarré dans la vie. Un père homophobe, un oncle pedophile, un ancien amant qui le jette, Maël se noie dans les clubs libertins à travers des tournantes qui l’abrutissent. Maël ne veut plus s’attacher à qui que ce soit, sauf à Noé, son colocataire. Passe par là, la drogue, le deal et Noé finit par choisir quelqu’un d’autre. Le mal-être de Maël m’a touché, m’a percuté, tant l’écriture de l’auteure est incroyablement mature.
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On distingue une qualité d’écriture époustouflante, une nette différence entre la narration, qui est délicate, chaude, lisse, et les dialogues qui sont plus actuels, plus effrontés, plus bruts. Le personnage de Maël est d’une sensibilité exacerbée et même temps, il est tellement abimé. Styx m’a franchement plu, par son côté grincheux et habité par l’art. Il a lutté avec force contre son attirance pour Maël, qu’est ce que c’était beau !.
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Un léger côté fantasy apparaît de tend à autre, justement dosé pour laisser toute la place à ces personnages sensibles et si prenants.
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C’est un excellent premier tome. Vraiment.
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Hana to Asashin, c'est l'histoire d'une jeune fille au destin brisé, dans un monde fantasy fortement inspiré du Japon médiéval et donc sans concessions. La scène d'introduction, brutale, donne le ton : Aiko a la malchance d'être le fruit d'un amour impossible et sa seule existence pourrait bien faire basculer le fragile équilibre entre les grandes puissances locales. Autant dire que sa vie ne sera pas un long fleuve tranquille...
Pourtant, la première partie du roman s'avère beaucoup plus douce : bien que captive et destinée à devenir prostituée, Aiko a donc été choyée et a bénéficié d'une éducation raffinée : musique, cérémonie du thé, danse et bien sûr plaisirs de la chair. En outre, elle possède une beauté stupéfiante à même d'attendrir les cœurs les plus durs, y compris celui du plus redoutable assassin du coin. Évidemment, ce qui doit arriver arrive et les deux jeunes gens tombent amoureux. De ce côté-là, autant prévenir, si la différence d'âge entre les tourtereaux n'est pas énorme, la demoiselle est vraiment jeune au début du récit, un point pouvant potentiellement déranger, mais justifié par le contexte et atténué par la sincérité des sentiments que se portent Aiko et Joshiro.
N'allez pas pour autant croire qu'Hana to Asashin est une romance : si le premier tiers du récit insiste beaucoup dessus, un retour régulier au complot qui se trame dans l'ombre ne cesse de rappeler au lecteur que la guimauve ne va pas durer. Grosso-modo, toute la seconde moitié du livre est consacrée aux manigances politiques, tandis qu'Aiko découvre le fonctionnement d'une maison des plaisirs. Et si l'ouvrage comporte quelques scènes de sexe, fort bien écrites sans toutefois trop entrer dans les détails, il y a finalement beaucoup plus de passages violents.
Là encore, Aurélie Chateaux-Martin parvient à décrire l'horreur sans atteindre la précision d'un Maxime Chattam. Quelque part, tant mieux, parce que niveau atrocités, Hana to Asashin ne fait pas dans la dentelle : meurtre, viol, torture, tout y passe ou presque ! A côté de ça, l'auteure excelle pour décrire la tranquillité d'un jardin, le luxe opulent d'une maison close ou retranscrire toute la tension de l'infiltration d'un palais. La narration s'avère donc finalement très équilibrée, à même de séduire un public peu habitué à la dark fantasy classique « sans filtre ». Et, si la trame de l'histoire s'avère globalement assez prévisible d'un bout à l'autre, comme dans l'excellent « Ceux des limbes » de Camille Brissot, l'absence de mystère n'est pas grave du tout tant la plume de l'auteure rend son déroulement plaisant à suivre ! Mention spéciale aux missions de Joshiro, où l'on a presque l'impression de suivre le jeune homme perchés sur son épaule. Avec lui, on sursaute au moindre bruit, on guette les coins d'ombre... Délicieusement immersif ! A l'inverse, petit bémol en ce qui concerne la magie, dont le fonctionnement est expliqué à Aiko en long, en large et en travers... alors que la jeune fille ne l'exploite à aucun moment dans l'histoire. Certes, ça en justifie l'usage occasionnel par d'autres personnages, mais c'est tout.
Les personnages, parlons-en, justement : ils sont dans l'ensemble très réussis. La naïveté et l'optimisme d'Aiko ne sont jamais navrants (elle ne connaît rien du monde, rappelons-le), la rendant au contraire attachante. Impossible non plus de ne pas adorer Jaia, la figure paternelle et empreinte de sagesse. A l'inverse, les ennemis se révèlent aussi cruels et dénués de scrupules qu'il est (in)humainement possible de l'être. Non, vraiment, le seul qui ne s'avère en fin de compte pas complètement crédible, et c'est... (spoiler) (fin spoiler)
Bref, à cause de ça, après plus de deux-cent pages de qualité constante, la conclusion du récit ne s'avère pas tout à fait à la hauteur de tout le reste. Alors que les évènements décrits sont censés être atroces, paradoxalement, on s'attendait à plus de sang, plus de drames. Mais n'allez cependant pas croire que la fin est ratée, au contraire : la dernière scène s'avère tout simplement parfaite.
Hana to Asashin est donc un joli voyage dans un univers japonisant, tantôt aussi sucré et doux qu'un chamallow, tantôt aussi dur, froid et tranchant que l'acier d'une lame.
Pourtant, la première partie du roman s'avère beaucoup plus douce : bien que captive et destinée à devenir prostituée, Aiko a donc été choyée et a bénéficié d'une éducation raffinée : musique, cérémonie du thé, danse et bien sûr plaisirs de la chair. En outre, elle possède une beauté stupéfiante à même d'attendrir les cœurs les plus durs, y compris celui du plus redoutable assassin du coin. Évidemment, ce qui doit arriver arrive et les deux jeunes gens tombent amoureux. De ce côté-là, autant prévenir, si la différence d'âge entre les tourtereaux n'est pas énorme, la demoiselle est vraiment jeune au début du récit, un point pouvant potentiellement déranger, mais justifié par le contexte et atténué par la sincérité des sentiments que se portent Aiko et Joshiro.
N'allez pas pour autant croire qu'Hana to Asashin est une romance : si le premier tiers du récit insiste beaucoup dessus, un retour régulier au complot qui se trame dans l'ombre ne cesse de rappeler au lecteur que la guimauve ne va pas durer. Grosso-modo, toute la seconde moitié du livre est consacrée aux manigances politiques, tandis qu'Aiko découvre le fonctionnement d'une maison des plaisirs. Et si l'ouvrage comporte quelques scènes de sexe, fort bien écrites sans toutefois trop entrer dans les détails, il y a finalement beaucoup plus de passages violents.
Là encore, Aurélie Chateaux-Martin parvient à décrire l'horreur sans atteindre la précision d'un Maxime Chattam. Quelque part, tant mieux, parce que niveau atrocités, Hana to Asashin ne fait pas dans la dentelle : meurtre, viol, torture, tout y passe ou presque ! A côté de ça, l'auteure excelle pour décrire la tranquillité d'un jardin, le luxe opulent d'une maison close ou retranscrire toute la tension de l'infiltration d'un palais. La narration s'avère donc finalement très équilibrée, à même de séduire un public peu habitué à la dark fantasy classique « sans filtre ». Et, si la trame de l'histoire s'avère globalement assez prévisible d'un bout à l'autre, comme dans l'excellent « Ceux des limbes » de Camille Brissot, l'absence de mystère n'est pas grave du tout tant la plume de l'auteure rend son déroulement plaisant à suivre ! Mention spéciale aux missions de Joshiro, où l'on a presque l'impression de suivre le jeune homme perchés sur son épaule. Avec lui, on sursaute au moindre bruit, on guette les coins d'ombre... Délicieusement immersif ! A l'inverse, petit bémol en ce qui concerne la magie, dont le fonctionnement est expliqué à Aiko en long, en large et en travers... alors que la jeune fille ne l'exploite à aucun moment dans l'histoire. Certes, ça en justifie l'usage occasionnel par d'autres personnages, mais c'est tout.
Les personnages, parlons-en, justement : ils sont dans l'ensemble très réussis. La naïveté et l'optimisme d'Aiko ne sont jamais navrants (elle ne connaît rien du monde, rappelons-le), la rendant au contraire attachante. Impossible non plus de ne pas adorer Jaia, la figure paternelle et empreinte de sagesse. A l'inverse, les ennemis se révèlent aussi cruels et dénués de scrupules qu'il est (in)humainement possible de l'être. Non, vraiment, le seul qui ne s'avère en fin de compte pas complètement crédible, et c'est... (spoiler) (fin spoiler)
Bref, à cause de ça, après plus de deux-cent pages de qualité constante, la conclusion du récit ne s'avère pas tout à fait à la hauteur de tout le reste. Alors que les évènements décrits sont censés être atroces, paradoxalement, on s'attendait à plus de sang, plus de drames. Mais n'allez cependant pas croire que la fin est ratée, au contraire : la dernière scène s'avère tout simplement parfaite.
Hana to Asashin est donc un joli voyage dans un univers japonisant, tantôt aussi sucré et doux qu'un chamallow, tantôt aussi dur, froid et tranchant que l'acier d'une lame.
Pas mécontente d'avoir terminé (avec bien du mal) cette lecture. Encore une fois, à plusieurs reprises j'ai failli lâcher l'affaire, mais je me suis accrochée car il est très rare que je DNF un livre.
Pour faire court, l'histoire n'est pas parvenue à susciter mon intérêt, je me suis vraiment ennuyée. Pourtant, à la base, le scénario n'est pas mauvais, et je dois laisser à l'auteure sa créativité, son univers est bien construit. Malheureusement, c'est la façon dont a été relatée l'intrigue qui ne m'a pas convaincue. D'un ennui mortel. Pour être plus claire, c'est plat, lisse, et malgré les quelques scènes d'action, la lenteur de développement, la lourdeur de l'auteure m'a vraiment gênée. Il n'y a pas de réel suspense, tout est attendu, tout est trop facile. Je donne quelques exemples pour argumenter:
- le fameux traitre qui a infiltré la rébellion, en réalité pas de surprise, on sait c'est qui dés le tome 1, dans les tous premiers chapitres d'ailleurs. Sachant l'intuitivité d'Ay, c'était une évidence. Il aurait été sympa de créer un peu de suspense. D'ailleurs, une fois le traître mis sous les verrous, il disparait purement et simplement de l'histoire.
- la facilité avec laquelle les héros réussissent tout, les portes leur sont grandes ouvertes, mais le bouquet, la manière dont ils volent le talisman noir. Une méga blague. Le grand prêtre ne leur met jamais de bâtons dans les roues, il est tout simplement invisible, on ne l'aperçoit qu'une seule malheureuse fois. Personnage en carton alors que c'est quand même le grand méchant de l'histoire.
- la relation vanille entre un chef de la rébellion et un flic. Deux guimauves. A chaque chapitre ils se disent "je t'aime." - "Moi aussi mon amour je t'aime"... J'ai pas compté, mais c'est vraiment pratiquement à chaque chapitre. Au secours la virilité! Pas assez mature pour moi. On sent que les personnages sont imaginés par un écrivain de romance avec une sensibilité féminine, et c'est dommage car ça casse tout.
- la longueur du tome 2 aurait pu être réduite de moitié, si les scènes redondantes et ennuyeuses avaient été coupées ou moins nombreuses (je pense aux sempiternelles réflexions, aux plateaux repas, aux douches, aux: tu dois te reposer pour reprendre des forces, tu es blessé, ménage-toi mon amour... Et à chaque fin de chapitre la même remarque: ils ont fait du chemin de la haine à l'amour, ou bien: Il y a de l'espoir, ils peuvent peut-être réussir à briser la malédiction...
- le sentiment que l'enquête est bâclée, encore une fois résolue avec trop de facilité par les protagonistes, la façon dont les éléments et indices sont amenés ne me parait pas pertinente.
Voilà, pour résumer, un scénario intéressant mais mal raconté. Niveau plume, correcte et fluide malgré quelques pépites. Exemples: mettre la main à la pâte (et non à la patte), ou: se dresser sur son séant (et non céans).
Ce n'est que mon ressenti personnel, et je ne doute pas que ce livre puisse trouver son public, mais pour moi ce n'est pas suffisant malheureusement. J'ai besoin de plus de profondeur, plus de maturité, et plus de réalisme (sans parler du genre fantasy, car j'apprécie la très bonne dark fantasy). Là j'ai eu l'impression d'être dans une fanfiction racontée sur Wattpad. Pas vraiment mal écrit mais sans intérêt.
Pour faire court, l'histoire n'est pas parvenue à susciter mon intérêt, je me suis vraiment ennuyée. Pourtant, à la base, le scénario n'est pas mauvais, et je dois laisser à l'auteure sa créativité, son univers est bien construit. Malheureusement, c'est la façon dont a été relatée l'intrigue qui ne m'a pas convaincue. D'un ennui mortel. Pour être plus claire, c'est plat, lisse, et malgré les quelques scènes d'action, la lenteur de développement, la lourdeur de l'auteure m'a vraiment gênée. Il n'y a pas de réel suspense, tout est attendu, tout est trop facile. Je donne quelques exemples pour argumenter:
- le fameux traitre qui a infiltré la rébellion, en réalité pas de surprise, on sait c'est qui dés le tome 1, dans les tous premiers chapitres d'ailleurs. Sachant l'intuitivité d'Ay, c'était une évidence. Il aurait été sympa de créer un peu de suspense. D'ailleurs, une fois le traître mis sous les verrous, il disparait purement et simplement de l'histoire.
- la facilité avec laquelle les héros réussissent tout, les portes leur sont grandes ouvertes, mais le bouquet, la manière dont ils volent le talisman noir. Une méga blague. Le grand prêtre ne leur met jamais de bâtons dans les roues, il est tout simplement invisible, on ne l'aperçoit qu'une seule malheureuse fois. Personnage en carton alors que c'est quand même le grand méchant de l'histoire.
- la relation vanille entre un chef de la rébellion et un flic. Deux guimauves. A chaque chapitre ils se disent "je t'aime." - "Moi aussi mon amour je t'aime"... J'ai pas compté, mais c'est vraiment pratiquement à chaque chapitre. Au secours la virilité! Pas assez mature pour moi. On sent que les personnages sont imaginés par un écrivain de romance avec une sensibilité féminine, et c'est dommage car ça casse tout.
- la longueur du tome 2 aurait pu être réduite de moitié, si les scènes redondantes et ennuyeuses avaient été coupées ou moins nombreuses (je pense aux sempiternelles réflexions, aux plateaux repas, aux douches, aux: tu dois te reposer pour reprendre des forces, tu es blessé, ménage-toi mon amour... Et à chaque fin de chapitre la même remarque: ils ont fait du chemin de la haine à l'amour, ou bien: Il y a de l'espoir, ils peuvent peut-être réussir à briser la malédiction...
- le sentiment que l'enquête est bâclée, encore une fois résolue avec trop de facilité par les protagonistes, la façon dont les éléments et indices sont amenés ne me parait pas pertinente.
Voilà, pour résumer, un scénario intéressant mais mal raconté. Niveau plume, correcte et fluide malgré quelques pépites. Exemples: mettre la main à la pâte (et non à la patte), ou: se dresser sur son séant (et non céans).
Ce n'est que mon ressenti personnel, et je ne doute pas que ce livre puisse trouver son public, mais pour moi ce n'est pas suffisant malheureusement. J'ai besoin de plus de profondeur, plus de maturité, et plus de réalisme (sans parler du genre fantasy, car j'apprécie la très bonne dark fantasy). Là j'ai eu l'impression d'être dans une fanfiction racontée sur Wattpad. Pas vraiment mal écrit mais sans intérêt.
[SERVICE PRESSE].
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Le jour où je me suis retrouvé confiné avec mon coloc gay de Aurélie Chateaux-Martin.
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•
Je remercie l’auteure de m’avoir fait découvrir son roman.
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Mon résumé :.
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Clément est un jeune homme qui enchaîne les conquêtes féminines. Beau métis aux yeux bleus, il vit en coloc avec Denis, gay assumé et queutard notoire. Le confinement va rapprocher les deux hommes.
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Clément est un beau métis hétéro. Il cumule les conquêtes féminines, et adore son coloc Dénis, qu’il considère comme son meilleur ami.
•
Denis est un gay qui s’assume ouvertement et qui collectionne les mecs. Ils les aiment musclés, athlétiques mais ne les laissent jamais s’attarder dans ses draps. Sportif accompli, il travaille son corps de rêve à coup d’abdos et de footing.
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Mon ressenti final :.
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A travers ce roman feel-good, je découvre l’écriture de l’auteure. Aurelie a fait le pari fou d’écrire un roman durant le confinement, et en ce qui me concerne, c’est un pari réussi !.
•
L’écriture de l’auteure est vraiment légère et facile à lire. Les mots glissent sur le papier et l’on s’attache aux deux garçons sans aucun mal.
•
Clément est celui qui m’a le plus touchée, bien entendu. Pur hetero, les blagues graveleuses de Denis ne lui font ni chaud ni froid. Le jour où ils décident, un peu éméchés, de mater un porno, les sentiments qui vont découler de cette décision vont grandement perturber Clément. Aurelie transmet parfaitement le trouble et les questions que le jeune métis se posent. Tout cela est nouveau pour lui et il passe par toutes les phases possibles avant de se rendre à l’évidence.
•
Denis est tout aussi touchant, mais c’est son côté protecteur et amoureux, qui m’a plu. Très à l’écoute de son partenaire, il prend son temps, discute, freine clément lorsqu’il le sent trop pressé. C’est vraiment une très belle personne. Amoureux de Clément depuis longtemps, il a toujours refoulé ses sentiments, persuadé que son coloc ne serait pas réceptif.
•
Les scènes de sexe sont agréables et douces, les garçons prennent leur temps et c’est vraiment adorable de les voir évoluer. Les passages où ils se chamaillent valent leur pesant d’or, j’ai très souvent eu le sourire aux lèvres à la lecture.
•
Ce roman est une belle déclaration d’amour entre deux hommes complètement différents mais très similaires à la fois. Clément se cherche, Denis met les choses à leur place.
•
N’hésitez pas à découvrir ce couple, la fin est à tomber.
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Le jour où je me suis retrouvé confiné avec mon coloc gay de Aurélie Chateaux-Martin.
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Je remercie l’auteure de m’avoir fait découvrir son roman.
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Mon résumé :.
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Clément est un jeune homme qui enchaîne les conquêtes féminines. Beau métis aux yeux bleus, il vit en coloc avec Denis, gay assumé et queutard notoire. Le confinement va rapprocher les deux hommes.
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Clément est un beau métis hétéro. Il cumule les conquêtes féminines, et adore son coloc Dénis, qu’il considère comme son meilleur ami.
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Denis est un gay qui s’assume ouvertement et qui collectionne les mecs. Ils les aiment musclés, athlétiques mais ne les laissent jamais s’attarder dans ses draps. Sportif accompli, il travaille son corps de rêve à coup d’abdos et de footing.
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Mon ressenti final :.
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A travers ce roman feel-good, je découvre l’écriture de l’auteure. Aurelie a fait le pari fou d’écrire un roman durant le confinement, et en ce qui me concerne, c’est un pari réussi !.
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L’écriture de l’auteure est vraiment légère et facile à lire. Les mots glissent sur le papier et l’on s’attache aux deux garçons sans aucun mal.
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Clément est celui qui m’a le plus touchée, bien entendu. Pur hetero, les blagues graveleuses de Denis ne lui font ni chaud ni froid. Le jour où ils décident, un peu éméchés, de mater un porno, les sentiments qui vont découler de cette décision vont grandement perturber Clément. Aurelie transmet parfaitement le trouble et les questions que le jeune métis se posent. Tout cela est nouveau pour lui et il passe par toutes les phases possibles avant de se rendre à l’évidence.
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Denis est tout aussi touchant, mais c’est son côté protecteur et amoureux, qui m’a plu. Très à l’écoute de son partenaire, il prend son temps, discute, freine clément lorsqu’il le sent trop pressé. C’est vraiment une très belle personne. Amoureux de Clément depuis longtemps, il a toujours refoulé ses sentiments, persuadé que son coloc ne serait pas réceptif.
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Les scènes de sexe sont agréables et douces, les garçons prennent leur temps et c’est vraiment adorable de les voir évoluer. Les passages où ils se chamaillent valent leur pesant d’or, j’ai très souvent eu le sourire aux lèvres à la lecture.
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Ce roman est une belle déclaration d’amour entre deux hommes complètement différents mais très similaires à la fois. Clément se cherche, Denis met les choses à leur place.
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N’hésitez pas à découvrir ce couple, la fin est à tomber.
Par où commencer ?
Déjà, j'ai découvert cette auteure de talent par hasard, dans un nouveau groupe FB dans lequel je venais juste de rentrer. En échange d'une chronique, elle m'a confié son roman (format numérique) et j'en suis vraiment très heureuse ! ^^
Une interview de cette auteure très humaine et accessible arrivera d'ici quelques jours.
Maintenant, revenons-en au Loup Gris et ses 278 pages.
Tout d'abord, parlons de la forme.
Le Loup Gris n'a pas de chapitres à proprement parler, juste des parties pas forcément super longues séparées par de petits astérisques. Ce qui est diabolique ! Parce qu'avec des chapitres bien démarqués, j'ai toujours envie d'en lire un de plus malgré la longueur. Mais là, avec ces petites parties, il m'était presque impossible de m'arrêter... lol
Sans compter que l'écriture et le style d'Aurélie Chateaux-Martin n'aide pas... Tout est fluide, léger et agréable, teinté de beaucoup d'humour et de quelques scènes un peu chaudes. Les descriptions sont vraiment sympas et bien faites. Elles nous embarquent sans préavis dans ce monde peuplé de créatures et de magie. Il y a même un centaure au début (pour lequel j'aurai aimé une belle description). Un centaure ! Je kiffe les centaures ! Si j'avais dû être une créature mythique, c'est ce que j'aurais choisi sans hésiter ! Ou une licorne (l'auteure en parle aussi, même si on ne les voit pas, comme les dragons (c'est classe et badass, un dragon !))...
Bon, je crois que ma chronique part un peu en cacahouète... On va tenter de remédier à ça... lol
Ce livre contient aussi une carte (qui malheureusement ne fonctionnait pas dans ma version) pour nous permettre de nous y retrouver plus facilement dans cet univers tout à fait inconnu entre le Monde Moderne et le Monde Caché. Surtout que Tracy sera amené à vivre de nombreuses aventures dans beaucoup de villes différentes.
Il y a aussi un index qui nous donne certaines précisions quant au vocabulaire employé, des traductions, des explications...
Ce livre nous embarque dans un monde de fantasy où les sorciers côtoient les magiciens, les nains les elfes (quoi qu'avec difficulté) et les humains et ici et là trainent quelques groupes de méchants orcs. (Je pratique un peu le jeu de rôle et je m'y suis retrouvée dans ce monde. ^^)
Parmi tout ce beau monde évolue notre jeune héros, Tracy Deathmort, 17 ans et orphelin. Son plus grand rêve : quitter le Monde Moderne pour vivre une vie de rôdeur dans le Monde Caché, comme feu son père. Il le sent, c'est sa destinée. Alors quand l'opportunité d'un travail se couple avec ce qu'il désire le plus, que demander de mieux ? Il fera alors la connaissance de Matthew et d'Elena, deux compagnons de voyage qui lui en apprendront un peu plus sur ce qu'est la vie.
Cette première mission sera aussi l'occasion pour lui de rencontrer Esalf, celui qui deviendra presque immédiatement son meilleur ami. Nous allons assister à la naissance de cette amitié entre deux jeunes gens que tout oppose, surtout dans la perception des femmes et de l'amour. Autant Tracy est un grand romantique que croit en l'Amour unique qu'Esalf est un coureur de jupons patenté qui ne peut se satisfaire d'une seule conquête. Pourtant, ils sauront s'apprécier au-delà de leurs différences et leur amitié n'en sera que plus forte et indestructible. Nous pourrons assister à son évolution au fil de leurs rencontres ainsi que par leur correspondance fournie.
Cette mission sera la première d'une longue série d'autres à l'occasion desquelles Tracy fera de nombreuses rencontres, des bonnes comme des mauvaises, des magiques comme des terrifiantes, des joyeuses comme des tristes... Comment oublier Malin, Vanyar, Aurda, Nazath, Ylia, Ariane, Rozala...
Concernant les personnages :
Tracy
Ah, Tracy... Un aventurier qui n'aspire qu'à plus de missions tout en étant un incorrigible romantique un peu décalé de la réalité. Il croit au grand Amour et fait fi des railleries dont l'abreuve Esalf. Le jeune sorcier est courageux, peut-être même un peu trop téméraire, mais rien ne l'empêchera de mener ses missions à bien.
C'est un personnage qui m'a beaucoup touché, mais qui m'a aussi fait peur (pour lui) de par son côté passionné.
Esalf
Ah la la... Le beau, rusé, fougueux, impétueux et libertin Esalf... A croire que rien ne peut l'arrêter lorsqu'il a repéré une jolie jeune fille/femme. C'est impressionnant. Il n'a pas que le charme physique, il a aussi le parlé qui achève de charmer ses conquêtes d'une nuit.
Néanmoins, mis à par ce côté où tu as envie de lui donner deux ou trois claques, c'est un ami fidèle et un magicien dévoué à son Ordre (même s'il bafoue allègrement les règles). Lorsque Tracy sera au plus mal, Esalf sera là pour lui faire remonter la pente et lui redonner goût à la vie.
Malin
Alors lui, je l'ai tout de suite adoré. Bourru mais au grand cœur, avec un franc-parler et de l'humour, roux, chevelu, barbu, tatoué... Il m'a fait penser à mon nain, Rhuarc, dans le jeu de rôle Earthdawn. J'ai eu un coup de cœur pour ce personnage, pourtant pas principal. Tout m'a plus chez Malin. Sa vanité comme son insouciance, sa générosité comme son humour. Il va me manquer autant que le duo d'amis du dessus. ^^
Matthew et Elena
J'ai aimé ces compagnons, les premiers que Tracy aura, ses premiers amis aussi. Ceux qui lui ont permis de commencer à s'ouvrir au monde et à être moins naïf, moins prude et plus "ouvert". Quand cela ira mal pour Tracy, ils seront là pour l'aider. J'ai franchement aimé la première mission de Tracy à leurs côtés et, même s'ils sont moins présents par la suite, ils restent important à mes yeux.
Passons maintenant aux points un peu plus négatifs (qui sont très légers par rapport à tous les positifs que j'ai pu y trouver).
J'ai dit plus haut que les descriptions étaient belles et détaillées, mais j'aurai néanmoins aimé en avoir plus (physiquement parlant) sur les méchants, comme par exemple les orcs (qui sont juste décris comme énormes et super forts) et les elfes noirs (dont on sait juste qu'ils ont de longues canines à la façon des vampires).
De même j'aurais aimé avoir plus d'informations sur les différences entre les sorciers et les magiciens, hors le fait qu'il ne vivent pas dans le même monde et que les règles des magiciens sont plus strictes.
Tout comme j'aurais aimé savoir exactement les liens qui unissent le Monde Moderne et le Monde Caché ainsi que leurs différences...
Enfin, ce livre est un préquel écrit après les tomes qu'il précède. Peut-être que tout ça y est déjà expliqué, auquel cas, j'aurai mes réponses très bientôt. ^^
En résumé, c'est pour moi un livre coup de cœur que je ne peux que vous conseiller, que ce soit pour l'écriture comme pour l'histoire. J'espère que ma chronique pourra aider Aurélie Chateaux-Martin à se faire connaître, car, honnêtement elle le mérite. En tant que personne tout autant qu'en temps qu'auteure de fantasy de talent.
Lien : http://booksfeedmemore.eklab..
Déjà, j'ai découvert cette auteure de talent par hasard, dans un nouveau groupe FB dans lequel je venais juste de rentrer. En échange d'une chronique, elle m'a confié son roman (format numérique) et j'en suis vraiment très heureuse ! ^^
Une interview de cette auteure très humaine et accessible arrivera d'ici quelques jours.
Maintenant, revenons-en au Loup Gris et ses 278 pages.
Tout d'abord, parlons de la forme.
Le Loup Gris n'a pas de chapitres à proprement parler, juste des parties pas forcément super longues séparées par de petits astérisques. Ce qui est diabolique ! Parce qu'avec des chapitres bien démarqués, j'ai toujours envie d'en lire un de plus malgré la longueur. Mais là, avec ces petites parties, il m'était presque impossible de m'arrêter... lol
Sans compter que l'écriture et le style d'Aurélie Chateaux-Martin n'aide pas... Tout est fluide, léger et agréable, teinté de beaucoup d'humour et de quelques scènes un peu chaudes. Les descriptions sont vraiment sympas et bien faites. Elles nous embarquent sans préavis dans ce monde peuplé de créatures et de magie. Il y a même un centaure au début (pour lequel j'aurai aimé une belle description). Un centaure ! Je kiffe les centaures ! Si j'avais dû être une créature mythique, c'est ce que j'aurais choisi sans hésiter ! Ou une licorne (l'auteure en parle aussi, même si on ne les voit pas, comme les dragons (c'est classe et badass, un dragon !))...
Bon, je crois que ma chronique part un peu en cacahouète... On va tenter de remédier à ça... lol
Ce livre contient aussi une carte (qui malheureusement ne fonctionnait pas dans ma version) pour nous permettre de nous y retrouver plus facilement dans cet univers tout à fait inconnu entre le Monde Moderne et le Monde Caché. Surtout que Tracy sera amené à vivre de nombreuses aventures dans beaucoup de villes différentes.
Il y a aussi un index qui nous donne certaines précisions quant au vocabulaire employé, des traductions, des explications...
Ce livre nous embarque dans un monde de fantasy où les sorciers côtoient les magiciens, les nains les elfes (quoi qu'avec difficulté) et les humains et ici et là trainent quelques groupes de méchants orcs. (Je pratique un peu le jeu de rôle et je m'y suis retrouvée dans ce monde. ^^)
Parmi tout ce beau monde évolue notre jeune héros, Tracy Deathmort, 17 ans et orphelin. Son plus grand rêve : quitter le Monde Moderne pour vivre une vie de rôdeur dans le Monde Caché, comme feu son père. Il le sent, c'est sa destinée. Alors quand l'opportunité d'un travail se couple avec ce qu'il désire le plus, que demander de mieux ? Il fera alors la connaissance de Matthew et d'Elena, deux compagnons de voyage qui lui en apprendront un peu plus sur ce qu'est la vie.
Cette première mission sera aussi l'occasion pour lui de rencontrer Esalf, celui qui deviendra presque immédiatement son meilleur ami. Nous allons assister à la naissance de cette amitié entre deux jeunes gens que tout oppose, surtout dans la perception des femmes et de l'amour. Autant Tracy est un grand romantique que croit en l'Amour unique qu'Esalf est un coureur de jupons patenté qui ne peut se satisfaire d'une seule conquête. Pourtant, ils sauront s'apprécier au-delà de leurs différences et leur amitié n'en sera que plus forte et indestructible. Nous pourrons assister à son évolution au fil de leurs rencontres ainsi que par leur correspondance fournie.
Cette mission sera la première d'une longue série d'autres à l'occasion desquelles Tracy fera de nombreuses rencontres, des bonnes comme des mauvaises, des magiques comme des terrifiantes, des joyeuses comme des tristes... Comment oublier Malin, Vanyar, Aurda, Nazath, Ylia, Ariane, Rozala...
Concernant les personnages :
Tracy
Ah, Tracy... Un aventurier qui n'aspire qu'à plus de missions tout en étant un incorrigible romantique un peu décalé de la réalité. Il croit au grand Amour et fait fi des railleries dont l'abreuve Esalf. Le jeune sorcier est courageux, peut-être même un peu trop téméraire, mais rien ne l'empêchera de mener ses missions à bien.
C'est un personnage qui m'a beaucoup touché, mais qui m'a aussi fait peur (pour lui) de par son côté passionné.
Esalf
Ah la la... Le beau, rusé, fougueux, impétueux et libertin Esalf... A croire que rien ne peut l'arrêter lorsqu'il a repéré une jolie jeune fille/femme. C'est impressionnant. Il n'a pas que le charme physique, il a aussi le parlé qui achève de charmer ses conquêtes d'une nuit.
Néanmoins, mis à par ce côté où tu as envie de lui donner deux ou trois claques, c'est un ami fidèle et un magicien dévoué à son Ordre (même s'il bafoue allègrement les règles). Lorsque Tracy sera au plus mal, Esalf sera là pour lui faire remonter la pente et lui redonner goût à la vie.
Malin
Alors lui, je l'ai tout de suite adoré. Bourru mais au grand cœur, avec un franc-parler et de l'humour, roux, chevelu, barbu, tatoué... Il m'a fait penser à mon nain, Rhuarc, dans le jeu de rôle Earthdawn. J'ai eu un coup de cœur pour ce personnage, pourtant pas principal. Tout m'a plus chez Malin. Sa vanité comme son insouciance, sa générosité comme son humour. Il va me manquer autant que le duo d'amis du dessus. ^^
Matthew et Elena
J'ai aimé ces compagnons, les premiers que Tracy aura, ses premiers amis aussi. Ceux qui lui ont permis de commencer à s'ouvrir au monde et à être moins naïf, moins prude et plus "ouvert". Quand cela ira mal pour Tracy, ils seront là pour l'aider. J'ai franchement aimé la première mission de Tracy à leurs côtés et, même s'ils sont moins présents par la suite, ils restent important à mes yeux.
Passons maintenant aux points un peu plus négatifs (qui sont très légers par rapport à tous les positifs que j'ai pu y trouver).
J'ai dit plus haut que les descriptions étaient belles et détaillées, mais j'aurai néanmoins aimé en avoir plus (physiquement parlant) sur les méchants, comme par exemple les orcs (qui sont juste décris comme énormes et super forts) et les elfes noirs (dont on sait juste qu'ils ont de longues canines à la façon des vampires).
De même j'aurais aimé avoir plus d'informations sur les différences entre les sorciers et les magiciens, hors le fait qu'il ne vivent pas dans le même monde et que les règles des magiciens sont plus strictes.
Tout comme j'aurais aimé savoir exactement les liens qui unissent le Monde Moderne et le Monde Caché ainsi que leurs différences...
Enfin, ce livre est un préquel écrit après les tomes qu'il précède. Peut-être que tout ça y est déjà expliqué, auquel cas, j'aurai mes réponses très bientôt. ^^
En résumé, c'est pour moi un livre coup de cœur que je ne peux que vous conseiller, que ce soit pour l'écriture comme pour l'histoire. J'espère que ma chronique pourra aider Aurélie Chateaux-Martin à se faire connaître, car, honnêtement elle le mérite. En tant que personne tout autant qu'en temps qu'auteure de fantasy de talent.
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Il y avait un moment que cette duologie trainait dans ma PaL, je ne sais plus bien pourquoi je l'avais téléchargée au juste, en tout cas, je zappais toujours ce titre, je pense en raison des couvertures pas très jolies qui donnent pas vraiment envie. Bref, je suis tellement superficielle parfois Lol.
Un avis plus que mitigé pour ce premier tome et je dois avouer que j'ai failli abandonner à plus d'une reprise avant les dix premiers chapitres, je me suis accrochée, et jusqu'au tout dernier chapitre je me demandais encore si j'allais poursuivre avec le tome 2.
Alors, au niveau de la plume, c'est correct, fluide, agréable à lire, malgré pas mal de redondances agaçantes. L'auteure insiste beaucoup sur ce que le lecteur a déjà bien compris: les 2 héros ne peuvent pas se saquer mais sont attirés/liés de manière irrésistible. Tout du long l'expression tête de mule, bourrique et j'en passe revient, tout comme: maelstrom émotionnel, fracas émotionnel, tourbillon émotionnel, bordel émotionnel et cie. Pareil, les protagonistes passent leur temps à répéter que l'autre l'agace, qu'il est chiant, emmerdant... Je pense qu'il y avait d'autres moyens de faire passer ce message sans assommer le lecteur.
Ensuite, il m'a manqué un peu de réalisme. Je sais bien qu'on est dans du fantasy/fantastique, mais c'est surtout au niveau de l'intrigue et des actions. C'est un peu gentil, facile. Par exemple au tout début, Ay subit un interrogatoire lorsqu'il est capturé par Ethan. On parle d'interrogatoire "musclé" et même de "torture". Ethan met 2 "claques", tire un peu les cheveux de son prisonnier, et un petit coup de taser. Moi, je n'appelle pas ça "musclé" et encore moins "torture". Il n'y a même pas de sang, ni d'hématome, et Ay ressort en pleine forme, et encore avec l'énergie de brocarder son ennemi. Mouais. Pareil, Ethan pose juste 2 fois la question (où se trouve le QG?) lors de son interrogatoire, évidement Ay l'envoie bouler. Ethan s'étonne de cette "tête de mule". Il croyait quoi? Qu'en deux questions et 2 gifles le capitaine rebelle allait tout cracher? Non mais sérieux! On nage au pays des bisounours. Voilà, plein de petites choses comme ça qui m'ont fait grincer des dents.
Enfin, il y a deux points, mais là vraiment très subjectifs et tout à fait personnels qui ont beaucoup joué dans mon ressenti:
- les scènes lesbiennes. Autant je peux lire du MF ou du MM avec un égal plaisir, autant les relations lesbiennes ne m'attirent pas du tout. Entendons nous bien, je n'ai absolument rien contre, c'est juste que c'est pas mon truc. Heureusement les scènes ici sont courtes et soft.
- l'univers. J'aime pourtant le fantastique, le fantasy, l'intrigue et le scénario sont intéressants, riches, il y a de la recherche, mais voilà... je ne sais pas, j'ai pas accroché. le mini dragon faé, les lyches, goules, zombies, lycans et j'en passe, les pouvoirs magiques... c'était un peu trop pour moi. Manquait plus que Ay puisse voler pour que je referme le bouquin.
Point positif: j'ai beaucoup apprécié les 2 héros, surtout le coté, je cite: "salope qui adore se faire tringler par tout ce qui passe" d'Ay.
Pour conclure, je vais quand même me lancer dans le tome 2. On verra bien, parce que je suis plus que tiède, loin d'être captivée par l'histoire.
Un avis plus que mitigé pour ce premier tome et je dois avouer que j'ai failli abandonner à plus d'une reprise avant les dix premiers chapitres, je me suis accrochée, et jusqu'au tout dernier chapitre je me demandais encore si j'allais poursuivre avec le tome 2.
Alors, au niveau de la plume, c'est correct, fluide, agréable à lire, malgré pas mal de redondances agaçantes. L'auteure insiste beaucoup sur ce que le lecteur a déjà bien compris: les 2 héros ne peuvent pas se saquer mais sont attirés/liés de manière irrésistible. Tout du long l'expression tête de mule, bourrique et j'en passe revient, tout comme: maelstrom émotionnel, fracas émotionnel, tourbillon émotionnel, bordel émotionnel et cie. Pareil, les protagonistes passent leur temps à répéter que l'autre l'agace, qu'il est chiant, emmerdant... Je pense qu'il y avait d'autres moyens de faire passer ce message sans assommer le lecteur.
Ensuite, il m'a manqué un peu de réalisme. Je sais bien qu'on est dans du fantasy/fantastique, mais c'est surtout au niveau de l'intrigue et des actions. C'est un peu gentil, facile. Par exemple au tout début, Ay subit un interrogatoire lorsqu'il est capturé par Ethan. On parle d'interrogatoire "musclé" et même de "torture". Ethan met 2 "claques", tire un peu les cheveux de son prisonnier, et un petit coup de taser. Moi, je n'appelle pas ça "musclé" et encore moins "torture". Il n'y a même pas de sang, ni d'hématome, et Ay ressort en pleine forme, et encore avec l'énergie de brocarder son ennemi. Mouais. Pareil, Ethan pose juste 2 fois la question (où se trouve le QG?) lors de son interrogatoire, évidement Ay l'envoie bouler. Ethan s'étonne de cette "tête de mule". Il croyait quoi? Qu'en deux questions et 2 gifles le capitaine rebelle allait tout cracher? Non mais sérieux! On nage au pays des bisounours. Voilà, plein de petites choses comme ça qui m'ont fait grincer des dents.
Enfin, il y a deux points, mais là vraiment très subjectifs et tout à fait personnels qui ont beaucoup joué dans mon ressenti:
- les scènes lesbiennes. Autant je peux lire du MF ou du MM avec un égal plaisir, autant les relations lesbiennes ne m'attirent pas du tout. Entendons nous bien, je n'ai absolument rien contre, c'est juste que c'est pas mon truc. Heureusement les scènes ici sont courtes et soft.
- l'univers. J'aime pourtant le fantastique, le fantasy, l'intrigue et le scénario sont intéressants, riches, il y a de la recherche, mais voilà... je ne sais pas, j'ai pas accroché. le mini dragon faé, les lyches, goules, zombies, lycans et j'en passe, les pouvoirs magiques... c'était un peu trop pour moi. Manquait plus que Ay puisse voler pour que je referme le bouquin.
Point positif: j'ai beaucoup apprécié les 2 héros, surtout le coté, je cite: "salope qui adore se faire tringler par tout ce qui passe" d'Ay.
Pour conclure, je vais quand même me lancer dans le tome 2. On verra bien, parce que je suis plus que tiède, loin d'être captivée par l'histoire.
J’ai été frappée par le réalisme de cette histoire ! Denis est un être touchant, sensé tandis que Clément est torturé et saisissant ! Ces deux protagonistes nous embarquent dans leurs points de vue qui se singularisent par deux points communs qui sont l’amour et la peur. Si Clément a peur de se révéler à lui-même, Denis, lui, a peur d’avouer ce qu’il éprouve pour ce dernier. Leurs pensées conflictuelles nous permettent de poser un regard ouvert sur différents sujets comme l’amour, l’amitié, l’orientation sexuelle, le regard d’autrui, la peur, etc… Et je trouve que ce genre d’histoire peut servir de bel exemple quant à l’exploration de tout cela. L’écriture est fluide et légère sans être crue et vulgaire. Le rythme du récit attise notre curiosité et j’ai trouvé qu’il y avait ce qu’il faut où il faut. Pas de lourdeurs de texte, pas de complexité ou de gêne et c’est ce qui caractérise finalement cette histoire qui n’est autre qu’une histoire d’amour idéale pour s’évader un instant.
En avril 2020, la France faisait face à son premier confinement. Comment s'organiser et apprendre à vivre 24 heures sur 24 avec celui ou celle qui partage sa vie surtout lorsque l'on vit en colocation ?
Clément est un étudiant hétéro qui, au lieu de retourner chez ses parents, décider de rester sur Bordeaux où il co-loue un appartement avec Denis. Ce dernier, jeune homme gay assumé, n'a pas de relation stable et est un excentrique. Pourtant, au fil des jours d'enfermement, Clément - appelé Clems - se sent peu à peu attiré par son colocataire.
Que lui arrive t-il ? Doit-il se laisser tenter ou au contraire refuser toute proximité et s'enfuir le plus vite possible ? Et s'il se passait quelque chose, qu'adviendrait-il une fois le confinement levé ?
Mon avis : un roman de 226 pages, bien écrit qui - à partir de l'actualité - aborde les sujets autour de la colocation, la vie à deux, l'amitié et l'amour entre deux jeunes hommes.
Clément est un étudiant hétéro qui, au lieu de retourner chez ses parents, décider de rester sur Bordeaux où il co-loue un appartement avec Denis. Ce dernier, jeune homme gay assumé, n'a pas de relation stable et est un excentrique. Pourtant, au fil des jours d'enfermement, Clément - appelé Clems - se sent peu à peu attiré par son colocataire.
Que lui arrive t-il ? Doit-il se laisser tenter ou au contraire refuser toute proximité et s'enfuir le plus vite possible ? Et s'il se passait quelque chose, qu'adviendrait-il une fois le confinement levé ?
Mon avis : un roman de 226 pages, bien écrit qui - à partir de l'actualité - aborde les sujets autour de la colocation, la vie à deux, l'amitié et l'amour entre deux jeunes hommes.
Alerte coup de cœur ❤
Craquer sur un bel espagnol qui dirais non ? Certainement pas Benjamin Josse ! Mais quand ce dieu Grec se retrouve est votre beau père la mission "Alpaguer le bel appolon" tombe à l'eau... Ou pas ! Et c'est là que cette histoire m'a complètement retourné. Honnêtement de vous à moi qui aurait continué sa mission séduction avec cet obstacle de taille ? Et bien pas moi ! Mais benji lui continue et annonce même la couleur à sa mère !
Nous nous retrouvons avec des personnages en or ! Des diamants bruts... Une mère, que dis-je, une meilleure amie et une confidente si attachante, attentionnée, ouverte d'esprit et hilarante ! Diego le beau-père sexy comme un dieu, espiègle, tendre, torride et comique et enfin le meilleur, je nome Benji, qu'est-ce que j'ai aimé entrer dans la tête de ce jeune homme haut en couleur et complètement fou il faut se l'avouer ! Il est tellement souriant, hilarant et attachant on ne peux que l'aimer ! Non en réalité comment ne pas aimer la famille Josse ?
J'ai aimé suivre cette histoire de romance et d'acceptation hors du commun ! Je voulais du changement et bien j'en ai eu et croyez moi je ne regrette absolument pas l'aventure ! C'est une histoire rafraîchissante douce et qui souffle un vent de changement qui nous pousse vers différents sentiments, on souffre, on rit aux larmes et on tombe fou d'amour pour ses personnages juste fantastiques. J'ai vécu un extraordinaire voyage à leur côté je ne les oublierais pas de sitôt !
En conclusion j'ai succomber du début jusqu'à la fin ! J'aurai aimé ne jamais les quitter
Craquer sur un bel espagnol qui dirais non ? Certainement pas Benjamin Josse ! Mais quand ce dieu Grec se retrouve est votre beau père la mission "Alpaguer le bel appolon" tombe à l'eau... Ou pas ! Et c'est là que cette histoire m'a complètement retourné. Honnêtement de vous à moi qui aurait continué sa mission séduction avec cet obstacle de taille ? Et bien pas moi ! Mais benji lui continue et annonce même la couleur à sa mère !
Nous nous retrouvons avec des personnages en or ! Des diamants bruts... Une mère, que dis-je, une meilleure amie et une confidente si attachante, attentionnée, ouverte d'esprit et hilarante ! Diego le beau-père sexy comme un dieu, espiègle, tendre, torride et comique et enfin le meilleur, je nome Benji, qu'est-ce que j'ai aimé entrer dans la tête de ce jeune homme haut en couleur et complètement fou il faut se l'avouer ! Il est tellement souriant, hilarant et attachant on ne peux que l'aimer ! Non en réalité comment ne pas aimer la famille Josse ?
J'ai aimé suivre cette histoire de romance et d'acceptation hors du commun ! Je voulais du changement et bien j'en ai eu et croyez moi je ne regrette absolument pas l'aventure ! C'est une histoire rafraîchissante douce et qui souffle un vent de changement qui nous pousse vers différents sentiments, on souffre, on rit aux larmes et on tombe fou d'amour pour ses personnages juste fantastiques. J'ai vécu un extraordinaire voyage à leur côté je ne les oublierais pas de sitôt !
En conclusion j'ai succomber du début jusqu'à la fin ! J'aurai aimé ne jamais les quitter
Clément et Denis sont colocataires et confinés. Ce qui démarre doucement comme une histoire d'hormones évolue, du fait de la promiscuité, en une histoire plus sérieuse.
Même si le langage est par moments un peu "ado" pour moi, on ne se prend pas la tête, on se laisse embarquer et on y croit, grâce à la plume de l'auteur qui nous embarque en mêlant les échanges tendres et les scènes plus chaudes.
Après, qu'est-ce qui va se passer une fois retournés dans la vie réelle ? On en a un petit aperçu dans les épilogues mais en fait, à chacun d'imaginer la suite (et la fin ?) de leur histoire....
Bonne idée de l'auteur de nous proposer cette petite histoire qui surfe sur l'actualité. C'est léger dans le sens ou on sait parfaitement comment ça va finir mais l'histoire est agréable à lire. Et on finit sur une petite note militante.
Merci à l'auteur de m'avoir proposé ce SP.
Même si le langage est par moments un peu "ado" pour moi, on ne se prend pas la tête, on se laisse embarquer et on y croit, grâce à la plume de l'auteur qui nous embarque en mêlant les échanges tendres et les scènes plus chaudes.
Après, qu'est-ce qui va se passer une fois retournés dans la vie réelle ? On en a un petit aperçu dans les épilogues mais en fait, à chacun d'imaginer la suite (et la fin ?) de leur histoire....
Bonne idée de l'auteur de nous proposer cette petite histoire qui surfe sur l'actualité. C'est léger dans le sens ou on sait parfaitement comment ça va finir mais l'histoire est agréable à lire. Et on finit sur une petite note militante.
Merci à l'auteur de m'avoir proposé ce SP.
Merci à Aurélie Chateaux - Martin pour ce service presse.
L’auteure nous plonge dans un univers de fantasy où la magie côtoie des êtres fantastiques comme des sorciers, des nains ou bien encore des elfes. Tout est fait pour être captivé par cette histoire, de magnifiques descriptions qui nous font voyager dans des terres inconnues, des personnages hauts en couleur et aux caractères bien prononcés, des aventures riches en actions et évènements et une intrigue bien menée tout au long de la lecture. C’est beau, doux, riche et fascinant, on se laisse porter et s’identifier aux personnages avec une facilité déconcertante, le style d’écriture extrêmement fluide rend la lecture facile, rapide et très agréable et puis le fait de ne pas avoir de chapitre mais simplement des *** lors de changement de parties est très bien vue, cela donne une impression de ne jamais s’arrêter et donc pour nous lecteur de ne jamais pouvoir poser l’histoire comme on le ferait lors d’un changement de chapitre.
Et puis nous avons des personnages attachants comme Tracy avec son courage, son ambition, sa maturité et son évolution personnelle le rendant intrigant, mais aussi Elena, son charme fou et son envie de réussir qui font d’elle une femme forte et indépendante, où encore Malin le nain au grand cœur qui nous offre un sens du devoir et de la protection inébranlable. Tous les nombreux protagonistes apportent un sens à l’histoire à l’intrigue mais surtout au développement de Tracy, c’est grâce notamment à eux qu’il va mûrir, changer et affronter ses aventures comme il se doit.
Un récit que j’ai beaucoup apprécié de part sa légèreté et sa beauté mais aussi pour sa capacité à convenir à tout type de lecteur, du pré ado à l’adulte en passant par ceux plus réticents à la fantasy.
l'avis de ma fille de 10ans:
Tracy est un garçon courageux et surtout qui aime l’aventure et il nous emmène avec lui lors de ses missions. Il nous fait voyager et découvrir des endroits et des personnages très intéressants comme par exemple Esalf qui est drôle, rebelle et qui drague très facilement, il va être là pour Tracy dans les bons comme les moins bons moments, c’est un vrai ami et c’est très beau à lire.
C’est très facile à lire, il n’y a pas de mots grossiers, tout est bien expliqué et simple à comprendre et j’ai beaucoup aimé les descriptions, j’avais l’impression de pouvoir les voir comme si j’étais dans l’histoire. Il y a beaucoup d’aventures du coup on ne s’ennuie pas c’est toujours nouveau et on ne veut pas arrêter de lire car on veut connaître la suite.
En conclusion je l’ai lu vite parce que j’ai bien aimé et que c’était facile aussi à imaginer être avec Tracy et les autres.
Lien : http://chroniqueslivres.cana..
L’auteure nous plonge dans un univers de fantasy où la magie côtoie des êtres fantastiques comme des sorciers, des nains ou bien encore des elfes. Tout est fait pour être captivé par cette histoire, de magnifiques descriptions qui nous font voyager dans des terres inconnues, des personnages hauts en couleur et aux caractères bien prononcés, des aventures riches en actions et évènements et une intrigue bien menée tout au long de la lecture. C’est beau, doux, riche et fascinant, on se laisse porter et s’identifier aux personnages avec une facilité déconcertante, le style d’écriture extrêmement fluide rend la lecture facile, rapide et très agréable et puis le fait de ne pas avoir de chapitre mais simplement des *** lors de changement de parties est très bien vue, cela donne une impression de ne jamais s’arrêter et donc pour nous lecteur de ne jamais pouvoir poser l’histoire comme on le ferait lors d’un changement de chapitre.
Et puis nous avons des personnages attachants comme Tracy avec son courage, son ambition, sa maturité et son évolution personnelle le rendant intrigant, mais aussi Elena, son charme fou et son envie de réussir qui font d’elle une femme forte et indépendante, où encore Malin le nain au grand cœur qui nous offre un sens du devoir et de la protection inébranlable. Tous les nombreux protagonistes apportent un sens à l’histoire à l’intrigue mais surtout au développement de Tracy, c’est grâce notamment à eux qu’il va mûrir, changer et affronter ses aventures comme il se doit.
Un récit que j’ai beaucoup apprécié de part sa légèreté et sa beauté mais aussi pour sa capacité à convenir à tout type de lecteur, du pré ado à l’adulte en passant par ceux plus réticents à la fantasy.
l'avis de ma fille de 10ans:
Tracy est un garçon courageux et surtout qui aime l’aventure et il nous emmène avec lui lors de ses missions. Il nous fait voyager et découvrir des endroits et des personnages très intéressants comme par exemple Esalf qui est drôle, rebelle et qui drague très facilement, il va être là pour Tracy dans les bons comme les moins bons moments, c’est un vrai ami et c’est très beau à lire.
C’est très facile à lire, il n’y a pas de mots grossiers, tout est bien expliqué et simple à comprendre et j’ai beaucoup aimé les descriptions, j’avais l’impression de pouvoir les voir comme si j’étais dans l’histoire. Il y a beaucoup d’aventures du coup on ne s’ennuie pas c’est toujours nouveau et on ne veut pas arrêter de lire car on veut connaître la suite.
En conclusion je l’ai lu vite parce que j’ai bien aimé et que c’était facile aussi à imaginer être avec Tracy et les autres.
Lien : http://chroniqueslivres.cana..
[SERVICE PRESSE].
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Please take care of me de Aurélie Chateaux-Martin.
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Je remercie l𠆚uteure pour ce nouveau service presse.
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Mon résumé :.
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Henry est un jeune aristocrate. Après l’hospitalisation de son valet, un remplaçant lui est attribué. Lawrence. L𠆚ttirance entre les deux hommes est immédiate. Mais si Henry est bon et honnête, est-ce vraiment le cas de Lawrence ?.
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Henry est l𠆚îné de quatre enfants dont la mère est morte en couche. Son père ne s’étant jamais remarié, les enfants grandissent au sein d’un foyer aimant et agréable. Seulement, Henry aime les hommes, chose impensable à l’époque. L𠆚rrivée de Lawrence va bouleverser sa vie, puisque je jeune homme est promis à Ann, une jeune femme bien sous tout rapport.
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Lawrence est un homme calculateur et arrogant. Il est beau, le sait et remarque tout de suite qu’Henry semble attiré. Fils d’une femme pauvre et prostituée, il s𠆞st toujours juré de se faire une place dans l𠆚ristocratie. Mais c’était avant d𠆚pprendre à connaître Henry.
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Mon résumé final :.
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Encore une fois, je suis complètement bluffée par ce roman d𠆚urelie, que je découvre dans un nouveau style.
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Ce roman est d’une douceur sans pareil. Les personnages prennent vie grâce à une écriture délicate et à un réel travail de recherche.
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Henry est absolument renversant. Son extrême gentillesse, son honnêteté et sa dévotion m’ont fait l�orer tout au long du roman. L𠆚uteure en a fait quelqu’un d𠆞xtrêmement attachant et d’une sensibilité qui m𠆚 touché en plein cœur.
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J𠆚i beaucoup aimé Lawrence, même au début. On sent une écriture acide et acérée, le concernant. Il vient chez les Crawford dans un but précis, briser, détruire, s�parer. Mais c’était sans compter Henry et sa personnalité solaire. Lawrence va tomber de haut et se laisser toucher par cet ange blond.
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Les personnages secondaires sont géniaux ! Edmund, François, Ann, j𠆚i vraiment adoré tout le monde. L𠆚uteure nous dépeint l’homosexualité de l’époque qui, bien entendu, était moins facile à vivre que maintenant même si, clairement, il y a encore un gros travail à faire dans cette lutte. Les clubs libertins étaient légion et il m𠆚 été plaisant de découvrir la naïveté de Henry sur le sujet. C𠆞st aussi un aspect constaté que j𠆚i aimé, concernant Henry, c𠆞st cette capacité d�négation, de remplir ses obligations de noble et d’homme, tout en étant amoureux de quelqu’un d𠆚utre. Le personnage d𠆚nn est également très attachant, car elle accepte cette facette de son futur époux sans jamais se plaindre ou en être dégoûtée.
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Les scènes érotiques sont somme toute, assez pudiques car écrites avec délicatesse et d’une précision retenue.
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Le déroulement de l’histoire et son dénouement n𠆚uraient pas en être autrement. J𠆚i complètement dévoré ce roman.
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Si vous souhaitez découvrir l’histoire incroyable de Henry et Lawrence, c𠆞st ici : https://amzn.to/3mIHNWc
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Please take care of me de Aurélie Chateaux-Martin.
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Je remercie l𠆚uteure pour ce nouveau service presse.
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Mon résumé :.
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Henry est un jeune aristocrate. Après l’hospitalisation de son valet, un remplaçant lui est attribué. Lawrence. L𠆚ttirance entre les deux hommes est immédiate. Mais si Henry est bon et honnête, est-ce vraiment le cas de Lawrence ?.
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Henry est l𠆚îné de quatre enfants dont la mère est morte en couche. Son père ne s’étant jamais remarié, les enfants grandissent au sein d’un foyer aimant et agréable. Seulement, Henry aime les hommes, chose impensable à l’époque. L𠆚rrivée de Lawrence va bouleverser sa vie, puisque je jeune homme est promis à Ann, une jeune femme bien sous tout rapport.
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Lawrence est un homme calculateur et arrogant. Il est beau, le sait et remarque tout de suite qu’Henry semble attiré. Fils d’une femme pauvre et prostituée, il s𠆞st toujours juré de se faire une place dans l𠆚ristocratie. Mais c’était avant d𠆚pprendre à connaître Henry.
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Mon résumé final :.
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Encore une fois, je suis complètement bluffée par ce roman d𠆚urelie, que je découvre dans un nouveau style.
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Ce roman est d’une douceur sans pareil. Les personnages prennent vie grâce à une écriture délicate et à un réel travail de recherche.
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Henry est absolument renversant. Son extrême gentillesse, son honnêteté et sa dévotion m’ont fait l�orer tout au long du roman. L𠆚uteure en a fait quelqu’un d𠆞xtrêmement attachant et d’une sensibilité qui m𠆚 touché en plein cœur.
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J𠆚i beaucoup aimé Lawrence, même au début. On sent une écriture acide et acérée, le concernant. Il vient chez les Crawford dans un but précis, briser, détruire, s�parer. Mais c’était sans compter Henry et sa personnalité solaire. Lawrence va tomber de haut et se laisser toucher par cet ange blond.
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Les personnages secondaires sont géniaux ! Edmund, François, Ann, j𠆚i vraiment adoré tout le monde. L𠆚uteure nous dépeint l’homosexualité de l’époque qui, bien entendu, était moins facile à vivre que maintenant même si, clairement, il y a encore un gros travail à faire dans cette lutte. Les clubs libertins étaient légion et il m𠆚 été plaisant de découvrir la naïveté de Henry sur le sujet. C𠆞st aussi un aspect constaté que j𠆚i aimé, concernant Henry, c𠆞st cette capacité d�négation, de remplir ses obligations de noble et d’homme, tout en étant amoureux de quelqu’un d𠆚utre. Le personnage d𠆚nn est également très attachant, car elle accepte cette facette de son futur époux sans jamais se plaindre ou en être dégoûtée.
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Les scènes érotiques sont somme toute, assez pudiques car écrites avec délicatesse et d’une précision retenue.
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Le déroulement de l’histoire et son dénouement n𠆚uraient pas en être autrement. J𠆚i complètement dévoré ce roman.
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Si vous souhaitez découvrir l’histoire incroyable de Henry et Lawrence, c𠆞st ici : https://amzn.to/3mIHNWc
Armand, étudiant de vingt deux ans, pense avoir une vie parfaite, il pense même se marier avec sa petite amie qu'il fréquente depuis quatre ans … jusqu'à ce qu'il croise le regard de Kris, un étudiant Danois magnifique. Lentement leur relation évolue et Armand se rend compte qu'il pourrait mener une vie plus exaltante et que ce qu'il voyait comme "parfait" n'était peut-être que routine.
Ce livre insiste sur la différence entre une vie planifiée avec des œillères, en conformité avec les désirs de son entourage et vivre l'instant présent en discernant les opportunités et voies qu'on pourrait prendre et vivre pleinement. Il insiste aussi sur le caractère bisexuel du héros.
Au final nous avons dans les mains un roman léger, la narration est faite du point de vue du héros et si l'écriture est simple et un peu plate il est cependant facile de se plonger dans la lecture qui est assez agréable pour peu qu'on s'intéresse aux romances gays. Ce livre peut convenir à des ados et de "jeunes adultes" à mon avis.
PS : Quelques trucs hors sujet, non spécifiques à ce roman :
- D'où vient cette manie de nombreux auteurs auto-publiés de choisir des titres anglais ?
- Je trouve qu'en général les prix pratiqués par les auteurs auto-publiés sont trop élevés en e-book (avec DRM de plus !) et que trop souvent ils préfèrent fractionner ce qui devrait être un simple roman en deux ou trois volumes.
Ce livre insiste sur la différence entre une vie planifiée avec des œillères, en conformité avec les désirs de son entourage et vivre l'instant présent en discernant les opportunités et voies qu'on pourrait prendre et vivre pleinement. Il insiste aussi sur le caractère bisexuel du héros.
Au final nous avons dans les mains un roman léger, la narration est faite du point de vue du héros et si l'écriture est simple et un peu plate il est cependant facile de se plonger dans la lecture qui est assez agréable pour peu qu'on s'intéresse aux romances gays. Ce livre peut convenir à des ados et de "jeunes adultes" à mon avis.
PS : Quelques trucs hors sujet, non spécifiques à ce roman :
- D'où vient cette manie de nombreux auteurs auto-publiés de choisir des titres anglais ?
- Je trouve qu'en général les prix pratiqués par les auteurs auto-publiés sont trop élevés en e-book (avec DRM de plus !) et que trop souvent ils préfèrent fractionner ce qui devrait être un simple roman en deux ou trois volumes.
Dans « Le Loup gris », nous suivons les pas de deux amis : un sorcier du nom de Tracy Deathmort et d’un magicien Esalf. Le premier qui vient d’atteindre sa maturité décide de retourner dans le Monde Caché, désireux de découvrir l’endroit où il est né. Tracy veut également connaître la véritable histoire concernant la mort de ses parents, un mois plus tôt. Pour cela, il n’aura d’autres choix que de trouver son Oncle pour obtenir des réponses, bien que ce dernier n’a jamais été présent pour ses parents.
Esalf quant à lui, c’est un jeune magicien qui poursuit ses études au sein de l’Ordre : une assemblée aux règles strictes, car ils doivent rester chastes et vertueux. Tout ce qu’Esalf n’est pas ! Par un heureux hasard, les deux jeunes hommes vont se croiser, à partir de cet instant, ils ne se quitteront plus. Malgré leurs convictions totalement différentes.
Aurélie Chateaux-Martin a fait de cette histoire, une ode à l’amitié éternelle. Malgré les oppositions des protagonistes, ils ont réussi à rester amis. Personnellement, je n’ai pas beaucoup apprécié Esalf pour son côté débauché. Je suis un peu comme Tracy qui préfère l’amour romanesque que les histoires sans lendemain. Pourtant, une chose que l’on peut apprécier chez Esalf, c’est sa fidélité à toute épreuve envers son ami sorcier. En effet, à maintes reprises il lui viendra en aide et lui remontera le moral.
Tracy Deathmort a tout du preux chevalier que l’on retrouve dans les romans du Moyen-âge, avec l’amour courtois qui renvoie à l’image de Lancelot du Lac ! Fidèle dans sa parole, ainsi que dans ses actes, ce jeune homme n’hésite pas à risquer sa vie à maintes reprises pour sauver autrui. J’ai été totalement sous son charme.
Mais cette relation apporte un atout majeur au sein de leur amitié, c’est que les deux personnages arrivent à se remettre en question grâce à l’autre. Esalf sait qu’il se comporte mal, grâce à Tracy, il tente de mettre un peu d’ordre dans sa vie. (Même si cela n’est pas toujours facile). Tandis que Tracy pousse ses ambitions plus loin qu’il ne l’aurait imaginé sans l’aide d’Esalf, grâce à lui, il découvre des choses qu’il n’aurait certainement pas faites seul. Que ce soit pour l’amusement ou ces choix concernant sa vie.
C’est un roman centré sur les relations humaines qui vogue entre amour et amitié. Les personnages souffrent plus à cause de leur rapport, que les combats qu’ils vont rencontrer sur leur chemin. J’aurais aimé que les protagonistes soient également plus plongés au cœur de la magie ou combattant des puissants ennemis. Le petit défaut est justement que lorsque Tracy est en mission, ces dernières se terminent très vite. Bien que l’image du Roi des Elfes noirs est assez sombre, j’espère le retrouver dans la suite, car je ne pense pas qu’il puisse laisser vivre tranquillement Tracy après l’affront qu’il a subi. Je veux voir des personnages prisonniers d’une quête bien plus grande et puissante qui doivent les conduire sur des chemins qu’ils n’ont pas décidé d’emprunter. Peut-être que cela fait cliché dans la Fantasy, mais j’aime toujours le côté aventureux de ce type de littérature.
[SUITE DE LA CHRONIQUE SUR MON BLOG]
Lien : http://skoldasybooks.blogspo..
Esalf quant à lui, c’est un jeune magicien qui poursuit ses études au sein de l’Ordre : une assemblée aux règles strictes, car ils doivent rester chastes et vertueux. Tout ce qu’Esalf n’est pas ! Par un heureux hasard, les deux jeunes hommes vont se croiser, à partir de cet instant, ils ne se quitteront plus. Malgré leurs convictions totalement différentes.
Aurélie Chateaux-Martin a fait de cette histoire, une ode à l’amitié éternelle. Malgré les oppositions des protagonistes, ils ont réussi à rester amis. Personnellement, je n’ai pas beaucoup apprécié Esalf pour son côté débauché. Je suis un peu comme Tracy qui préfère l’amour romanesque que les histoires sans lendemain. Pourtant, une chose que l’on peut apprécier chez Esalf, c’est sa fidélité à toute épreuve envers son ami sorcier. En effet, à maintes reprises il lui viendra en aide et lui remontera le moral.
Tracy Deathmort a tout du preux chevalier que l’on retrouve dans les romans du Moyen-âge, avec l’amour courtois qui renvoie à l’image de Lancelot du Lac ! Fidèle dans sa parole, ainsi que dans ses actes, ce jeune homme n’hésite pas à risquer sa vie à maintes reprises pour sauver autrui. J’ai été totalement sous son charme.
Mais cette relation apporte un atout majeur au sein de leur amitié, c’est que les deux personnages arrivent à se remettre en question grâce à l’autre. Esalf sait qu’il se comporte mal, grâce à Tracy, il tente de mettre un peu d’ordre dans sa vie. (Même si cela n’est pas toujours facile). Tandis que Tracy pousse ses ambitions plus loin qu’il ne l’aurait imaginé sans l’aide d’Esalf, grâce à lui, il découvre des choses qu’il n’aurait certainement pas faites seul. Que ce soit pour l’amusement ou ces choix concernant sa vie.
C’est un roman centré sur les relations humaines qui vogue entre amour et amitié. Les personnages souffrent plus à cause de leur rapport, que les combats qu’ils vont rencontrer sur leur chemin. J’aurais aimé que les protagonistes soient également plus plongés au cœur de la magie ou combattant des puissants ennemis. Le petit défaut est justement que lorsque Tracy est en mission, ces dernières se terminent très vite. Bien que l’image du Roi des Elfes noirs est assez sombre, j’espère le retrouver dans la suite, car je ne pense pas qu’il puisse laisser vivre tranquillement Tracy après l’affront qu’il a subi. Je veux voir des personnages prisonniers d’une quête bien plus grande et puissante qui doivent les conduire sur des chemins qu’ils n’ont pas décidé d’emprunter. Peut-être que cela fait cliché dans la Fantasy, mais j’aime toujours le côté aventureux de ce type de littérature.
[SUITE DE LA CHRONIQUE SUR MON BLOG]
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Par Yannick de ProseCafé
Tout d’abord, je voudrai remercie Aurélie de m’avoir confié son livre, merci pour cette aventure !
Je vous avouerai que quand j’ai commencé ce livre j’ai eu un peu peur. Je ne suis pas un grand fan du passé simple et certaines phrases du premier chapitre étaient lourdes.
Par la suite, soit l’auteure a allégé son style, soit je m’y suis fait.
J’opte pour la première option 😛
En tout cas je suis rentré dans l’univers de Tracy et Esalf assez facilement.
Pour une bonne raison ! L’auteure joue de ses références avec J. R. R. Tolkien et J. K. Rowling mais on y retrouve aussi quelques miettes d’autres auteur(e)s. J’ai cru y déceler un peu de Kristen Britain. C’est un peu dérangeant au début. Pourtant M’dame Chateaux-Martin intègre bien tout cela dans son livre. C’est comme si c’était une suite ou quelque chose de parallèle.
Les personnages principaux, Tracy et Esalf sont comme les deux faces d’une pièce. Indubitablement différents mais ils sont inséparables.
Tracy est celui qui évoluera le plus dans ce livre. C’est notre compagnon de route, nous finissons par tout connaître de lui, nous souffrons avec lui, nous aimons avec lui, nous combattons aussi.
Personnellement je suis plus proche émotionnellement d’Esalf qui pendant toutes ces pages reste mystérieux mais finit par se dévoiler pour retourner dans l’ombre.
Ce livre est très axé sur les personnages. C’est très descriptif émotionnellement et psychologiquement mais aussi physiquement. C’est comme si ils était assis à côté de vous.
J’ai appris à faire la distinction entre un magicien et un sorcier même si les protagonistes ont peu utilisé leur art.
Le rythme est agréable dans le sens où je ne me suis pas ennuyé. Malgré que Tracy soit un casse-cou, il n’enchaîne pas les missions. Entre deux il vit. Et ce mélange le rend très sympathique même si encore une fois je préfère Esalf.
C’était une très bonne lecture. Si vous êtes fan de high fantasy, ce livre devrait vous plaire.
Bonne lecture.
Tout d’abord, je voudrai remercie Aurélie de m’avoir confié son livre, merci pour cette aventure !
Je vous avouerai que quand j’ai commencé ce livre j’ai eu un peu peur. Je ne suis pas un grand fan du passé simple et certaines phrases du premier chapitre étaient lourdes.
Par la suite, soit l’auteure a allégé son style, soit je m’y suis fait.
J’opte pour la première option 😛
En tout cas je suis rentré dans l’univers de Tracy et Esalf assez facilement.
Pour une bonne raison ! L’auteure joue de ses références avec J. R. R. Tolkien et J. K. Rowling mais on y retrouve aussi quelques miettes d’autres auteur(e)s. J’ai cru y déceler un peu de Kristen Britain. C’est un peu dérangeant au début. Pourtant M’dame Chateaux-Martin intègre bien tout cela dans son livre. C’est comme si c’était une suite ou quelque chose de parallèle.
Les personnages principaux, Tracy et Esalf sont comme les deux faces d’une pièce. Indubitablement différents mais ils sont inséparables.
Tracy est celui qui évoluera le plus dans ce livre. C’est notre compagnon de route, nous finissons par tout connaître de lui, nous souffrons avec lui, nous aimons avec lui, nous combattons aussi.
Personnellement je suis plus proche émotionnellement d’Esalf qui pendant toutes ces pages reste mystérieux mais finit par se dévoiler pour retourner dans l’ombre.
Ce livre est très axé sur les personnages. C’est très descriptif émotionnellement et psychologiquement mais aussi physiquement. C’est comme si ils était assis à côté de vous.
J’ai appris à faire la distinction entre un magicien et un sorcier même si les protagonistes ont peu utilisé leur art.
Le rythme est agréable dans le sens où je ne me suis pas ennuyé. Malgré que Tracy soit un casse-cou, il n’enchaîne pas les missions. Entre deux il vit. Et ce mélange le rend très sympathique même si encore une fois je préfère Esalf.
C’était une très bonne lecture. Si vous êtes fan de high fantasy, ce livre devrait vous plaire.
Bonne lecture.
La couverture reste dans le style du premier tome et donne l’ambiance du livre.
A la fin du tome précédent je n’avais qu’une envie partir avec Esteban pour Bordeaux.
A son arrivée Martin est là pour l’accueillir. Sans l’avoir jamais rencontré, il le connaît déjà. Il l’accompagne dans la découverte de ce nouveau départ…
Martin est bien installé dans sa vie. Il a un boulot où il s’épanouit et une vie privée qu’il assume et apprécie. Il évolue entouré de ses amis qui comme lui sont des esprits ouverts et bienveillants.
J’ai été touché par la fébrilité qui l’habite dans l’attente de sa rencontre avec Esteban.
J’ai apprécié sa volonté à l’aider à s’intégrer à la France et à trouver ses marques au sein d’une société bien différente que celle du Pérou.
Esteban a son arrivée n’est pas réellement seul car il a emporté dans son coeur tous ces amis péruviens.
J’aime sa curiosité et son envie de découvrir son nouveau monde.
Il a une volonté de fer qui le pousse à aller de l’avant malgré son lourd passé.
Ils sont vraiment en osmose, ils se comprennent d’un regard ou avec seulement quelques mots. Ils ont les mêmes désirs et veulent prendre soin de l’autre.
Leur relation est intense tout en prenant le temps de se construire sur des bases solides.
J’ai aimé suivre les battements de leurs cœurs.
L’accueil et l’acceptation d’Esteban par les amis de Martin m’ont ému.
Pas de jugement, juste une amitié sincère.
La plume fluide sert une romance douce, pleine de positivité et d’espoir qui contrebalance la violence du tome précédent.
L’auteure laisse du temps aux personnages pour se découvrir, s'accepter et se connaître même si dès le début, elle a su me faire ressentir le trouble qui habite les deux hommes.
J’ai passé un excellent moment de lecture 🥰 et j’ai hâte de découvrir leur futur.
A la fin du tome précédent je n’avais qu’une envie partir avec Esteban pour Bordeaux.
A son arrivée Martin est là pour l’accueillir. Sans l’avoir jamais rencontré, il le connaît déjà. Il l’accompagne dans la découverte de ce nouveau départ…
Martin est bien installé dans sa vie. Il a un boulot où il s’épanouit et une vie privée qu’il assume et apprécie. Il évolue entouré de ses amis qui comme lui sont des esprits ouverts et bienveillants.
J’ai été touché par la fébrilité qui l’habite dans l’attente de sa rencontre avec Esteban.
J’ai apprécié sa volonté à l’aider à s’intégrer à la France et à trouver ses marques au sein d’une société bien différente que celle du Pérou.
Esteban a son arrivée n’est pas réellement seul car il a emporté dans son coeur tous ces amis péruviens.
J’aime sa curiosité et son envie de découvrir son nouveau monde.
Il a une volonté de fer qui le pousse à aller de l’avant malgré son lourd passé.
Ils sont vraiment en osmose, ils se comprennent d’un regard ou avec seulement quelques mots. Ils ont les mêmes désirs et veulent prendre soin de l’autre.
Leur relation est intense tout en prenant le temps de se construire sur des bases solides.
J’ai aimé suivre les battements de leurs cœurs.
L’accueil et l’acceptation d’Esteban par les amis de Martin m’ont ému.
Pas de jugement, juste une amitié sincère.
La plume fluide sert une romance douce, pleine de positivité et d’espoir qui contrebalance la violence du tome précédent.
L’auteure laisse du temps aux personnages pour se découvrir, s'accepter et se connaître même si dès le début, elle a su me faire ressentir le trouble qui habite les deux hommes.
J’ai passé un excellent moment de lecture 🥰 et j’ai hâte de découvrir leur futur.
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