C'est parti pour une nouvelle saison de Leduc en live !
Une fois par mois, retrouvez en direct sur notre compte Facebook notre épisode de Leduc en live.
Cette année, Charlotte Savreux, journaliste, professeure à l'Institut Européen de Journalisme et rédactrice en chef animera ces rencontres.
Jeudi 25 novembre de 13 h à 13 h 30, Cartouche et Aurélie Godefroy seront au micro de notre journaliste pour parler de leur nouveau livre "Le bruit du bonheur" sorti le 19 octobre dernier.
Pour chaque exemplaire vendu, 1 euro est reversé à l'association CeKeduBonheur, qui améliore la qualité de vie des enfants et adolescents à l'hôpital, présidée par Hélène Sy et
parrainée par Omar Sy, Valérie Damidot et Leila Bekhti
Serez-vous au rendez-vous ?
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Souvent célébré comme un éminent guerrier, le chef sioux Sitting Bull fut également un guide spirituel visionnaire et respecté.
"La Terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la Terre. La Terre est notre corps. Notre esprit vient du soleil et notre pensée est une étincelle du soleil."
(Le Monde des religions)
Le retour au féminin sauvage passe aussi par nos retrouvailles avec la terre mère...La meilleure façon de s'y relier est de vivre avec les saisons..
de s'éveiller à l'air du printemps, de vibrer au feu de l'été, de s'épancher à l'eau de l'automne et de poser son corps sur la terre de l'hiver.
Les mots al soûfi sont utilisés pour la première fois par un ascète irakien, en 776. Un siècle plus tard, le terme de sôufiyah est repris pour désigner des groupes d’ascètes et de mystiques réputés pour leur austérité à Koufah et à Bagdad.
La première chaire d’enseignement soufie est fondée à la mosquée du Caire en 980. Onze ans plus tard, une autre chaire verra le jour à Bagdad. Selon les adeptes du soufisme, cette philosophie serait née presque en même temps que l’islam, et basée sur les paroles du prophète, qui serait le premier mystique. On trouverait ainsi parmi les compagnons du prophète les premiers soufis, même si le mot pour les désigner n’existe pas encore. Le soufisme ne deviendra une véritable école, avec une réelle discipline et des maîtres, qu’après la révélation à Muhammad. Outre le Coran et Muhammad, le premier « maillon » de l’ésotérisme musulman est le gendre du prophète : Ali. C’est à lui que se rattacheront tous les autres soufis chiites.
Probablement parce qu'elles sont difficilement imaginables dans une société patriarcale traditionnelle (une femme peut-elle vraiment tomber amoureuse d'autre chose que la virilité triomphante ?), les amours lesbiennes occupent une place très modeste dans les corpus religieux.
« Faire preuve de douceur, c’est aussi avoir la volonté de s’aligner avec l’intelligence du coeur »
« S’accorder du temps pour prendre soin de ses besoins, apprivoiser ses émotions, accueillir les apprentissages de la souffrance constituent ce long processus de transformation qu’est le changement. Il est essentiel pour cela de rejoindre cet espace de silence et de calme en nous, une attention aimante et une présence apaisée pour aller vers une douceur rayonnante ».
La mise en cause de la virginité mariale repose sur un élément troublant, souvent ignoré des catholiques : l’existence des frères et sœurs du Christ. Oui, Jésus possède bien une fratrie, mentionné dans de nombreux passages des Evangiles. Ces personnes sont-elles bien frères et sœurs du Christ ? Saint Jérôme signale les « frères et sœurs » du Christ comme des cousins germains ; C’est le point de vue du protoévangile de Jacques que l’Eglise adoptera. Ce texte du II eme siècle, intitulé La Nativité de Marie, explique que Joseph plus âgé que marie, avait déjà eu des enfants d’une précédente union. Ceux-ci seraient donc des « demis frères’ de Jésus. Ce point de vue est d’ailleurs relevé par l’imagerie populaire d’un Joseph vieillissant et d’une Marie jeune et resplendissante.
A travers leurs courants libéraux, les religions tentent ainsi de s'adapter aux changements sociétaux, mais les morales traditionnelles restent le plupart du temps sans équivoque : Dieu et le sexe ne font pas bon ménage !
Dire « merci », ce n’est pas seulement, comme on pourrait le croire trop souvent, une formule de politesse, mécanique et vide, c’est aussi une manière d’exprimer son humilité et son respect vis-à-vis de l’autre.
Nous sommes malheureusement aujourd’hui bien plus concentrés sur les résultats que sur les personnes, négligeant ainsi de prendre soin de nous-même et des autres.
Il existe un nuancier de couleurs infini, mais quel bel accompagnement que de pouvoir s’inspirer de ces accords parfaitement imparfaits, afin de trouver notre équilibre et de nous révéler ! Tout est métaphore, concept, écho de ce que nous sommes… Ces symboles, ces mots viennent déverrouiller les espaces dans l’inconscient.