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Critiques de Aurélie Lesage (19)
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Alice aux petites balles perdues

Description



J’attrapais chacun des mots d’Alice au vol. Pas un n’est retombé sur le sol. Ce qui est normal. Ses mots sont des oiseaux étranges. Et normalement, les oiseaux ne papillonnent pas. Elle attend tellement de la vie, Alice, elle cherche tellement des réponses, Alice…

Pas seulement l’amour. Ce serait trop simple.

L’adolescente comme la femme, et peut-être la petite fille qui sommeille en elles deux, réfléchissent de concert sur la mystique de la vie. Elles font un voyage, dans la petite couronne de leur existence tout d’abord, puis dans sa grande couronne ensuite. Dans un train, l’amour; devant un écran, la mort; dans une chambre d’hôtel, la révélation qui fait que la jeune fille laisse place à la femme.

C’est quoi, cette arme, Alice ?

Que fait-elle entre tes mains ?

Quel est ce pari stupide que tu fais, à une contre six ?

II y aura des balles perdues, Alice, avant que le début des réponses à tes questions n’effleure tes oreilles.

Bang ! Bang !
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Alice aux petites balles perdues





Alice est une adolescente différente et introvertie surnommée l'autiste. Elle s'est rapprochée d'une jeune fille superficielle qui sort avec tous les garçons du lycée. Leur relation s'est nouée autour des devoirs de math. Nikki est médiocre dans cette matière, alors Alice l'aide de son mieux. Il ne s'agit pas là d'une véritable amitié. Leurs caractères sont diamétralement opposés. Un soir, Nikki entraîne notre héroïne à une fête où cette dernière se rend en traînant les pieds. Sur place, elle accepte un pari stupide. Un garçon la met au défi de jouer à la roulette russe tous les jours pendant une semaine devant sa webcam. Il lui fournit une arme chargée. Nous suivrons donc Alice avec ce pistolet sur sa tempe... Elle fera une fugue et rencontrera de nombreux personnages tout au long de son errance. Elle se questionnera et nous poussera à réfléchir au sens de la vie, de l'amour, mais aussi de la mort durant sa quête initiatique. Son périple raconté de façon très poétique et sensible vous bouleversera. Tout au long du récit, une mystérieuse voix s'adresse à Alice et l'aide à acquérir plus de maturité. C'est peut-être la voix de sa conscience ou celle d'un ange gardien. Chaque lecteur en aura sa propre interprétation...



Ce conte urbain pourra en déstabiliser certains. Personnellement, j'ai beaucoup aimé. C'est très philosophique et la plume d'Aurelie Lesage est remarquablement poétique. Les problèmes d'une jeunesse moderne en manque de repères sont décrits avec profondeur, tendresse et émotion dans ce roman d'une grande qualité littéraire.

Mention spéciale pour la superbe couverture qui a tout d'une oeuvre d'art.





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Alice aux petites balles perdues

Ce roman se lit rapidement au vu du nombre de pages de 182.



J'ai été intéressé de le lire dans un premier temps , de part sa couverture qui m'a intrigué, car Alice avec un revolver c'est pas commun , et pour sa quatrième de couverture qui m'a laissé curieuse.



Alice lycéenne en terminale, solitaire, va se rendre à une fête traînée par son amie Nikki. C'est une fille qui n'a jamais eu d'amie, sauf cette fameuse Nikki.



Mais cette fête ne va pas se dérouler comme n'importe quelle autre, Alice ressortira de là avec un stupide pari qu'elle a accepté sans vraiment savoir pourquoi, mais comme elle est obstinée et fière elle a dit oui.



Suite à ce pari, elle va essayer d'apprécier la vie différemment de ce qu'elle en a fait jusqu'à maintenant.



Elle va connaître différentes étapes de la vie d'adolescente à celle de femme, avec l'amour, la joie, le doute et l'incertitude.



L'auteure à une plume fascinante, elle, c'est faire nous passer les interrogations d'Alice.



Ce roman m'a vraiment plu, c'est une bonne lecture qu'il faut avoir entre les mains.



Merci à l'auteure pour l'envoi de son roman.

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Alice aux petites balles perdues

On retrouve dans cette histoire Alice une adolescente assez solitaire ne cessant de tout remettre en question, tant sur elle-même que sur les autres.



Tout débute par une invitation à une soirée où elle ne voulait pas aller, un gage lui est imposé et elle accepte sans trop savoir pourquoi.



Ce roman est la définition même de nos réflexions faites entre le passage de l'adolescence au monde terrifiant des adultes. 



Nous sommes noyés dans ses pensées qui ne s'arrêtent jamais. On y retrouve le sexe, la drogue, la violence, les risques, la fugue, l'amour.. Tout ce qui chamboule la tête d'un adolescent.



Alice est une personne sensible, honnête, directe et tout à fait banale.. Mais qui a tendance à se perdre pour essayer de se trouver. Et d'ailleurs, je dois dire que plusieurs fois, je me suis perdu avec elle dans tous ces replis philosophiques.
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Alice aux petites balles perdues

Une histoire touchante et original que nous présente l’auteure. J’ai tout d’abord été intriguée par le titre et par la couverture alors je me suis lancée. Ce roman ne rentre clairement pas dans mon domaine de prédilection. J’ai l’habitude de lire de la romance feel-good mais ce roman n’en est pas. Il déstabilise et je pense peut choquer certaine personne et c’est ce qui fait la force de cette histoire. Cette histoire raconte la vie d’Alice, une adolescente « banale » qui est mal dans sa peau, elle se cherche, s’intéresse à l’amour et va vivre ses propres expériences. Cette histoire ne raconte pas une histoire idéalisée, elle raconte une histoire vraie. C’est cette réalité qui est dure et que je comprends, peut choquer. Cette réalité m’a beaucoup touchée, j’avais envie d’aider Alice, de la « sauver ». Quant à la plume, je dois bien vous avouer avoir été déroutée. Ce n’est pas une plume banale et j’ai eu besoin d’un léger temps d’adaptation mais une fois passé ce temps, impossible de lâcher le livre, la plume est addictive au possible.



Je vous partage le paragraphe d’accroche sur la quatrième de couverture qui je trouve représente à merveille ce que renvoi cette histoire :



« Aurélie Lesage signe ici un livre magnifique, tendre et violent à la fois, mais aussi poétique et amoureux sur l’itinéraire d’une jeune fille bientôt femme, dans un contexte social troublant. Non seulement ce texte évoque les problèmes émotionnels et éducatifs de notre époque, mais en plus, il nous offre un conte urbain moderne d’un style littéraire remarquable. »



En bref, j’ai passé un superbe moment
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Alice aux petites balles perdues

Ce livre m'intriguait beaucoup de par con titre et la couverture et franchement je n'en suis pas déçue.

Personnellement, je suis contente de l'avoir lu maintenant et pas quand j'étais plus jeune car je n'aurais pas su l'apprécier comme il se doit. Je trouve que ce livre demande de la maturité !



Au niveau de la plume, j'ai vraiment adoré, on ressent bien toutes les interrogations d'Alice, parfais sa détresse et parfois ses sentiments plus joyeux.



J'ai aussi beaucoup aimé les interrogations d'Alice parce qu'elles sont vraies. C'est normale qu'une ado se demande si elle ne devrait pas être plus dévergondée etc.


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Alice aux petites balles perdues

Hello Booksta , je vous retrouve pour ma 7 ème lecture de novembre. 💜LECTURE INITIATIQUE ET TOUCHANTE 💜( Je m'excuse d'avance pour le pavé mais il y a tellement de choses à dire)



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Tout d'abord je voulais remercier énormément l'auteure @aurelielesage18 pour l'envoie de son bouquin format papier  qui s'est avéré être une lecture initiatique,  poignante et choc mais tendre à la fois. L'auteure à un talent que je ne saurais expliquer.



~Aujourd'hui je vous donne mon avis sur " Alice aux petites balles perdues" de Aurélie Lesage.

Publié aux éditions JDH, vous pourrez le commander sur Amazon, JDH Editions, cultura , chez votre libraire pour la somme de 17 euros pour le format papier.Le roman fait 182 pages en papier. Ainsi que 12,99 euros pour le format numérique.

Il fait partie de la collection MAGNITUDE et il est à 7.0 ce qui signifie Lecteur informé, forte magnitude.



● Lecture iniatique, jeune-femme , passage à l'âge adulte, réflexion,  développement personnel, public averti( lecteur informé), adolescence, amour ,armes, voyages.



●Le roman est métaphorique, poétique , violent et magnifique. Il montre notre société à cette époque.



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♡RÉSUMÉ♡



J'attrapais chacun des mots d'Alice au vol. Pas un n'est retombé sur le sol. Ce qui est normal. Ses mots sont des oiseaux étranges. Et normalement, les oiseaux ne papillonnent pas. Elle attend tellement de la vie, Alice, elle cherche tellement des réponses, Alice... Pas seulement l'amour. Ce serait trop simple. L'adolescente comme la femme, et peut-être la petite fille qui sommeille en elles deux, réfléchissent de concert sur la mystique de la vie. Elles font un voyage, dans la petite couronne de leur existence tout d'abord, puis dans sa grande couronne ensuite. Dans un train, l'amour; devant un écran, la mort; dans une chambre d'hôtel, la révélation qui fait que la jeune fille laisse place à la femme. C'est quoi, cette arme, Alice ? Que fait-elle entre tes mains ? Quel est ce pari stupide que tu fais, à une contre six ? II y aura des balles perdues, Alice, avant que le début des réponses à tes questions n'effleure tes oreilles. Bang ! Bang !



Aurélie Lesage signe ici un livre magnifique, tendre et violent à la fois, mais aussi poétique et amoureux sur l'itinéraire d'une jeune fille bientôt femme, dans un contexte social troublant. Non seulement ce texte évoque les problèmes émotionnels et éducatifs de notre époque, mais en plus, il nous offre un conte urbain moderne d'un style littéraire remarquable. Un livre Magnitudes 7, à découvrir absolument.



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♡MON AVIS♡



●Ma lecture s'est avérée être très utile et tout au long nous sommes amené à la réflexion, la lecture a été douce et dure à la fois car il se passe des choses qui pourraient choquer un certains public. Le vocabulaire est riche et beaucoup de questions se posent durant notre lecture et elles sont également écrite dans le texte. Nous ressentons que l'auteure à un talent exceptionnel,  ce qui n'est pas donné à tout le monde d'écrire ce genre de roman en tenant le lecteur en haleine tout du long et sans qu'ils se perdent parmis toutes les informations que le texte envoie à notre cerveau.

● La plume est fluide mais je vous avoue avoir été un peu décontenancé  par l'absence des âges des personnages , moi qui est une facilité à imaginer grâce aux âges j'ai été surprise , par contre l'auteur nous livre une description des personnages qui nous permettent de les visualiser ce qui m'a permis aussi de changer ma façon de voir les choses. J'en conclus que dans le contexte de l'histoire , il n'y a pas besoin de trop de détails car l'importance est surtout d'amener le lecteur à la réflexion,  je pense sincèrement que chaque femme s'identifient dans ce roman par rapport à Alice , nous avons toute été une Alice.

●Le roman nous marque l'esprit.Nous suivons Alice qui est en terminale et qui est une bonne élève,  contrairement à Nikkie son amie ( Nicole), qui ne vit qu'à travers le regard des hommes quitte à ne plus se respecter , à ne plus avoir d'estime de soi. ●Le roman nous montre que la vie c'est de faire ce que la société veut que l'on fasse, être ce qu'elle veut que l'on soit et Alice veut être libre,  elle ne veut pas d'une vie comme ça, elle veut le vrai amour , pas juste aimer comme ça , elle veut aimer comme deux mélodies en symbiose , Alice est poétique mais aussi trash. Elle a beaucoup de courage mais elle se laisse bouffer par les autres, elle est sous l'emprise de ses " amis" , l'effet mouton ou pour se prouver de quoi elle est capable.

● Elle est naïve aussi dans ce sens.Nous avons Fred, l'ancien obèse ( tel qu'il est décrit) méprise Alice et soumet Nikkie au rang de "sal**pe" pour se sentir supérieur, là est denoncé le fait que l'on est égoiste quitte aux détriments des autres et le fait d'être mal dans sa peau le rend odieux , il y a Théo qui vit dans le virtuel,  Nordine qui est un accro du p*rn* dans le cercle d'amis du départ. Et Marc , le poétique qui est assez gentil mais ne fait rien , l'effet de groupe.

●Par la suite , nous avons Mickael,  Baptiste et Félix qui seront des personnages important pour Alice,  qui découvrira l'amour. Attention,  pas de romance toute rose mais des expériences qui lui permette d'avancer et de l'amener à une réflexion et à des actes. Ce livre raconte la vie réelle.

●Il y a aussi cette voix intérieure , qui est-elle ?? Sa jeunesse ? Son corps ? Alice veut écouter son corps , mais elle n'entend pas cette voix . Le texte sera à la 1 ere personne mais il y aura des moments où la voix parlera en disant Alice , au début Alice parle à Alice ou est-ce sa voix ?

●L'ambiance du livre est sombre , triste mais joyeuse par moment , le roman est la pour vous faire comprendre donc l'auteure utilise une manière spéciale,  vous comprendrez en le lisant. Je ne peux pas vous expliquer approprement parlé l'histoire car chaque personne à sa vision et son interprétation. Le roman n'est pas abstrait non plus. Il est magnifiquement écrit. L'auteure nous livre une expérience de la vie , une vision du monde, de la société, de la réaction des personnages d'un point de vue externe.

●Pour Alice , nous n'aimons pas si l'on souffre , elle a raison ,il y a aussi l'histoire de dépendance affective quand on souffre.

Elle ne vit pas le moment présent et va apprendre. La petite voix s'adresse à nous , à tu , ce qui permets de nous mettre à la place de la protagoniste. On se dit toujours que l'herbe est plus verte ailleurs , que les zoo utilisent les animaux pour se faire des sous alors qu'ils devraient être en liberté. Alice se pose beaucoup de questions . Alice veut vivre pour elle et non pour les autres et veut se construire sans le regard des autres et elle a raison car nous donnons toujours de l'importance aux regards des gens ce qui nous empêche d'avancer. Alice veut trouver sa voie , son chemin.



● Cette lecture m'a émue et j'en ai pleuré tellement c'etais touchant et vrai.



Je vous laisse sur cette note , car sinon j'en ferais un roman haha , mais je ne peux que vous recommander ce livre , il aide et il réponds à pas mal de nos questions.



20 sur 10 ❤❤❤❤❤❤❤haha



Je vous fais des bisous et n'hésitez pas à le lire.
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Alice aux petites balles perdues

Une lecture qui ne laisse pas son lecteur indifférent à la fois bouleversante, poignante et déstabilisante.

Aurélie Lesage nous plonge au cœur des pensées les plus profondes d'Alice, jeune adolescente en marge de la société qui l'entoure, atypique et mal dans sa peau. Elle a ancré au fond d'elle beaucoup de certitudes, de questions, de doutes, de peurs, de tiraillements et de rêves de grand amour. Elle n'hésitera pas à se mettre en danger au cœur d'un jeu entrainant la vie ou la mort pour se sentir paradoxalement bien en vie. Alice grandit au fil des pages et nous sommes entrainés au cœur d'une quête initiatique avec un passage entre l’enfance et l'adolescence. Différents thèmes en perspective : la quête de soi, l'identité, l'appartenance au groupe, le regard des autres, les addictions et les conduites déviantes.

La plume d'Aurélie Lesage est poétique, grandiose, superbe, parfois acérée, toujours assez noire tantôt violente mais globalement magnifique. Un style littéraire remarquable.

Ce livre dépeint la sensibilité exacerbée d'Alice qui l'entraine dans des dérives périlleuses et dans la démesure.

Une lecture déroutante qui amène à la réflexion. Beaucoup de questions restent en suspens et je reste assez décontenancée par ce roman, avec notamment cette voie intérieure qui communique avec le lecteur et que l'on n'identifie pas. N'est ce pas le signe d'un grand roman lorsqu'il suscite justement ce type de sentiment étrange? Je reconnais là une auteure au grand talent qui a su m'entrainer dans une lecture dont j'attendais les derniers mots avec une certaine impatience, une réalité dure mais plus que réelle.
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Alice aux petites balles perdues

C’est un roman qui comme je le dis dans la grande chronique…M’a complètement déstabilisé et ce, quasiment jusqu’au bout. Tout d’abord à cause du ton avec lequel l’autrice nous racontait l’histoire de la jeune Alice. Par la suite, à cause de son histoire, de ce voyage initiatique où je n’ai fait que me questionner, ou j’ai été poussée à la réflexion. Mais ça m’a plu, en partie. Je ne sais pas trop quoi dire en réalité, je ne sais toujours pas ce que j’ai ressenti mais ce fut étrange et à la fois assez beau, touchant. C’est un ouvrage qui est très bien à lire mais je ne suis pas certaine que tout le monde sache apprécier sa qualité. Je pense que tout a été choisi avec soin, les mots, les éléments perturbateurs, ce chemin de la vie…Alice à la recherche d’elle-même. Franchement, je vous le recommande. Ça me changeait de lecture et ce n’est pas un mauvais point ! Parfois il faut sortir de sa zone de confort pour découvrir de belles choses, ce roman en fait partie !
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Alice aux petites balles perdues

Quand Nikki propose à Alice de la rejoindre à une fête, elle accepte, mais le regrette déjà. Solitaire et introspective, c'est pour elle le début d'une folle aventure, en conjugaison directe entre elle et les autres...



Avec Alice, on fait un voyage qui détermine le passage entre l'enfance et l'âge adulte. On assiste à cette métamorphose magique qui bouscule les émotions.



On se retrouve perdu dans ses pensées intimes à la recherche éperdue de réponses à ses questions. On y aborde avec complexité le sexe, les addictions, l'appartenance au groupe, les prises de risque. On y parle d'extrême, de contradictions.



Alice a une sensibilité troublante, à fleur de peau. Être dans sa tête relève du délire, entre intuition et philosophie. Dans son corps et dans sa tête, on sent que tout s'agite. Ses rencontres se font curieuses, grotesques, fouillées. Son attitude est souvent paradoxale.



"Alice, c'est quand on voyage dans les rues les plus sombres qu'on sait comment survivre."



L'écriture est poétique, intellectualisée, envolée. Il y a quelque chose de mystique, on touche avec justesse un état d'âme aux portes du secret. Alice ici fait ses gammes entre désir et plaisir, peur et passage à l'acte, raison et chimère. Elle a la volonté d'être vrai, de vivre, de goûter intensément.



À travers elle, on opère la fragilité du phénomène adolescent !
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Alice aux petites balles perdues

💭Alice aux petites balles perdues 💭



Une lecture touchante, poignante, sombre, triste avec des moments de joie. Qui relate la vie d'Alice, jeune fille perdue entre l'adolescence et le passage à l'âge adulte, une ado en marge de la société qui l'entoure, qui ne trouve pas sa place.



Elle se pose des questions sur son identité, la quête de soi, sur le regard des autres. Durant le roman elle s'interroge, et parle a quelqu'un, est-ce a sa voix intérieure ? Ou a quelqu'un d'autres ? 🤔🤔 A vous de le découvrir 😁😉



J'ai aussi ressentie que l'influence joue un rôle important, les autres font ceci ou cela alors dois-je le faire ?



On retrouve parfaitement les problèmes et interrogations des jeunes d'aujourd'hui.



L'auteure a une plume magnifique, poétique, assez sombre mais tellement belle et déroutante.



Un conte urbain qui retrace l'itinéraire d'Alice, une jeune fille qui attend beaucoup de la vie et qui est sur le point de devenir femme. Au cours d'un voyage en train, elle rencontre l'amour. Mais, soucieuse d'avoir des réponses à ses questions, elle se lance dans un pari risqué pour son premier roman, mais qui est une très belle surprise et une réussite.



Résumé :



J’attrapais chacun des mots d’Alice au vol. Pas un n’est retombé sur le sol. Ce qui est normal. Ses mots sont des oiseaux étranges. Et normalement, les oiseaux ne papillonnent pas. Elle attend tellement de la vie, Alice, elle cherche tellement des réponses, Alice…

Pas seulement l’amour. Ce serait trop simple.

L’adolescente comme la femme, et peut-être la petite fille qui sommeille en elles deux, réfléchissent de concert sur la mystique de la vie. Elles font un voyage, dans la petite couronne de leur existence tout d’abord, puis dans sa grande couronne ensuite. Dans un train, l’amour; devant un écran, la mort; dans une chambre d’hôtel, la révélation qui fait que la jeune fille laisse place à la femme.

C’est quoi, cette arme, Alice ?

Que fait-elle entre tes mains ?

Quel est ce pari stupide que tu fais, à une contre six ?

II y aura des balles perdues, Alice, avant que le début des réponses à tes questions n’effleure tes oreilles.

Bang ! Bang !



Aurélie Lesage signe ici un livre magnifique, tendre et violent à la fois, mais aussi poétique et amoureux sur l'intinéraire d'une jeune fille bientôt femme, dans un contexte social troublant. Non seulement ce texte évoque les problèmes émotionnels et éducatifs de notre époque, mais en plus, il nous offre un conte urbain moderne d'un style littéraire remarquable....
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La rencontre

Nous voilà plongés au cœur des pensées de ce personnage sans nom, sans visage. A la recherche de contour. Brut, sans détour.

De l'enfance à l'âge adulte, de l'âge adulte à l'enfance. On s'y perd, on se retrouve. On se découvre et on s'oublie.

On désespère et on espère.



Pris au piège dans l'urgence de son récit, de sa vie ; dans l'importance de cette rencontre. Mais avec qui ?

Avec l'Autre.

Celui qu'on attend et qu'on ne voit pas et celui qu'on voit mais qu'on n'attendait pas. Perdus dans ce monde si hostile et effrayant, cette société si exclusive qu'elle isole...Isole et lie. Lie et marque au fer rouge.

Les deux faces d'une même pièce.



Douce ambivalence qu'est le flot de la vie. Vive angoisse qu'est celle de la mort ou peut être que, finalement, c'était la vie elle-même qui nous angoissait.



Un livre morcelé, à la frontière du réel, à la limite de la psychose. Nous errons de dissociation en projection avec un seul but : poursuivre la quête de cet Autre, de cette rencontre, de LA rencontre. Celle qui nous sauvera de tout, qui nous sauvera de nous.
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La rencontre

Ce livre est une quête spirituelle d’une héroïne qui nous fait part de sa relation avec le monde, une recherche de son développement personnel, sa solitude. C’est donc l’histoire de ce personnage anonyme qui a pour objectif La Rencontre.



J’ai trouvé que c’était roman très original, se rapprochant d’un roman initiatique, d’un récit burlesque qui invite à la quête de soi et à l’introspection.



J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur que j’ai trouvé très immersive. En effet, elle arrive parfaitement à créer une atmosphère au roman, une ambiance qui pousse à la déconnexion et à la réflexion. Même si je suis peux habituée à ce type de lecture, j’ai été captivé par le personnage et la profondeur du texte grâce à l’écriture de l’auteur.



Notre héroïne espère pouvoir se libérer de ses chaînes qui l’oppressent qui l’enferment dans un monde qui l’empêche de communiquer avec l’extérieur. J’ai aimé son parcours de vie, ses recherches de repères et sa quête spirituelle, on peut s’identifier à elle et observer une forme de proximité.



J’ai beaucoup aimé toutes les thématiques abordées, je trouve qu’elles sont parfaitement bien amenées, avec justesse et précision. On se plonge dans les thèmes de la solitude, de la communication, de la confiance en soi, de la quête de soi, du temps et de l’isolement. Mais on retrouve aussi la vie, l’amour ou l’amitié.



Certains passages sont plus durs que d’autres, mais c’est ce qui rend la lecture aussi captivante, et la leçon que l’on peut en tirer, d’accepter nos différences et de s’adapter au monde, rend le livre profondément humain. Je remercie beaucoup l’auteur pour l’envoi et sa confiance.


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La rencontre

La Rencontre, Aurélie Lesage

(Roman, collection Hors Sentier, Sinope Éditions 2022)



On rit beaucoup, sous cape, à suivre ce cheminement écrit par Elle à la première personne. Sorties, retours, déplacements et impacts physiques, errances mentales, déambulations frénétiques vers soi, vers sa propre parole, son être vrai, son désir d’identité. On rit d’effarement.

Des personnages et des animaux sont percutés mais s’impriment dans le vide encombré de l’aventure. Elle-même se sent invisible.

La Rencontre (avec Lui ?) se fera-t-elle ? Au bout de la fête des mots, peut-être, mais pas au bout des simulacres. « Moi je me laisse souvent seule ».

Une rythmique d’enfer guide la marche fragile qui veut ignorer l’échec de toutes les tentatives pour Le rejoindre et n’en finit pas de s’interroger, sans renier son objectif : La Rencontre.

Mais Elle-même est son unique sujet, une présence à soi loufoque et chavirée, précise dans le délire, argumentée, raisonnante et observatrice, rigoureuse dans l’obstination. Qui se cherche. Et, réconciliée, parvient à se retrouver pleinement, car inscrite dans le mouvement de la vie.

Un livre profond qui a la profondeur et l’incongruité des rêves. Il traduit une facilité d’écriture qui n’emprunte pas à une quelconque technique du dialogue, fut-il intérieur, mais à une démarche littéraire ambitieuse et aboutie.



Claude Frigara

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La rencontre

La rencontre d'Aurélie Lesage est un petit ovni littéraire au charme singulier, hérissé et introspectif. Une oeuvre écrite à la première personne, aux accents mélancoliques, et cependant animée par des percées de joie, d'humour noir et de sauvagerie parfois aussi… Je l'ai lue presque comme un journal intime ou une lettre adressée à l'Autre, celui avec qui cette rencontre doit se faire.



L'héroïne nous raconte avec une spontanéité presque candide sa relation épidermique et angoissante au monde, ses incapacités à communiquer et ces différentes prisons sur son parcours dont elle espère toujours que cet Autre va la délivrer. Elle paraît sans âge, tantôt jeune femme rebelle qui se débat dans la menace permanente d'un contexte pandémique, tantôt petite fille ignorante de la vie, fascinée par la destruction, en recherche de confiance et de repères, à travers un univers corrosif qu'elle tente de décoder.



Peu accoutumée à la littérature du genre absurde, j'ai pourtant été progressivement happée par la quête de recherche de sens de la narratrice et par son univers un peu psychotique voire par moments « autistique », grâce à l'écriture prenante de l'auteure et à la profondeur de ses réflexions sur la nature humaine qui réussissent à créer une sorte d'intimité avec le lecteur.



La rencontre, c'est l'étendue d'une solitude face au reste du monde, le temps y est décliné en différentes alternances, et on perd parfois un peu pied entre présent et passé, souvenirs et réalité. Je me suis laissée prendre au jeu des mots, à cet éparpillement que l'on suit de mieux en mieux une fois qu'on s'est immergé dans cette dissociation qui épouse pourtant une logique qui lui est propre.



La rencontre, c'est une projection et c'est aussi un peu nous, en tant que lecteur, en tant que témoin. le langage y est ramené à sa teneur archaïque, il est question de silence mais aussi d'écriture comme support de la pensée, de cris rentrés. Et la prose en est parfois vertigineuse, parcourue d'hallucinations, de confrontations avec des personnages aux auras particulières et d'une poésie heurtée avec de petits éclats de lumière.



Le roman est parfois un peu trash, avec des passages crus et même cruels, et c'est ce qui le distingue aussi, remarquablement, d'une littérature plus conventionnelle. Il y est aussi question de l'amour et de l'amitié, de l'idéalisation, du besoin de se laisser vivre ou exister.



Au fond, ce livre m'a semblé traiter de la différence et du problème à s'adapter face au bloc du Monde, à travers une critique sociale du manque de liens et de l'âpreté des relations humaines. J'en conseille vivement la lecture, si vous avez envie de vous-même partir à la rencontre de votre Autre et de celui de cette étrange héroïne. Il est édité chez Sinope éditions dans la collection Hors sentier, catégorie qui lui correspond tout à fait.



https://simplement.pro/u/CiliaBrux
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La rencontre

C’est un roman assez complexe, il faut l’avouer. Mais j’ai aimé cette lecture assez loufoque, assez particulière.



Nous sommes au cœur des pensées d’un personnage dont on sait peu de choses, sans nom, sans visage. Un personnage, Elle, qui nous partage sa vision, son monde, sa solitude. Il y a doit y avoir une rencontre, mais avec qui ? Cet Autre. Mais qui est cet Autre ? On attend donc, on ne le voit pas, on est comme perdu, dans le flou à sa recherche.



Un monde hostile, isolé. On est à la frontière du réel. Une introspection. Un personnage qui se cherche. Une quête spirituelle. Se sauver de nous-même. On est dans un développement personnel. C’est totalement unique, original et singulier. Ça m’a plu de suivre cette personnage au fil des pages.



On a toute une ambiance et une atmosphère qui se ressent. Un côté de l’absurde. C’est particulier, assez fou et qui nous donne matière à réfléchir. L’autrice a une plume qui manie des mots.



Une lecture humaine qui nous incite s’adapter au monde et accepter les différences de chacun.
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Le boiteux aux grandes oreilles

Quand ce livre m’a été proposé, j’ai tout de suite été intriguée par le titre et par le résumé. J’avais très envie de rencontrer Kasimir et surtout de plonger dans son monde qui s’annonçait particulier et sombre. Je peux vous dire que je n’ai pas été déçue, car l’autrice nous propose un roman passionnant et qui s’avère riche en découvertes, de quoi nous pousser à la réflexion.



Kasimir est journaliste et doit se rendre sur les lieux d’un assassinat. Mais fait étrange, la personne qui a été tuée est une immortelle. Comment est-ce possible ? Comment une personne de cette caste peut-elle être tuée ? Kasimir se pose beaucoup de questions et décide d’enquêter afin de comprendre ce qu’il se passe. Mais cette affaire va le conduire sur des chemins totalement inattendus…



Dès lors, il va découvrir des vérités sur le monde où il vit qui sont tout bonnement incroyables. Ne sachant plus trop sur quel pied danser, il va essayer de comprendre les tenants et les aboutissants de tout cela, ce qui l’amènera à en apprendre plus sur sa propre vie. Mais qui est-il vraiment ?



L’autrice nous propose une histoire qui ne peut faire qu’écho avec notre société. Alors que la révolution gronde et va changer la face du gouvernement, le monde qu’elle nous présente va découvrir ce que le changement peut impliquer. C’est un peu ce qu’il se passe dans différents pays, les renversements de pouvoir ne sont-ils pas parfois juste la mise en place d’une autre prison ?



J’ai vraiment adoré le fil rouge qu’elle nous propose et qui nous fait réfléchir du début à la fin, que ce soit sur le fonctionnement de la société ou sur l’évolution des technologies. Le tout est vraiment bien ficelé, de quoi nous surprendre avec les nombreux rebondissements qui viennent chambouler ce récit.



Les personnages ne sont pas en reste et sont tout aussi passionnants à découvrir. Nous avons tout le temps envie d’en apprendre plus, que ce soit sur Kasimir ou les gens qui l’entourent, afin de savoir qui ils sont vraiment et quels sont leurs buts. Vous l’aurez compris, ce roman est une excellente découverte !



En bref, cette histoire palpitante met en scène des personnages intrigants qui cachent bien des choses. C’est un roman que je ne peux que vous conseiller !
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Le boiteux aux grandes oreilles

Bon... bon... je vais commencer par dire qu'en lisant le résumé je me suis trompée sur l'interprétation d'un mot "immortelle". Je suis partie dans l'idée que ca serait une histoire avec des vampires 😄

Quelle fut ma surprise de découvrir que je lisais en réalité le genre littéraire que je pensais détester !

Quelle fut ma DOUBLE surprise de découvrir que je me suis laissée embarquer par l'histoire avec une facilité et une rapidité étonnante et que j'ai adoré !!



On rencontre Kasimir, journaliste envoyé sur une scène de crime... Un job classique en apparence mais qui va envoyer ce cher journaliste dans un tourbillon d'événements, une tornade dans laquelle on est balloté de droite a gauche.

Mais c'est cette simple enquête qui va lui faire remonter le fil de sa propre vie, découvrir les secrets d'une société d'apparence, se retrouver lui...



J'ai adoré cette histoire, j'ai englouti le livre, l'histoire est prenante, l'enquête intriguante et ce fil que l'on remonte en compagnie de Kasimir est palpitant ! On veut absolument savoir le fin mot de cette histoire abracadabrante !

Si vous êtes adepte de science-fiction : FONCEZ !

Si vous êtes comme moi, non adepte de science-fiction : FONCEZ !



Je suis hyper contente d'avoir découvert ce livre, cette histoire et ce genre littéraire.
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Le boiteux aux grandes oreilles

Si je devais garder un mot pour décrire ce roman, ce serait : Moralité.



Cette lecture a été une très agréable surprise sachant que je ne suis pas une grande fan de roman de science fiction. Je ne savais pas à quoi m’attendre et pourtant...Ce fut une énorme claque sur le plan émotionnel.



Le roman traite des sujets super importants, intéressants et encore bien trop actuels notamment les différences sociales avec les plus riches nommés les immortels qui exercent leurs pouvoirs sur les plus démunis, aussi appelés les mortels.



Kasimir, un jeune journaliste, s’intéresse au meurtre d’une immortelle et ne peut s’empêcher de creuser ce mystère dans l’ambition d’en écrire un article. Comment a-t-elle pu mourir puisque cela était impossible ? Kasimir se rendra très rapidement compte qu’il empiète sur un territoire dangereux et interdit, une chasse à l’homme est désormais ouverte.



Tout ceci va mener à des rébellions, des dictatures, des révolutions et des retournements de situations de DINGUE, au point où le lecteur cherchera sa propre vérité au sein du roman. Les informations qui nous sont donnés paraissent plus dingues les unes que les autres, nous ne savons que croire.



J’ai beaucoup aimé être perdue dans certains moments, je venais à carrément douter de ce que je lisais, il faut le lire pour le comprendre. Tout a été très bien ficelé, pensé et tracé. Il est également très facile à lire, rapide et les chapitres sont relativement court, ce qui est très bien.



Le seul petit bémol pour moi, c’est que parfois j’avais l’impression qu’un certains schéma se répétait, dans un but précis évidemment, mais j’ai du mal avec ce genre de chose. Mais c’est purement personnel pour le coup, je vous assure que tout est incroyablement bien fondé et logique.



J’aurais aimé avoir un accès plus en profondeur sur le personnage de Kasimir, malgré tous les sentiments que j’ai eu à son égard, je n’arrivais pas à me sentir proche de lui pour autant.



Je suis restée bouche bée lors du dénouement, j’avoue que je ne m’y attendais absolument pas. La fin est pour moi honnêtement magistrale et déchirante.



Fan de science fiction ou non, je le recommande grandement !
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Je suis un écrivain, un diplomate et homme politique camerounais, né le 14 septembre 1929 à Ngoulemakong, près de Ebolowa (Cameroun) et mort le 10 juin 2010 à Yaoundé à l'âge de 80 ans. Je suis l'auteur des livres : Une vie de boy et Le vieux nègre et la médaille, publiés en 1956.

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