" Les souvenirs, c’est comme les dents de lait : ça finit toujours par vous quitter, en vous laissant un sourire troué…"
Notre tragédienne était toujours là.
"La différence ", elle a ajouté, " c’est qu’aucun souvenir ne repousse à la place de celui qu’on a perdu. Et à force d’avoir des trous dans son sourire, on ne sourit plus."
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